Ce que l'avenir nous réserve ...

Il faisait beau. C'était un matin clair et une légère brise fraiche faisait frissonner les feuilles des arbres. C'est dans ce beau metin que deux jeunes filles se présentèrent aux portes du chateaux de Lestower.

Ces deux charmantes créatures portaient deux capes d'un beau rouge bordeaux qui cachaient leurs visages à la vue de tous et flottaient dans les airs sous leurs pas. On devinait qu'elles étaient habillées d'un chemisier blanc à dentelles et d'une jupe plissée vermeille qui s'arrêtait en haut de leurs cuisses blanches et galbées. De longues chaussettes couvraient leurs jambes fines jusqu'aux genoux. De jolies mocassins de cuir vernis noir ceintraient de jolis pieds.

Cassandre prit la main de sa soeur dans la sienne. Elle laissa apparaître une jolie main fine et gantée d'un joli gant de soie rouge. Elle avait levé la tête pour regarder la grande porte de toute sa hauteur. Elle hézitait encore un peu à entrer. Mais c'était mieux pour elles d'eux.

Marie serra plus fort la main de sa jumelle dans sa paume chaude comme pour la rassurer, luir dir que tout aller bien se passer. Plus elles avançaient, plus elles se rapprochaient du moyen de sauver Cassandre. Si elles entraient à l'échiquier elles auraient de nouvelles possibilités et plus de pouvoirs.

Certes l'Ehiquier avait perdu beaucoup de son éclat mais Lestower n'en restait pas moins une très grande capitale et sûrement restaient-ils entre ces murs des personnes qui pourrait bien leurs être utiles.

Chaque chance était bonne à prendre. Le plus important avait toujours été le pouvoir. Le pouvoir, le vrai, pour Marie, c'était de sauver Cassandre.Rien d'autre n'avait d'importance. Et si entrer à l'Echiquier pouvait leur permettre de trouver le moyen de la sauver alors soit. Elles fairait ce qu'il fallait mais elle réussirait. Elles resteraient ensemble, pour toujours.

"Bien." décida Marie. "Voyons si l'Echiquier peut, encore aujourd'hui, nous permettre d'accomplir ce pourquoi nous sommes venus."

Les deux jumelles s'avançèrent et dans un mêm gestes frappèrent deux coups, nets et précis, à la grande porte.

Mh... Que voulez vous... Quand on ne dort pas assez on erre dans les couloirs du chateau de Lestower, même quand ce n'est pas la nuit. Quelle heure était-il? Hanzel l'ignorait... Et Zandel n'était pas mieux renseigné! Tous deux trainaient dans les couloirs, de bon matin, ils étaient déjà aller intimider les cuisiniers et les cuisinières afin que ces bons gens leurs donnent a manger. Puis, c'est alors une miche de pain a la bouche et les deux frères trainèrent le pas jusqu'à leur chambre. Un programme? Oui, celui de rester au chaud sous les draps tous les deux... De toute façon il n'y avait pas grand chose a faire en ce moment... L'echequier perdait de son éclat... Oui c'était bien dommage, mais après tout, s'ils avaient bien appris quelque chose durant leur longue absence, c'était que toute chose avait une fin.

Oh bien sur, ils souhaitaient tous deux que cette organisation maléfique prospère, mais si elle devait s'effondrer, elle se casserait et c'était tout, il n'y aurait rien a redire.

Zandel bailla, la bouche grande ouverte, leur chambre était de l'autre côté des couloirs, dans l'autre aile du chateau. Les jumeaux avaient leurs cheveux attachés, Hanzel les avaient mis en queue de cheval basse et Zandel, lui, les avaient attaché en queue de cheval haute. Une seule petite différence du matin qu'ils voulaient bien laisser paraitre. Tous deux vêtu d'un simple pantalon de grosse toile, ils étaient torse nus, laissant apparaitre tous le haut de leur corps qui étaient couverts de tatouages plus appétissants les uns que les autres.

- " Hmm... Zandel, on ferait peut être mieux de se trouver un travail non? "

L'ainé de deux frères, qui était alors un peu plus en avant que son jumeau, se retourna alors, prit une mine réfléchie et sourit d'un air satisfait.

- " C'pas une mauvaise idée... j'ai d'jà r'marqué une..."

Ses paroles furent stoppées par des coups frappés a la grande porte du chateau. Hanzel regarda son frère, incrédule, il mordit dans son pain et ouvrit les portes, dévoilant sa taille de plus de deux mètres aux deux inconnues, et son physique des plus alléchant. Son regard se baissa sur deux créatures identiques, et se figea d'un coup. Zandel arriva alors dans l'encadrure de la porte, les lèvres parsemées de miettes de pain frais, l'air hagard mais toujours avec cette prestance qui donnait des frissons aux autres. C'est lui qui pris d'ailleurs la parole.

- "Mouais? C'est pour quoi?"

Hanzel reprit alors ses esprit, il tourna son regard vers son frère, qui lui était identique en tous point sauf sur leur coiffure a ce moment là, sa voix, plus douce que celle de son jumeau, lui fit une remarque pertinente, mais pas si perspicace pour autant.

- " Tiens regarde... Des jumelles..."

Leurs deux sourires s'agrandirent, et leur deux regards vairons, d'or et d'argent se posèrent sur ses deux petites qui avaient l'air si fragile par rapport a ses deux colosses de marbre.

La porte s'ouvrit enfin.
Les grands yeux d'un rose profond de Cassandre se figèrent.
Deux jumeaux, torse nu et fort appétissants, d'une taille impressionnante et aux yeux remarquables se tenaient dans l'ouverture de la porte.

Marie, dont la main guantée tenait toujours celle de sa soeur à l'abri de la cape, jeta un regard à sa soeur. Un sourire étira ses lèvres.

Cassandre retira le capchon de la cape qui cachait encore visage dévoilant un beau visage d'ange à la peau blanche, un sourir tout à fait charmand, plus doux que celui de sa soeur, sur ses lèvres roses aux gout de fraise et gourmandes et de grands yeux roses tout à fait étonnant.

Elle inclina la tête pour les saluer et répondit de sa voix légère, et un peu rêveuse peut-être:
"Nous venons entrer à l'Echiquier."

*Mais pas sous les ordres de l'échiquier.*pensa Marie.
Pendant que sa soeur parlait, elle regardait les jumeaux, les détaillait, analysait chacun de leurs gestes, leurs moindres réactions même infimes.
*Ils sont très proches dirait-on.*

Lorsque la plus jeune des jumelles se tut, ses yeux rencontrèrent ceux de Marie.
A son tour, l'aînée des jumelles ôta son capuchon. Elle était aussi belle que sa soeur, lui ressemblait en tout point. Exception faite d'un infime détail presque imperceptible pour les autres. Ses iris avaient une couleur plus prononçée, plus rouge, que celle des yeux de sa soeur.
Marie ne dit rien. Elle vint juste se rapprocher un peu plus au côté de sa soeur qui posa la tête au creu de son épaule. Leurs longs cheveux fins comme de la soie attachés en couette hautes comme deux écolières se méllèrent, rouges et roses.
Elles ne quittaient plus les jumeaux des yeux.

Une belle journée, oui, à n'en pas douter, celle qui débutait à l'instant prometait couleurs et lumières sans réserve. Profitant que sa convalescence soit à présent complètement terminée, le prince était sortit des les premières lueurs du jours dans la cour du château pour effectuer quelques entrainements qu'il n'aurait put executer le bras en écharpe.

Sans pour autant avoir recourir à l'utilisation de son ärm, il se contraignait depuis des années à un entrainement physique et psycologique que bien des chevaliers de son ancien pays n'auraient jamais supporté, quand bien même ils auraient été au meilleur de leur forme.

Tout en enchainant actions et déplacements audacieux dans l'espace restreint qui lui était proposé, Fabalio eu à éprouver malgré lui une certaine nostalgie quant à repenser et se remettre en mémoire les longs entrainements avec les autres chevaliers d'Amos.
De tous ces hommes et compagnons d'arme, un seul lui était supérieur, et ce, uniquement dans un combat à mains nues.
Nombreux étaient ceux qui le prenaient autrefois en modèle, nombreux étaient les enfants qui s'endormaient au son seul de ces actes.
A présent, la nature de sa vie était toutes autre ( bien que la création d'un nouveau fan club avait été répertorié... que voulez vous...la classe...tu l'as ou tu l'as pas ).

Mais jamais le prince n'avait désaprouvé son sort, et il l'acceptait fort bien en vérité.

Lorsqu'il eu fini, et ce, sans avoir détrampé ses vêtements de sueur ( la classe ), il détacha ses cheveux, qu'il avait pour l'occasion tressé en une longue natte brune, et passa la main dans ses mèches, les laissant s'entremeler aux détails de son ärm, qui courait amoureusement sur la peau de sa main.
Plaçant son épée dans son foureau, il en profita pour réajuster sa ceinture, tout comme sa tunique. Celle ci était faite d'un tissu souple et léger, qui coulait doucement sur ses muscles, les cachant pourtant du regards des fans jeunes filles en chaleur passants. Mais pour ne rien perdre du spectacle, elle était faite de telle façon, que les charmantes clavicules de notre prince adoré apparaissent malgré tout ainsi que son sublime petit cou.
Mais j'allais presque oublier...le pantalon ! ( il aurait été un peu con sans, quoi que, le connaissant, il aurait eu tout autant la classe ). Ce dernier, tout en cuir, moulait parfaitement ses formes, faisant ressortir son cul bien trop beau pour appartenir à un simple mortel, mais restait assez large et souple pour ne pas le faire chier.

Attrapant sa cape qui trainait par là, il marcha quelques instants, refermant l'épingle, laissant les longs pans virvolter dans la brise légère comme des plumes de papillons .
Ce fut en arrivant près de la porte d'entrée qu'il remarqua les jumeaux, accoudés nonchalament aux batants, faisant face à deux autres jolies petites jumelles. Quel monde je vous jure...bientôt être fils unique sera classé dans les bizareries du genre humain.

Alors que ces demoiselles ne disaient tout bonnement rien au prince, les jumeaux eux, ne lui étaient pas inconnus, puisque que comme lui ils faisant partie de l'échéquier, mais plus particulièrement, parcque Devon lui avait parlé de ces êtres...enfin plutôt ces morfales de chairs fraiches.
Mais comme il n'avait plus rien à foutre dans ce trou à rat, autant approcher un peu.

Arrivant à quelques mètres, usant sans mal de sa faculté à se faire discret, Fabalio posa son superbe petit popotin, croisant les bras, profitant du petit courant d'air que créait la porte ouverte pour se donner encore plus de classe. Et oui, c'était un poseur, mais un poseur qui assurait, il fallait bien l'avouer.

Parcourant du regard l'anatomie des jumeaux, il eu un pincement au coeur...

* Encore des gamines qui se jettent dans la gueule du loup...qui recherche le pouvoir dans les plus grandes entreprises. Et qui bien trop tard comprendront qu'elles ne peuvent faire marche arrière, que les portes vous sont à jamais fermées...que vous êtes pris au piège dans la plus infernale des machination...*

Soupirant lentement, il eu un léger sourir.

*Qu'importe la mort à présent...la quête ne se finie pas là. *

[ En déprime totale????? Notre prince d'amour????? bah complètement je dirais...mais sinon c'est pas drôle. ]

Mais malgré ses pensées noires, malgré l'ensembles de ses dires, Fabalio gardait la classe, paisiblement posé à observer le groupe de jumeaux ( vont finir par faire un club ceux là ), sans pour autant se cacher. A quoi bon...quand on est si canon.

Nos deux jumelles étaient donc en train de dévorer des yeux des jumeaux avec un petit minois tout à fait charmant de jeunes filles délicieuses et interressées par cette rencontre qui promettait.

*On devrait peut-être aller à la cross guard.* pensa Marie.
Certes un duel avec ces deux jumeaux seraient très instructifs mais ce n'était pas exatement cela qui les interraissaient.

Soudain, les yeux de la jeune fille glissa vers l'ouverture de la porte. en effet, derrière les jumeaux se tenait un homme absolument bien foutu et très classe qui observait les jumeaux.
Cassandre releva la tête suivant le regard de sa jumelle.

"Un ami à vous ?" interrogea Marie.

[Je laisse le soin aux jumeaux de répondre.]

... Hmm... Sans doute... Voilà que le joli coeur se mettait alors a bavarder, il ne semblait pourtant pas très bavard. Cependant, il avait une jolie petite frimousse... Féminine, certes, mais qui lui allait bien. Zandel, par contre, semblait plus débutatif que son frère sur cette personne. Alors qu'il tentait de faire de la propagande, en tenant les deux jumelles dans ses bras, Hanzel, lui, s'étira longuement devant le nouvel inconnu.

- Oui... Mais je dirais qu'à ce moment là, il est trop tôt...

Son ton était agréable, mais on voyait bien qu'il était fatigué, ses nuits blanches le suivait de trop près... haa... Maudit Zandel XD

Le cadet des frère se retourna et regarda son frère amener les deux jumelles, il prit a son tour la parole.

- " Vrate! Comme dis mon frère, ce n'est pas simple de rentrer dans l'Echequier.... n'est ce pas? "

Dit-il a l'intention de Fabalio, notre craneur italien ? ^^

Nos deux jumelles assistaient avec un intérêt aiguisé le face à face qui se jouait en cet instand.
Zandel avait passé ses bras autour d'elles et les deux jumeaux regardaient ce poseur tout a fait délicieux dans plusieurs sens du terme qui s'était tapé l'incruste ce qui ne dérangeait pas du tout nos deux poupées, bien au contraire.

Cassandre observait discrètement le prince bleu, refermant un peu plus sa cape qui dissimulait maintenant tout son joli corps.
Ce n'était pas que l'arrivé de ce joli coeur l'eu mis mal à l'aise, ce serait vraiment mal connaitre nôtre belle jumelle, non, c'était plutôt qu'il lui plaisait bien avec son beau minois assez féminin et son sex appel de poseur.
Et l'idée de passer ses jolies doigts fins dans les longues boucles brunes de cet inconnu, juste au creu de sa nuque, ne lui déplaisait pas.

Cassandre et Marie échangèrent un regard tandis que les chers jumeaux bavardaient bien gentiment avec le prince.
Et elle aussi avaient bien envie de faire connaissance avec ces trois beaux gosses.

Marie ne se déplaiait pas dans les bras de Zandel et elle avait la certitudes que ces deux jumeaux pourraient leur apprendre beaucoup de choses, mais on ne tient pas longtemps nôtre sémée d'amour.

Dégageant ses longs cheveux qui vinrent carressaient le métal froid se la longue bague qui ornait le doigt de l'aîné des jumeaux, elle quitta les bras de l'aînée des jumeaux et, après avoir fait un pas, s'arrêta et ôta sa longue cape qui glissa en longs pans vermeilles laissant apparaître tout le joli potentiel de la poupée.

Cassandre soupira, toujours contre Zandel et inclina son joli minois pour mieux voir à la fois le prince et les jumeaux. Elle ne s'inquiétait pas pour sa soeur. Les jumelles étaient depuis lontemps rodées mais il vallait toujours mieux gardait un oeuil sur Marie qui avait toujours aimait les coups bas. Fallait savoir ce qu'elle pensait.

Un sourir s'étira sur les lèvres rouges de l'aînée des jumelles qui se retrouvait entre les deux jumeaux tenant par derrière sa jolie jumelle.

"Pas si simple ?" interrompit Marie, le visage levé vers le ciel que la lumière du matin léché allègrement, les paupières closes.
"Ca na pas d'importance. On veut entrer là-dedans. Le chateaux ne nous interresse pas, on veut juste appartenir à l'organisation."

*Quoi que la chambre sera un avantage certain ...* pensa-t-elle. *Ce que l'on veut c'est les personnes qui sont à l'intèrieur de ce chateaux et faire parti de l'échiquier est une bonne raison pour rester à Lestower.*

Elle rouvrit ses yeux inquisiteurs et de ce rose vermeil perçant si carractéristique qu'elle planta sur nôtre cher poseur à l'italienne et interrogea:
"Que dois-t-on faire ?"

Fabalio avait posé ses coudes sur ses genoux, croisant ses doigts fins, y posant ses lèvres, qui étaient animées d'un superbe sourire à tomber par terre, un rien moqueur.
Lui même n'appartenait pas à l'Echéquier de son plein gré. Il était arrivé là après l'appel de son ami, et on ne lui avait pas demandé son avis.

Mais comme il ne foutait rien pour la reine, qu'il n'avait même jamais vu de près, et qu'il ne se présentait jamais comme un membre actif de cette organisation criminelle, il ne portait jamais l'uniforme du château.
On aurait pu lui dire que c'était un gros squatteur, il n'aurait même pas réagi, tant il n'en avait rien à battre.

Le jeune Prince se releva doucement. Il était bien plus petit que les jumeaux, mais dépassait malgré tout les jumelles de deux bonnes têtes. S'approchant de Marie, qui s'était dégagée de l'étreinte de l'aîné des jumeaux, il avança la main et caressa la peau de sa joue.

" Vous arrivez à une heure bien sombre : il y quelques mois encore on vous aurait répondu " faire vos preuves ", mais aujourd'hui, l'Echéquier est en déclin, et ce château est l'unique chose qui lui fait garder un minimum d'intérêt. Quoi qu'il ait perdu de son éclat d'antan. " ( normal, il est en ruine -_-' )

Marie s'approcha du prince bleu et planta ses yeux de fauve dans ceux, royaux, du bel italien. Elle passa sa langue sur sa lèvre et sourit, approbateur.
A moins d'un mètre du beau prince, elle répondit:
"Nous savons déjà celà. Les gens parlent, surtout lorsqu'il est question de l'effondrement d'une si grande organisation, telle que fut l'Echiquier. Mais nous aurons au moins une chambre pour quelques temps. Nous avons à faire à Lestower et ... des filles qui s'amusent à manger leurs camarades de chambrette, ça ne ferait pas bien chez les militaires de la Cross Guard. Vous n'ètes pas d'accord ?"

Cette question n'était pas uniquement destinée au prince, puisque n'attendant pas de réponse.

Les jumelles demandaient à rentrer à l'échiquier, pas besoin que les autres savent pourquoi.
L'aînée des jumelles allait répliquer, mais elle s'arrêta. Sa soeur, qui avait gentiment quitté elle aussi les bras de Zandel, avait pris sa main.
Marie ferma les yeux et un léger soupir s'échappa de ses lèvres. Cassandre lui sourit. Marie n'eut pas besoin de la regarder pour sentir ce gete de remerciement de sa jumelle. Apparemment, le prince bleu intéressait Cassandre, mais celle-ci n'avait pas vraiment envie de jouer avec lui.
En effet, la cadette des jumelles éprouvait une certaine [comment dire ? ...] sympathie pour le prince. Elle le regarda, de ses beaux yeux de petite fille, et demanda d'une voix douce:
"Peut-on rentrer à l'Echéquier ?"

Ces petites filles étaient decidement...très énervante.
Le prince avait beau être THE ( et unique ) dieu protecteur de la gente féminine, il n'en était pas moins de temps à autre agasser par le comportement de certaines, surtout lorsque celles ci se faisait manipuler par il ne savait qu'elle forme, les plongeant dans la dretruction et le cahot.
Mais bon, il fallait faire bonne figure, et ne jamais laisser paraitre quoi que ce soit. Fabalio était comparable au superbe statue de marbre, taillée par le plus grand des sculpteur. Un héro graver dans la force même de la pierre, avec un sourire dévastateur aux coins des lèvres.

Et plus que tout, il avait appris au cour du temps à se méfier de la pire des armes secrètes, soit THE regard of THe bébé phoque...encore appelé " le regard de la petite fille pure et presque innocente " par certain. On vera même dans une certaine version de star wars, yoda enseigner à Lukounet une nouvelle version de la force, à savoir THE phoque...use the phoque luke...The what ????...the phoque, the phoque between the trees, the rock ( and rol ), between you and me...( enfin vous avez compris quoi )

Donc notre italien de mes deux gardait toujours son air dragueur ( car il le valait bien ), et reculant de deu pettis pas bien contrôlé, se raprocha des jumeaux, dont les jumelles ( bordel ils se reproduisent !!!!! ) s'éeatitne si magnifiquement et sans difficultés dégagée. Elles devaient avoir l'habitude de se fourer partout...putain quelle tricheliade fab' c'est pas sérieux.

"Et bien tout dépend de ce que vous appelez "manger"...mes jolies. Mais aussi de ce que vous êtes capable de faire...au combat ou dans bien d'autre domaines..."

( à savoir que ce post a été écrit au CDI en parfaite illégalité...et que je me suis taper THE grosse méga bare ( vive trichelieu le grand et tout puissant !!! ))

les jum jum réservent ^^

(désolé j'ai pas eu beaucoup de temps pour me connecter...)

Ouais... Ben tout ça, ça commencait a se barrer en quequette... Fallait trouver un truc pour fermer le clapet a ses deux p'tites oies qui papottaien un peu trop. Et puis bon, avec le regard gourmand qu'elles avaient sur une proie qui leurs était déjà reservée, a savoir Fab fab... y'avait interet a ce que ça traine pas trop en longueur.

Les deux nenettes s'étaient dégagées des bras du colosse aux cheveux blancs. Il jetta un regard lent et passif a son frère qui était dans le même état larvaire. Zandel s'étira trèèès longuement a la façon d'un chat. Il attrapa le bras de Fab alors que son frère faisait la même. A la façon de rugbyman, ils l'embarquèrent dans un coin sombre et le violèrent tout la nuit Lui firent un petit briefing vite fait bien fait de la situation.

- " Bon apparemment ces enquiquineuses lachent pas l'affaire, le plan 1 est tombé a l'eau"

Decréta Zandel sur un ton las et vraiment pas réveillé. Hanzel regarda son frère, les jumelles et ensuite Fabalio. Dans un sourire mi charmeur mi enchanté et mi malicieux il déclara alors que son ainé était en train de bailler comme un ours.

- " Tu fais équipe avec nous et on les teste..."

Oula... Elles allaient pas faire long feu les pauvre petites... Enfin bon... Fallait voir si Fabalio, the beau gosse réserved était opé pour faire équipe avec deux bourrins pas réveillés...

A voir a voir...

( oula... Je l'ai pas pondu celui là je l'ai chié T_T pardon )

[Ok ! Alors je laisse Fabalio répondre ça vaut mieux ! Et arrêtez : les jumelles ne veulent pas se taper nôtre superbe prince !!!! Je dois le dire en italien ? ]

Les deux poupées éclatèrent de rire. Un rire clair, joyeux et insouciant dans toute son innocence. Et pourtant, il avait un air malsain. C'était un rire d'enfant, comme en ont les petites filles qui jouent dans la cour de récréation. Et il courrait, ce rire, se faufillant partout comme un serpent glissant sur les trois membres de l'échiquier . Il sonnait comme le début d'un jeu ancien de la folie barbare des hommes, l'annonce que quelque chose de terrible allait arriver.

Un grand sourir étira leurs jolies lèvres roses.
"Il est dangereux de réveiller l'eau qui dort."
La voix de Marie avait changé. Elle était toujours claire mais avait prit une intonnation nouvelle, plus mauvaise, sans sentiment, juste de l'amusement.

Nos deux poupées avaient soudainement changer de visage. Elles dégageaient une énergie malsaine, menaçante et vague, sinueuse ... et noir bien sûr !
Derrière leurs visages d'ange riait maintenant un démon, comme les sorcières qui effrayent tant les hommes. Elles se montraient charmantes poupées de porcelaines au yeux brillants de malice et aux dents aiguisées et pointues prêtes à mordre et à déchirer tous ces insectes humains hurlants er pleurants, prêts à trahir, à vendre tout ce qu'il y avait de plus précieux au monde pour eux afin qu'elles mettent fin à leurs souffrances. Ils gémissaient comme des larves pour qu'elles veuillent bien les épargner et elles, elles riaient de toutes leurs supplications. Quelle pitié méritent ces êtres laches et pourris ?

Combiende gens, innocents ou pas, avaient-elles tués ? Seize ans de vie et plus de victimes à leur actif que la peste elle-même.

Les jumelles Evil étaient un nuage de fumée, volatil, changeant, insaisissable, sans limites, n'obéissant à aucune lois sinon le lien qui les unissai, sans attache et ne dépendant de rien ni personne, ni du Ciel ni de l'Enfer. Un nuage maudit, n'apportant due la fin et la désolation comme une trainée de poudre.
Tantôt, elles passaien leur chemin et ceux, pauvres fous, qui n'auraient pas compris qu'ils devraient remerciaient le Ciel qu'elles les aient épargné et qui chercheraient à les rattraper tombaient bien vite sur le pavès.
Tantôt les jumelles se révélaient être pire qu'un gaz qui prennait le visage de toutes les créatures de cauchemards des humains, de toutes les peurs qui faisaient trembler les hommes depuis la création du monde.

Dire qu'il suffisait d'un seul et unique coup pour arrêter le coeur d'un être humain. c'en était presque ironique lorsque l'on sait aussi bien que les jumelles tout ce que l'homme peut inventer pour détruire son prochain, tout son savoir à réduire à rien ce qu'il a sous la main.

Mais les jumelles aimaient jouer. Au début tuant pour tuer, par nécessité, parce qu'on leur demander, mais aujourd'hui même simplement par envie. Elles vivaient avec ce jeu.
Sentir la peur montait chez leurs victimes au fur et à mesure qu'elles comprennent qu'il ne leur reste qu'un seule issue que la mort, provoquer la douleur pour briser l'être humain, son corps, son esprit, son âme, pousser les victimes au bout de toutes leurs limites.
L'homme avait toujours cette folie, cette mannie, de s'accrocher à tout espoir, même le plus futil possible, d'échapper à ses peurs les plus profondes, que les jumelles aidaient à devenir l'anéantissement complet de l'être.

Les jumeaux et Fabalio les avaient invitées à jouer pour le plus grand plaisir de nos deux jumelles. Même si elles auraient très bien pu se contenter d'entrer à Luberia, car le vol et le meutre était leur domaines de prédilection, elles n'auraient refuser cette mise à l'épreuve pour rien au monde. Et elles pourraient toujours décider de rejoindre les voleurs après ce combat si elles le souhaitaient.
Ces trois membres de l'échiquier avaient de l'expèrience, ce serait un jeu très interressant dans le cirque des deux poupées.

La malice faisait briller d'exitation leurs yeux vermeils assérés et qui dégageaient une telle recherche du pouvoir, une telle envie de vengeance. Les battements des jumelles se firent plus fort mais toujours à l'unisson.
Marie riait doucement puis passa sa langue sur sa lèvre.
"Un test ? Hum ... Est-ce que cela signifitque vous pensez que nous avons quelque chose à vous prouvez ? ...
Enfin. Je suppose que des membres d'une organisations doivent avoir de très bonnes raisons pour en arriver à tout faire pour empêcher de nouveaux membres d'aider à l'organisation et à sa reine ...
Nous acceptons ce combat...Nous qui avions envie de jouer, alors qu'en c'est demander si gentillement ... !"
"Ce sera sûrement amusant." ajouta Cassandre qui se tenait un peu derrière sa soeur.
Nos deux jumelles avaient déjà remarqué la bague aux doigts des juemaux, restait à voir quelle surprie réservait le prince bleu. Sans compter qu'ils étaient tous les trois bien entrainés.

Cassandre leva les yeux vers le ciel. Il n'y avait pas de nuage et l'air étai trop sec pour Marie. Heureusement, non seulement l'ê^tre humain contient 70% d'eau, mais elles avaient aussi de quoi arranger ça. Cassandre déboucha discrètement une bouteille à l'abri des regards de nos trois beaux gosses et déversa son contenu. L'eau se répandit sur le sol sans que personne ne remarque rien. Marie jeta un coup d'oeuil à sa soeur qui vint la rejoindre et demanda:
"Si l'enjeu pour nous est la permision d'entrer à l'échiquier, quel est le vôtre ? Et quelles sont les règles ?"

*Même si nous perdons ce combat, que l'on ne peut pas rentrer à l'échiquier, nous trouverons tous ceux qui peuvent nous permettre de réaliser nos plans ... à commencer par vous, prince bleu.*

Il plaisantait !
Ben voyons, se combattre l'une l'autre ! Alors là il rêvait !!
Elles ne s'affronteraient jamais !!! Elles étaient la seule chose qui comptait l'une pour l'autre, unies pour l'éternité, et jamais elle ne s'affronteraient, sous aucun prétexte et pour personne ! Pour qui se prennaient-ils.

Marie n'y alla pas par quatre chemin et, hors d'elle, giffla le prince bleu et, se mettant à sa hauteur, le regarda avec une colère et une haine sans nom:
"Même pas en rêve !!! Plutôt mourir que de se battre l'une contre l'autre ! Même pas pour l'Echiquier, ni pour aucun de ses membres ! Jamais !!!"

Elle aurait pu le tuer sur place, lui et les deux jumeaux aussi bien impressionnants et entrainés fussent-ils.
"Calme toi Marie !" la retint Cassandre.
Marie n'écoutait pas, elle était trop en colère. Sa soeur la serra contre elle, passant ses bras autour de sa taille, enfouissant son visage contre son dos.
"Lost ! Non. S'il te plait, calme toi. Lost !"

Marie fit volte face et siffla au visage de sa soeur:"Alors quoi ? Qu'est-ce que tu voudrais ? Que je laisse passer ça sous prétexte que ceux sont des membres de l'Echiquier ? Ou qu'il soit quelqu'un de bien ? De quel droit nous demandent-ils une telle chose ? Parce qu'ils sont à l'Echiquier et pas nous ?"

Cassandre se rapprocha de sa jumelle si près qu'elle sentait son souffle rapide et chaud sur sa peau, leurs lèvres se frolant presque. Elle lui murmurait doucement :
"On peut aller ailleur ... si c'est vraiment la condition obligatoire pour entrer à l'Echiquier, alors on passera nôtre chemin. Ca n'a pas d'importance. Peut importante dans quelle organisation nous entrerons, tant que nous restons ensemble. Ensemble, nous pourrons réussir tout ceux que nous voulons ! Nôtre but ! Peut importe si l'on entre à l'Echiquier, à Lubéria, ou même si l'on prend simplement une chambre quelque part, nous pourrons toujours rencontrer les personnes qui pourraient nous aider ."

Elles étaient restées étonnament calmes, pour guarder une image la plus polie possible, mais les deux jumelles n'avaient vraiment pas apprécié ce jeu-là. Marie soupira et desserra les dents.
"Si c'est l'unique choix que vous nous permettez alors nous préférons refuser vôtre offre."
*Sans rancunes*
décida la jolie poupée toujours tournée face à sa soeur. Puis, se retournant vers les membres de l'Echiquier, elle leur dit avec un sourir:
"Nous allons donc vous faire le plaisir de vous laissez seuls tous les trois. Au plaisir de vous revoir, beaux gosses."
"Au revoir messeigneurs." les salua une dernière fois Cassandre, avec un joli sourir sincèrement chaleureux et bienveillant celui-là.

Et nos deux jumelles tournèrent les talons, main dans la main.

Oui y a pas à dire, ces petites garces étaient plus que chiantes, et elles continuraient de faire chier le monde, si on ne leur offrait pas ce qu'elles désiraient et vite. Fabalio avait toujours aimé gater les femmes, mais là, ce n'était pas de gaité de coeur qu'il consentait à leur offrir cette fleur. Car certes il c'était déjà reçue pas mal de baffes dans ça vie, mais elles avaient toujours été rendues au centuple.
Mais la colère du prince devrait attendre un peu.

Il fallait en finir avec cette histoire, et aller se calmer les nerfs dans un autre lieu, sans que ces minettes ne viennent les emmerder.

Ces jeunes filles semblaient sûr d'elle, à m'en plus finir. Mais mieux que n'importe qui, le jeune chevalier savait qu'il ne valait mieux ne pas trop se surestimé. Elles se croyaient invincible, et c'est dans ce détails de leur personnalité qu'elle créaient une faiblesse de taille.

Il était resté sans réaction à la suite de la claque, toujours confortablement installé sur les jumeaux, passant sa langue sur ses lèvres pour les rendre quelque peu plus humide, il parla d'un ton incroyablement las.
" Votre chambre se trouve dans l'aîle Nord du château, au deuxième étage, couloir de gauche, sixième porte à droite..."

Puis ils le regarda avec une lueur non cachée de mépris dans les yeux.

" J'espère que vous passerez un bon séjour. "

( peut être qu'on laissa les jum'jum' répondrent pour une fois )