Deux poupées à la taverne

Marie s'arrêta dans une rue de Lestower. Cassandre vint la rejoindre.

Les deux jolies demoiselles exploraient les rues de la grande capitale à la recherche d'un travail.

Cassandre suivit le regard de sa soeur. elles s'étaient arrêtées devant une taverne. Marie avisa l'écriteau portant le nom de l'établissement."La taverne de la poupée de cire".

A l'évocation de poupée, Marie frissonna d'exitation et regarda l'établissementavec un intérêt de plus en plus prononcé. Jetant un regard complice àsa soeur, elle poussa la porte de la taverne.

C'est ainsi qu'apparurent dans la taverne, grouillante et bruillante, deux adorables poupées.
Habillées pareilles, les deux jumelles portaient une jupes bordeau plissée et un corsage de même couleur aggrémentée avec finesse de dentelle blanche. Elles étaient chaussées de jolies bottines noires. Leurs longs et fins cheveux roses étaient coiffés en deux jolies couettes retenues par un ruban de dentelles blanches.De grands yeux rosés illuminaient un adorable minois.

Elles avancèrent dans la taverne sans s'intérresser le moins du monde aux clients et se présentèrent, un charmant sourir de jolie fille sur leurs lèvres roses, au comptoir devant le patron assis sur son tabouret.

Anaria avait reprit bien vite son travail, ne supportant pas rester au repos dans sa chambre à attendre un complet rétablissement.

Elle avait changé, l'approche de la mort avait su transformer en elle des défauts, ou d'autres détails de sa personnalité, comme son côté suicidaire, ou encore son besoin quotidien de drogue, quel qu'elle soit.
Et même physiquement, son corps avait enfin prit un nouveau tournant, devenant de plus en plus celui d'une femme, entière et parfaite dans sa beauté pareille à celle d'un être immense et incroyable.

Avec l'aide d'Armand, qui n'avait de cesse de voir sa santé s'améliorer, elle avait reprit un peu de poids, pas des masse bien sur, mais juste assez pour ne plus être anorexique. Ses formes généreuses semblaient plus harmonieuses, son regard plus profond.
Et de cette façon, de par le changement de son être, son passé douloureux disparaissait doucement, tel la course imperturbable des jours d'une vie, et elle ressemblait un peu moins à une pétasse de bordel dans son uniforme de bunny girl.
Même avec ce costume ridicule, elle avait THE classe.

C'est à cet instant qu'entrèrent dans ce noble établissement, deux superbes poupées, complètement jumelles et très appétissantes, il faut bien le dire.

* Putain, c'est pas vrai ce qu'il peut y avoir de meuf au mètre carré dans le secteur...*

Se dirigeant vers les nouvelles venues, elle leur adressa son plus beau sourire, celui d'une femme belle et heureuse, bien que quelques peu contrariée par son mec ces derniers temps.

" Je peux faire quelques choses pour vous mes demoiselles ? "

Nos jumelles étaient arrivées au niveau du comptoir quand une femme vint les accoster.
Elle était habillée en bunny girl, charmand costume d'ailleur mais les jumelles auraient préféré un costume de chat. Cependant cela ne faisait apprécier que d'avantage à Marie cet établisssement.

La serveuse, car s'en était bien une, était superbe. Elle avait une grâce tout à fait charmante, une beauté certaine et naturelle de femme qui s'épanouissait.

Les jumelles admirèrent cette splendide créature comme deux chattes tranquilles et dociles.
Cassandre regarda la serveuse et lui sourit. C'était un joli sourir qui illuminait son doux visage. Un sourir plutôt engageant.
Sa main glissa pour rencontrer les doigts de sa soeur.
Marie aussi regardait la charmante serveuse. Elle ne souriat pas certes mais son visage ne reflétait rien de mauvais mais plutôt ouvert et chaleureux.

Elle savait bien que dans ce genre d'établissement il vallait mieux rester tranquil et ne pas accepter n'importe quoi. Mais elles n'avaient aucune intention de faire un quelquonque faux pas ni de tremper dans une quelquonque relation autre que proffessionnelle.

Marie répondit d'une voix claire, et assez innocente je dois dire:
"Nous voudrions savoir s'il serait possible que l'on nous acorde un poste dans cet établissement. S'il vous plaît ?"

En entendent parler d'un sujet qui le consernait, le marionnettiste releva la tête et remarqua enfin la présence des jolies demoiselles dans sa gargotte miteuse.
Comme à son habitude il était en train de glander derrière le comptoir, le cul vissé à son éternel tabouret. Un seul détail pourtant différait de l'ordinire, il y avait calé sur ses genoux osseux une adorable poupée aux longs cheveux blonds, vêtue d'une robe rose fermée par trois petits boutons en forme de cookies. Elle s'affairait à tricoter de mignon chaussons de bébé, blanc à rayures mauves, assortis à la cravate de l'heureux papa.

"Alors comme ça vous désireriez travailler ici ? Dans ce cas c'est à moi qu'il faut vous adresser, je suis le propriétaire de ce respectable établissement, Devon Kenta."

Il laissa un silence durant lequel il examinait l'allure des deux jumelles, les trouvant absolument adorables. Malgrès ça il dû prendre une descision qui lui fendi le coeur autant qu'à moi, mais à laquelle il ne pouvait échapper.

"Je regrète, mais je ne peux pas vous engager. Non pas qui vous ne seriez pas apte à faire ce travail, mais pour une autre raison. Dans quelques temps je vais devoir quitter Lestower en entreprendre un grand voyage, je ne pourais plus m'occuper de la taverne. Si vous voulez vraiment être serveuse, parlez en avec mon remplaçant. Vous comprenez, je ne peux pas lui imposer du personnel, d'autant que je ne sais pas plus que vous pour combien de temps je serai absent."

( post court mais comprenez moi, je viens de finir celui d'à boire ! alors j'ai besoin de me détendre un chouïlla )

Le fait que Devon s'en allait ne chagrinnait pas la jeune femme, car il est vrai qu'un peu de vacances ne seraient pas de refus, c'est triste à dire, mais dans sa proffession, elles étaient bien rares.
Mais ce n'était pas dans les projets de la jeune personne de chomer pendant l'absence de son patron.

Elle avait été mise au courant par son chéri n'amour du départ iminant ~~de l'esclavagiste de service~~ du marionnettiste pour la lointaine contrée de sa propre chérie d'amour, où naittrait leur bébé d'amour.

Anaria redoutait malgré tout le retour du jeune couple et de leur bandin...car cela signifirait sans nul doute qu'Armand lui réclamerait le même comme cadeau de noël.

Quelque peu dépité par ce détail, la jeune femme se permit d'intervenir dans la conversation de son cher patron et des nouvelles.

" Il faut le comprendre, ce voyage est important pour lui et pour d'autres personnes. La taverne sera toujours ouverte bien entendu, mais il semble que mon cher patron ne veille engager aucune autres serveuses, du moins pas avant son départ. "

Elle adressa un sourire à Devon avant de poursuivre.

" Mais si vous cherchez à tout prix un emploi, il est de mon devoir de vous informer que la boîte de nuit de Neverland, située juste en dessous de l'endroit où je vous parle, serait très interressée par la présence de deux jeunes serveuses de votre condition. "

Elle s'était complètement redressée, s'aidant des talons qu'elle portait pour apparaitre encore plus imposante, grande dans sa magesté.

" Seriez-vous interressé mes jolies ? "

[C'est d'ailleur très impresionnant !]

Ainsi, le propriétaire allait s'en aller pour un certain temps. Dommage.

"Nous comprenons." répondit simplement la plus jeune des jumelles.

L'offre de l'elfe néanmoins ne manqua pas d'ntérresser nos deux poupées qui répondirent avec un beau sourir à la propsition de la charmante serveuse.
"Ce serait avec plaisir. Nous serions ravis d'accepter votre offre."

Marie reprit:
"Permettez nous de nous présenter. Je m'appelle Marie et voici ma soeur Cassandre."et elle inclina doucement la tête respectueusement.

( ça m'a pris un temps...t'immagine pas -_-' )

Belles à croquer, ces charmantes et délicieuses créatures avaient donc des noms, qui leur allaient particulièrement bien. Deposant lentement son plateau sur l'une des tables les plus proches, elle y pris appui, attapant une clope ( me demandez pas où elle les range...j'ai peur de pouvoir vous répondre ) et l'alluma. Fine et blanche, la cigarette crépita doucement, entre les lèvres écarlates de notre bunny girl chérie.

" Et bien mes jolies, je suis ravie de vous rencontrer. Pour ma part, je ne suis qu'une serveuse dans cette taverne, mais beaucoup me connaissent comme gérante de cet établissement de Neverland. Je serai honorée de vous avoir à mon service. "

Reprenant son plateau, elle les quitta un instant, allant chercher quelques chose. Revenant bien vite, elle leur présenta une feuille, ainsi qu'une plume et de l'encre.

" C'est votre contract. Si vous êtes toujours interressées, il vous suffit de signer. Notre établissement est particulièrement respectable, votre travail consistera à servire les nombreuses commandes des clients dans la grande salle, et ce, quatre nuits par semaines. C'est une travail dur, mais je suis persuadé que vous serez apte à cet emploi. "

Anaria disparut un instand.
Marie s'assit, légère comme une plume, sur une table en face de Dévon et Cassandre s'assit sur une chaise en posant tendrement la tête sur les genoux de sa jumelle ses grands yeux roses doux et attentif comme pour demander des calins.
Sa soeur carressa ses longs cheveux teints, fins comme de la soie, faisant glisser ses longs doigts blancs glissant avec amour sur sa nuque et son oreille.
Ses beaux yeux de jeune poupée avertie glissèrent vers le marionnétiste, son royal petit cul toujours scotché à son tabouret. Elle le regarda un moment et dans ses yeux plus rouges que ceux de sa jumelle se reflétait son image.

Elle faisait cela souvent avec Léo quand elle le rejoignait dans la cabane. Elle ne devait rien faire, rien dire, juste essayer de lui appartenir. Elle, la poupée sémée qui faisait pleurer les hommes, écouter leurs prières idiotes et inutiles avant qu'elles n'en finissent.
Jumelles face au monde. Jumelles hors de la vie et de la mort.
Pauvre gamin ! S'en doute, il n'aurait pas du finir comme celà !
Mais que voulez-vous ? On ne s'attache jamais impunément !

Le visage de Cassandre vint froler la peau de sa jumelle. Celle-ci regardait toujours le patron. Marie répondit à sa soeur en carressant de ses ongles longs le creux de sa gorge.

C'est à ce moment, qu'Anaria chérie revint, une feuille de papier, une plume et de l'encre.
Les jumelles s'étaient de toute façon bien doutées que la splendide femme, aux allures de reine du monde qui plaisait tant aux jumelles, était la patronne de la boîte de nuit dont les deux poupées avaient déjà bien entendu parler par le bouche à oreille depuis leur récente arrivée ici.

C'était une idée qui plaisait beaucoup aux jumelles, de travailler pour l'elfe qu'elles avaient tout de suite beaucoup appréciée, chose dont très peu de personnes peuvent se vanter, et certainement aucune d'encore vivante.

Marie prit le papier que les jumelles lurent avec soin, la main droite de Marie serrant la main gauche de Cassandre dans son dos. Marie eut un sourir et jeta un coup d'oeuil à Anaria.
L'elfe serait donc leur nouvelle patronne.

Les jumelles échangèrent un regard. Cassandre prit la plume et signa. Marie apposa de même son nom sur le contrat. Elles se relevèrent et Cassandre vint murmurait quelque chose à sa soeur dont le sourir s'élargit sur ses lèvres et elle jeta un imperceptible regard à leur magnifique employeur.
Un regard que l'on ne pouvait réellement définir. Mais l'on pouvait y percevoir une pointe d'adoration et d'attentions, mélange quelque peu contradictoire, surtout chez les jumelles.

Elle lui rendit le contrat signé et répondit:
"Merci pour vôtre offre. C'est un adeau que l'on n'oubliera pas. Nous n'avons pas pour habitude de décevoir nos clients. Dites nous juste quand doit-on commencer et comment devons-nous nous présenter."

Anaria reprit le précieux parchemin que ces jeunes demoiselles belles à croquer lui tendaient, après l'avoir soignesement signé, et le plia en quatre, avant de le ranger dans le plis généreux de sa poitrine qui l'était tout autant.
Prenant place, et laissant complètement Devon sur le cul, elle savoura le fait de faire des affaires sur son propre lieu de travail, devant la personne même qui l'employait.

Croisant les jambes, elle posa les coudes sur le bois sombre et quelque peu sale de la table, et entremela ses longs doigts fins. Puis elle regarda les jumelles avec un regard de fauve à proies. Mais ce contract était loin d'être un piège, la jeune femme s'était juré de ne plus effectuer toutes activités illégales, qu'elle avait pris plaisir autrefois à pratiquer.

"En tant que votre employeur, vous devrez m'obéir au doigt et à l'oeil, je ne tolère pas que l'on discute mes ordres, surtout sous mon toit. Un uniforme vous sera remis lorsque vous débuterez. "

Puis elle se releva, attrapant son plateau, bien decidée à continuer son service à la taverne, sinon Devon ferait encore une crise comme quoi elle ne travaille jamais.

" Vous commencez demain, une fois la nuit tombée. "

Les jumelles écoutèrent avec soin les consignes de leur patronne.
Un frisson parcourut Marie lorsque l'elfe s'apprêta à partir, reprenant son travail.

C'est alors que Cassandre saisit sa soeur par le poignée et lui lanca un reguard insistant et empressé comme pour insiter sa soeur à faire quelque chose. Marie la coupa d'un coup d'oeuil mais la plus jeune des jumelles sembla ontrariée et alla se planter devant le comptoir avec élégance.

Marie la regarda s'éloigner, manquant de tenter de la retenir et soupira. elle jeta un dernier coup d'oeuil à sa petite soeur qui, bien qu'elle lui tournait le dos, attendait la réaction de sa jumelle.
Marie savait bien que Cassandre cherchait seulement à limiter les déceptions et le tord qu'elle pourrait faire dans les conditions de sa maladie et qu'elle n'aimait pas au moins autant que Marie ce genre de situations.
Parfois, il lui arrivait d'être si malade que même respirer était une torture. Mais l'aînée de jumelles détestait à avoir à s'excuser d'avance pour les absences de sa jumelle pendant lequelles Marie ne pouvait même pas rester veiller à son chevet et où elle devait la laisser seule dans leur chambre, seule à en mourir.

Ces escuses là répugnaient aux deux jumelles. Cette maladie était le fardeau de sa soeur, sa croix et sa honte.
Bien sûr, Marie ne pouvait pas dire la vérité, s'eut peut-être été plus simple, mais elle ne pouvait pas.

Cela ne faisait rien. Mentir n'était pas un problème.
L'aînée de nos deux jolies poupées s'avança donc vers Anaria qui avait déjà repris son plateaux et commencait à servir un client et l'interrompit polimment avant que le client est pu en placer une.

"Escusez moi. Je suis désolée de vous interrompre si tôt mais je me dois de vous prévenir. Ma soeur risque de manquer certains jours. Je ferais sa part ce n'est pas un problème. Il sagit ..."

Pourquoi se ravisait-elle maintenant ? elle même ne saurait le dire. mais l'idée de mentir à nouveau sur les absences mystèrieuses de sa soeur la dégoutait un peu. Elle n'aivait d'ailleur pas besoin de mentir, elle n'avait qu'à omettre certains points. Elle reprit donc, bien que l'interruption ne soit restée qu'imperceptible.

"Nous ne pouvons pas donner de raisons. Nous tenions simplement, ma soeur et moi, à ce que vous soyez prévenu afin que vous puissiez disposer de nous en connaissance de cause. Sur ce, navrée de vous avoir interrompu dans vôtre service."

Aussitôt dit, elle s'en retourna vers le comptoir rejoindre sa soeur à la hate sans même avoir laiser le temps à nôtre bunny girl adorée de réagir.

Cassandre s'était assise au cmptoir, laissant Marie s'escuser pour elle comme à chaque fois. Elle jeta un coup d'oeuil au patron toujours assis sur le tabouret en face d'elle une poupée en train de tricoter des chaussettes pour bébé sur ses genoux. La jeune fille sourit, d'un pâle mais non moins chaleureux sourir.
Elle leva les yeux vers le plafond, renversant un peu la tête en arrière comme pour retenir des larmes. Elle se sentait une enfant fragile et prisonnière d'un corset bien trop serré pour ne pas qu'elle s'envole, emportée par le fantôme de sa maladie.

De ses yeux tristes elle regardait les rainures du comptoir, ses mains fines trainant doucement dessus. Elle adorait sa soeur. Elles avaient toujours étaient inséparables, plus liées que des siamoises. Mais il était évident qu'elles finiraient par être séparées. Elle ne pourrait pas toujours résister à la maladie. Elle aurait voulu que, lorsque le moment sera venu, elle meurt d'un coup, sans agonie, sans que sa soeur est le temps de chercher par tout les moyens de la retenir une dernière fois. Elle ne voulait pas à avoir à arriver à la supplier de la laisser partir, qu'elles se séparent.
Comment lui faire accepter cela ?
Jamais Marie ne pourrait.

Cassandre ne voulait pas la quitter mais elles n'avaient toujours pas trouvé le moyen de la soigner définitivement, seulement de retarder la fin. Quoiqu'il en soit, cassandre ne voulait pas mourir, elle ne voulait pas quitter sa soeur !

La plus jeune des jumelles sortit un petit miroir de sa manche et se regarda. Elle était bien trop pâle et ses yeux si roses, au reflet sanguillonant comme les rivières vermeilles qu'elle crachait lors de ses quintes de toux, les litres qui s'échappaient de ses entrailles.
Ses longs cheveux teints ne faisaient qu'accentuer la blancheur de son teint.

Cassandre ferma les yeux et un sourir se dessina sur ses lèvres minces. Elle ressemblait à une véritable poupée ! Elle leva ses grands yeux d'enfant vers Devon et demanda de sa voix claire:
"S'il vous plaît, je voudrais boire quelque chose (mais pas un jus de fruit non plus !) !"

C'est à ce moment là que Marie rejoignit sa jumelle:
"Pour moi aussi s'il vous plaît !" commanda-t-elle avec un sourir en jetant un regard au marrionnetiste, toujours prostré sur son tabouret.
Puis, elle se tourna vers sa jumelle et lui demanda gentiment:
"Tu es contente ?"

Anaria avait repris son travail, avec le sourire aux lèvres, que voulez vous, une fois n'est pas coutume.
Mais, tout en gardant ce si charmant sourire de star, la jeune elfe continuait malgré tout d'observer les deux jumelles, ses nouvelles employées d'amour.

Elles étaient étranges, soudées et pourtant...différentes, comme si un mur les séparait complètement, et les empêchait de ne faire qu'une.
Mais jamais elle n'aurait pu imaginer que cette séparation était le simple fait de la maladie, de la marche inéluctable de la mort sur un être cher, alors que nous restons en vie, à attendre sagement notre propre tour.

Lorsque l'aînée des sœurs vint parler à notre si charmante et gracieuse jeune serveuse, elle ne lui laissa pas le temps de répondre, mais tout juste de faire un simple signe de tête, preuve qu'elle acceptait toujours de les avoir à son service, et ce malgré la contrainte qu'elles venaient de lui poser.

( suite pour mon propre employeur ^^ )

» Quelques indications au sujet de la taverne
» La taverne de la Concurrence
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