Le Seul et l'Unique.

Voilà plusieurs jours que Phil et Hugar vivaient ensemble et ne se quittaient plus. Philibert n'avait pas besoin de le coller pour sentir près de lui, comme il l'avait fait avec Nathan et les autres. Hugar était adorable avec lui, très attentionné. Phil était heureux de recevoir et de donner autant d'affection, mais il était un peu mal à l'aise.
Il ne lui avait rien dit.
Rien, pas un mot sur lui ni sur d'où il venait. Hugar l'avait acceuillit sans rien lui demander, et ça Phil n'aimait pas trop. Il avait l'impression de lui cacher des choses importantes, qu'il devait savoir. Mais d'un autre côté il n'avait pas aussez de courage pour lui raconter la vérité. Malgrès la confiance qu'il portait à son amant, l'anneau avait peur d'être rejeté à cause de ce qu'il était.

Toute ces pensées l'avaient travaillées pendant la nuit, où il n'avait pas dormi, trop occupé à regarder Hugar dans son sommeil. Il le trouvait incroyablement beau et n'avait jamais le coeur de le réveiller. Phil se détâcha de sa contemplation pour se lever, sans faire de bruit. Il enfila sa tunique bleue ciel et descendit dans la cuisine du chat beauté. Il avait faim et se doutait que quand Hugar se réveillerait, il aurait aussi envie de manger.
Et ainsi l'anneau se lança dans la confection de crèpes sucrées pour son cher et tendre.
(la poêle à frire n'a jamais été aussi proche mes frères *w*)

Hugar n'avait jamais aussi bien dormi que cette nuit là. Il était calme, serein, complet. Il avait enfin trouvé une raison de continuer à vivre.
Le bonheur était partout désormais.
Mais petit à petit, Hugar setait bien que quelque chose n'allait pas avec Phil... Il était ailleurs.
C'était décidé, il lui parlerait demain!

Ils passèrent encore une nuit adorable ensemble; mais Hugar sentit le contact de son doux amant le quitter au petit matin, mais Hugar était trop faible pour le retenir, et puis après tout, il fallait que Phil vive aussi!
Il se leva alors, quand le soleil fut déjà bien levé, et descendi en baillant les marches de l'escalier. Petit à petit, une douce odeur sucrée vint lui titiller les narines et lui mettre l'eau à la bouche.
Il arriva enfin dans la cuisine, et vit son amour en petit tablier rose, portant l'immortel symbole du chat, en train de faire....
"AAAAhh!!! J'adore les crêpes!!!!! >.<!" ne put-il s'empêché de lâcher.

Phil sursauta à son apparition, mais ne pu s'empêcher de rire à la reflexion de Hugar.

(Comment ça Phil porte un tablier rose ? =.=)

Phil sourit gentiment, en esseyant de retenir un profond sourire béat et stupide de uke heureux qui commencait à apparaitre sur son visage.

"Ca tombe bien, c'est pour toi ♥" Dit-il en lui désignant de la main une assiette pleine de crèpes rondes et dorées, d'où émanait une douce chaleur. (Rhaaaa ça y est j'ai faim @_@)
Philou était assez doué pour faire à manger, et aimait se comporter en gentille petite femme au foyer. Le rôle qu'il s'était attribué dans sa relation avec Hugar lui convenait tout à fait, et d'ordinaire il prenait un certain plaisir à ce faire dominer.

Mais ce matin, alors que monté sur un tabouret pour atteindre une étagère couverte de pots de confiture rouge teinté d'or, il réfléchit beaucoup, à lui, à Hugar, à sa situation. Il n'était pas vraiment parvenu à un conclusion, mais avait au moins la certitude qu'il devait lui dire deux mots. Et ça il le ferait devant des crèpes.

Il avait beaucoup cojité à ce qu'il dirait, mais maintenant qu'il se trouvait au pied du mur, il était chancellant. Hugar mangeait ses crèpes, suivant le plan du uke, c'était le moment de lui parler.

"Hugar, ça ne te gène pas de ne rien savoir de moi ? Moi ça ne m'embête pas que tu ne me dises rien sur toi, tu as tes secrets. Mais, regarde moi. Un magicien de ton niveau à dû se rendre compte au premier coup d'oeil que je ne suis pas humain."

(Fufu.. Je te rappelles qu'à l'origine, Philou devait être nu =.= Je vois que ça t'as marqué les tabourets d'hier! XD XD XD)

Gaaa...
Hugar se régalait, cela faisait une éternité qu'il n'avait pas mangé de crêpes...... Il adorait ça!
Il vit le p'tit bonhomme [Phil u__u] se démener puis gigoter.
Il se demandais ce qu'il avait, quand enfin, Phil vint le voir pendant qu'il boulotait et lui demanda pourquoi il ne posait aucune question.

"Ouaip', che chais que t'es pas humain. Et alors? Chtaime comme cha!"Il avala ce qu'il avait dans la bouche [.....]"Et puis, je m'en fiche que tu sois "différent", moi aussi je suis "différent". Mais si tu ressents le besoin de me parler, n'hésite pas un instant, je suis prêt à tout entendre. En revanche, j'exige une seule chose. Si tu me raconte ta vie, je dois être quitte avec toi et te raconter la mienne.
Qu'en penses-tu?"

(fufufu et toi tu es tombé dans mon piège...)

Phil sourit, il était heureux qu'Hugar prenne le chose de cette façon. Il s'appretta à lui raconter sa vie jusqu'à aujourd'hui. Elle n'était pas très drôle et il était profondément mélancolique. Sa voix était triste et son récit était entrecoupé de douloureux soupirs.

"Je suis né dans une province appellée Modor. C'est le tout puissant seigneur de ce pays qui m'a donné la vie à partir d'un anneau d'or, et cette apparence que tu vois grâce aux sciences et aux reliques merveilleuses d'un pouvoir interdit, dont toute trace et désormais effacée de la mémoire des hommes, le temps ayant eu raison d'elles.
Cet personne s'appellait Saumon, et avec moi il était... Pour expliquer plus simplement, il ne m'avait pas conçu dans l'idée d'avoir un fils, un ami, une arme destructrice. Non rien de tout cela ne l'interressait. Il avait besoin d'un jouet, et ce jouet c'était moi.
De ce corps aux formes encore enfantines, jusqu'à ma personnalité même, tout à été crée selon ses goûts. Pendant tout le temps où j'ai vécu avec lui j'ai été son jouet. Il me prenait quand il en avait envie, et peu lui importait mes cris et mes pleurs, car après tout j'avais été crée pour ça."


Il soupira et baissa la tête. Il avait besoin de reprendre un peu de souffle et fit une pause avant de reprendre l'histoire. Il commençait à avoir les larmes aux yeux.


"Puis il est mort, un jour, au cours d'une bataille. J'étais abattu, car même s'il prenait plaisir à me faire du mal, c'était mon créateur et j'avais appris à aimer cet homme là. Mais ce fut un autre qui m'emporta dans son pays, me gardant à ses côtés comme un trophé. Je le détestais, je les détestais tous. Et tout ceux qui m'urent entre les mains, se virent mourir de par ma faute. A cette époque je ne désirais revenir à mon premier maître et fit tout pour que ce soit possible. On racontait qu'il avait survécu, et je voulu le rejoindre. Je suis passé sous beaucoup de personne pour ça, tous me désiraient et il fallut que j'en prenne mon parti. Mais je n'avais qu'un but, et pour ça je manqua de mourir, ce que fit mon créateur.
Cela me fit prendre consience, et je m'enfuit sur ces terres isolées, Mär heaven. Ici je devint voleur, pour survivre. On fait ce qu'on peut pour manger Et comme je n'étais pas vraiment très doué, j'entra dans la guilde de Lubéria."

Il laissa à nouveau un temps d'arrêt durant lequel il essuya les larmes qui coulaient sur ses joues roses et douces.

"Là bas je rencontra un homme dont je tomba amoureux. Nathan Klappton, aujourd'hui encore prononcer son nom me serre le coeur. Il me faisait penser à Saumon, mon premier maître. Il avait le même regard et cet air ténébreux qui me plait autant. Mais... lui ne m'aimait pas. Et il me le fit comprendre de la plus méchante façon."

Il prit sa respiration, il étouffait à moitié sous les sanglots qui lui secouaient le coeur. Hugar lui tendit une main bienveillante et Philou la serra très fort dans les siennes et poursuivit.

"Tu sais cette cicatrice qui me déchire le ventre. Elle est là depuis cette histoire ratée. C'est lui et quelqu'un de la Cross guard qui me l'ont faient. Ils m'ont torturés toute la nuit. Ils... ils voulaient savoir de quoi j'étais fait, alors ils m'ont ouvert. Je ne suis certes pas humain, mais est-ce que je méritais vraiment ça ? Et celle qui m'a infligé tant de souffrance, c'est la personne que j'aimais le plus au monde."

L'unique se leva de sa chaise et tomba à genoux sur le carrelage de la cuisine, aux pieds d'Hugar. Il glissa son visage trempé de larmes sur les cuisses de son amant qui lui carressait ses cheveux d'or pour le consoler.

"Je me suis tué peut de temps après. C'était horrible ce jour là, alors je ne vais pas te le raconter. La seule chose que je peux te dire c'est que je suis revenue à la vie plus tard, par un coup du destin. J'ai décidé de mettre cette vie à profis pour me venger. Aide moi Hugar. Je ne peux pas faire de mal à Nathan, car à présent je sais que ce n'est pas réelement de sa faute, mais jamais je ne pourais pardonner à Steves Jollmer. S'il te plait Hugar, aide moi. J'ai besoin de toi pour vivre désormais. Je sais au fond de moi que tu es bien le seul qui ne me fera jamais de mal.... Je t'aime."

Il releva la tête et l'embrassa, passionnément.

Hugar du faire un effort considérable pour retenir ses larmes. Mais malgré ses efforts, une larme amère vient perler au coin de son oeil attendri et devala la pente de sas joue.
Il s'en voulait terriblement. Hugar ne pouvait rien pour ce jeune homme pleurant à ses genoux.

"Je... je suis désolé" murmura-t-il enfin, ne sachant quoi dire."Je suis vraiment navré... En tout cas, je te jure sur l'Univers que tu ne souffrira jamais avec moi.. et... et que je serais toujours là pour toi et pour te protéger.. Tu ne sois plus être triste à présent, plus jamais... Je t'aime, Phil..."

Ils se calmèrent, et Philibert se rassit en face de son tendre.

"Maintenant, je t'ai promis de t'en dire plus sur moi... Je... Je suis né il y 103684 ans, sur ce que vous appellez.. la Lune. Nous, nous l'appellons Selenía. A cette époque, Selenía était sûrement le coin le plus paisible du Tout. Lorsque je suis né, je présentais déjà des pouvoirs extraordinaires. Je me suis rapidement fais idolatré et choyé par tout le monde. Mais j'avais le pouvoir de vie eternelle, et je vis les gens autour de moi mourir petit à petit alors que moi je vivais, et grandissais. En contre-partie, j'avais un don. Le don des illusions. Malheureusement, je ne le contrôlais que très mal. Un jour, je me suis enfuit du palais où je me sentais enfermé avec le plus beau des serviteurs.... Il.. Il s'appellait Spigell... Ha... Il était aussi beau que toi..."

Il lui donna un baiser tendre avant de continuer:

J'aimais cet homme comme jamais je n'ai aimé... jusqu'à aujourd'hui bien sûr. Nous nous sommes enfuis, loin, loin. Nous avons vécu très heureux, jusqu'au jour où un homme étrange est venu et m'a dit simplement de me suivre. C'est sûrement l'acte que je regrette le plus dans ma vie... Je ne sais trop pourquoi, mais je me suis senti mort, obligé de le suivre. Je n'entendais même pas Spigell qui crais derrière moi... Cet étrange personnage s'appellait Einnráður... Cela signifie "celui qui se comporte en maître"... Il était très gentil, et très dure parfois. Je lui dois beaucoup. C'est ce vieil homme qui m'a apprit à contrôler mes pouvoirs, c'est lui qui m'a rendu si puissant. Je lui dois tout. Il était adorable, quand je voulais arrêter les leçons, il me disais d'accord et me laissais me promener. Je suis devenu très fort grâce à lui. Jusqu'au jour où il me dis que c'était fini, qu'il n'avait plus rien à m'apprendre. J'ai cru que j'allais mourir... Finalement, je me suis résigné à lutter et suis rentré chez moi, honteux. Honteux d'avoir oublié l'homme que j'aimais. Je suis resté très longtemps à apprendre, et je n'ai même pas pensé à Spigell, mon amour... Mais je savais qu'il ne m'en voudrais pas, et que lui, m'aurais attendu."

Il marqua une pause, triste.

"Et j'avais raison. Quand je l'ai revu, il était comme le jour où je l'ai quitté, frais, pétillant. Moi, j'étais déjà fatigué et las de toutes ces années à apprendre. C'est là que j'ai compris. Le paysage avait changé, j'ai appris quelques jours après mon départ que le vieil homme était mort, ainsi que toutes les personnes que je côtoyais auparavant. Tous était décédés. Sauf moi. Et sauf lui. Finalement, nous n'avions pas changé, pas pris une ride. Il.. Il était comme moi! Mais je compris bien trop tard. Le pouvoir des illusions est néfaste, et tue à petit feu celui qui l'utilise. Tu vois le tatouage dans mon dos, eh bien il s'agit tout simplement de ma vie. Quand il sera effacé, j'irais retrouvé mon premier amour... Malheureusement, ce n'est pas pour tout de suite. J'ai appris pendant ces années à maîtriser mon pouvoir et à faire en sorte qu'il ne me prenne quasiment aucun temps de vie. Malheureusement, Spigell n'avait pas du tout été formé, il n'était qu'un serviteur. Et... Et... Et il s'est servi de son pouvoir pendant mon absence... Il... Il est mort dans mes bras...".

Hugar se força à continuer

"Alors je suis parti, parti de chez moi. Je suis venu ici inconsciement. Depuis, je traîne, ne sachant que faire. Mais cette histoire est vieille. Tout cela s'est passé il y a au moins 100 000 ans... Et maintenant... Je t'ai toi, le plus parfait des hommes que j'ai pu croisé pendant ce temps. Tu m'as redonné une raison de vivre. Je t'en serais reconnaissant pour l'eternité...."

[Aaaargl... Tu l'as fais....... La... Confitur'..... =__=]

Hugar se ressaisi d'un coup, passant des larmes au rire. Il dit:

"Tu as raison, fini de se tourmenter, vivons! Il est temps de se réveiller mordre la Vie à pleines dents sans ressasser le passé lointain! Désormais, c'est toi et moi, et rien d'autre, pour toujours! Et je ferais de toi uniquement ce que tu veux, tu n'es pas un objet à mes yeux, tu es la personne que j'aime le plus au monde. Nous sommes égaux, identiques."

Sur ce, Hugar lêcha les doigts de Phil pleins de Confitur'...

[Aaaaargl.....]

(ouh que c'est tendentieux ! >.< j'aime ça... (bave bave))

Les mains de Phil tremblaient un peu au contact des lèvres d'Hugar. Il n'avait pas froid ni peur et pourtant il tremblait comme une feuille à chaque fois qu'il sentait une petite langue chaude de blottir contre ses falanges. Tout d'un coup il eut très chaud et se mit à pousser des petits gémissements qu'il ne pouvait contrôler. Hugar s'arrêra alors que son uke atteignait des sommets de sensibilité aux caresses. Philibert le regarda avec des grands yeux incompréhensifs. Il poussa un très léger couinement qui voulait probablement signifier qu'il en voulait encore, enfin, on pouvait comprendre ça en regardant sa mine déconfite et ses petits râles tristes.
Un peu frustré de la non-continuité de cet avant goût de ce qui s'anonncait particulièrement agréable, Philou en demandait encore. Il vient se blottir dans les bras d'Hugar, et posant sa tête sur son épaule, il se mit à lui embrasser la gorge, partie du corps que sa longue expérience lui avait apprit être particulièrement sensible aux léchouilles et autres câlins.
Et pendant ce temps ses petites mains baladeuses faisait leur oeuvre contre le torse d'Hugar. Le tout pour lui donner du plaisir et l'envi de continuer ce qu'il avait si bien commencé.

(NDA : c'est aussi une suptile manoeuvre pour insiter le joueur à poster !!!>.<)

(mouarf et ça marche! >.< !)
[Mouarf... Le générateur de pubs me propose "Crèpes - Idées, conseils
Réussir les crèpes et trouver de nouvelles recettes ! FemmeActuelle"! XD]


Tout ce jeu de la part de Phil ne faisait que raviver la flamme au plus profond d'Hugar. Devant ces petits couinements particulièreent Philiberiens, Hugar ne pouvait qu'accéder à sa demande.
Tout en l'embrassant, il lui passa une main dans les cheveux, assez fougueuse, pendant que la seconde avait raison de son dos désormais nu.
Cela n'avait pour effet que d'amplifier les gémissements de Phil et le fit se trémousser encore plus sur les genoux de celui qui lui procurait tant d'exitation.
Il se leva avec un grand sourire chaleureux, le rouge aux joues et s'assit sur la table blanche de la cuisine [tes désires sont pour moi des ordres ^^]. Il retira alors la petite étoffe qui lui servait de robe de chambre et qui désormais finissait sur le carrelage blanc de la pièce où deux personnes aimées se...

[Ah! Je suis fier de moi là! Je vous laisse baver *w* La robe de chambre aura pitié de vous ^^ Sûrement, sûrement... *w*]

(kiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ♥ bave bave ♥_♥)

Il vit l'étoffe couler sur le sol, il vit les plis du tissus se former sur le carrelage dans un mouvement gracieux, mais au fond ce n'était pas cela qu'il regardait. Hugar était devent lui, nu et beau de toute la majesté de son être. Dès le premier jour Philibert avait remarqué cette sorte d'aura bienfaitrice et majestueuse qui envelloppait Hugar comme dans un manteau princier aux reflets irisés.
D'un geste un peu tremblant, un discret sourire aux lèvres, Philibert ôta sa tunique, se dévoilant à son tour. L'unique vient se plonger dans les bras d'Hugar et frémit au contacte de sa peau chaude contre la sienne. Ils s'était déjà retrouvé ainsi plusieurs fois, mais sans jamais aller plus loin. Aujourd'hui Philou avait envi de quelque chose de plus. Sans être entravé par le moindre vêtement, il laissa ses mains voguer en liberté sur le corps de son amant, se délectant de ses sourires et de ses gémissements de plaisir plus fort que si on le carressait lui même. Il lui murmura des je t'aime à l'oreille tout en s'asseyant à ses côtés sur la table. Ce n'était pas particulièrement confortable, mais il n'était pas d'humeur à bouger. Il le voulait là-maintenant-tout-de-suite.
A cette pensée il se passa quelque chose qui modifia physiquement l'apparence du uke. Hugar allait probablement être étonné de voire Philou réagir ainsi à ses caresses, mais pour l'unique ça se passait toujours comme ça quand il avait trop envie. Maintenant il en était sûr, Hugar ne se moquerait pas.
Le corps brûlant de désir comme s'il était fièvreux, des symboles se mirent à apparaitrent sur sa peau. Les lettres de feu courraient sur sa chair, leur écriture inconnu s'étallait comme des tatouages rougeoyants sur toute sa personne.

[mouarf!]

Alors que les deux corps se sublimaient, Hugar sentit un palpitement brûlant sur la peau de Phil. Hugar sourit, les yeux toujours fermés. Il entendit un étrange bruit sourd, et ouvrit les yeux. Le corps de son amant rougeoyais de symboles ardents. Hugar s'arrêta et contempla ce phénomène quelque peu.... étrange. Il comprit soudain, et écarquilla les yeux. Il se mit à lire machinalement:
"მპლდთღ†უპკთიაბეღშცძჰხჭჯმ"

"Tu..... Tu es.... Mon dieu...." Murmura-t-il.
Il se tourna doucement, laissant apparaître le grand tatouage qu'il avait dans le dos, dont une partie contenait le même message, en bleu:
"მპლდთღ†უპკთიაბეღშცძჰხჭჯმ"

"Ce n'est pas un simple signe... Nous sommes FAIT pour aller ensemble. Il ne peux en être autrement."

Il le serra encore plus fort dans ses bras:

"C'est pourquoi je resterais toujours avec toi..."

Il continua de le caresser en murmurant d'autres "je t'aime" et en déscendant doucement sa main...

[Eh bah... Quand l'Inspiration vient pas... j'me mets à écrire en grégorien! XD XD]

EDIT: Il semblerait que quelques personnes ne voient pas les caractères (..).... Voilà ce que ça devrait donner :

(mmmh... je crois que tu n'as pas saisi qui est Philibert... =_= ce ne sont pas ces runes qui sont inscritent sur sa peau, mais dès qui ressemblent plutôt à ça ^^ : ♥ )

Hugar semblait plutôt étonné de voir ces marques apparaitre sur le corps frêle de l'unique, comme tout ceux avant lui d'ailleurs. Mais lui était différent. La vision de ces symboles de feu le rendait particulièrement euphorique. Il lui montra son propre dos. Lui aussi avait un tatouage particulièrement beau que Phil effleura du bout des doigts avant de le lécher consiencieusement pour le simple plaisir le sentir frémir sour ses caresses.
A cette attaque de son anatomie, Hugar répondit en lui effleurant l'intérieur des cuisses. Philou ne pus s'empêcher de laisser échapper un gémissement de désir et ses tatouages de devenir de plus en plus flamboyants. Brûlant littéralement d'envie et prêt à passer à l'acte, Phil s'allongea sur la table et invita Hugar à venir le recouvrir se son corps chaud.

"J'ai... je meurt d'envie de faire l'amour avec toi Hugar. Je t'aime tu sais... Dis moi, comment tu te sent ? Tu désire la même chose que moi en cet instant précis ?"

(Me voilà, au service de toutes les personnes en et-Moi devant ce post yaoiste :p)
(mais euh! >.< !)
(mouarf... ça fait tellement longtemps que je suis pas venu que même Internet Exlorer m'a zappé XD u__u)
("A cette attaque de son anatomie" j'adore XD XD XD)

"Oui.. Oui..."
Hugar ne disait et ne pouvais dire que cela (bah oui, essayez de dire autre chose la bouche pleine.... ^.^ XD).
Le temps semblait s'être figé. Les corps se choquant de manière régulière s'ébouillantaient à chaque fois au contact de la peau torride de l'autre.
La sueur perlait sur les corps des deux amants. Le carrelage de la table blanche était une véritable plaque chauffante (c'est-y pas romantique XD).
Les petits cris de Phil furent très rapidement rejoins par les râles d'Hugar.
Le plaisir montait petit à petit, devennait incontrôlable.
[comment finir de manière que le fow ne soit pas envoyé sur un serveur porno.....?! XD Une petite ellipse temporelle? Aller, toute petite ^^]

Quelques temps après les incessants va-et-vients [ça y est, je sens le www.marheaven.grossecochonne.com [O_O ce truc existe vraiment ?!?? Incroyable....] .... aaaaargl.... XD], les deux amoureux s'embrassèrent dans un long baiser passioné.
Ils restèrent longtemps dans cette position et eurent beaucoup d'enfants se câjolant et s'envoyant de petits coups de langues fougueux...

{je rêve.... j'ai ENFIN écris ce post ?!? XD}

(Bouh ! j'aime pas la censure !! >.< Bon aller ^^ je reprend tout du point de vue de Philou ♥)

Philibert se sentait brûler de l’intérieur, habité par un chamboulement de sentiments et de sensations s’entrechoquant avec fracas en son être. Sa peau délicate était recouverte de ces lettres rougeoyantes d’origine lointaine qui brillaient avec plus de force que jamais.
L’Unique tremblait de plaisir à chaque caresse de son amant, à chaque effleurement passionné qu’il lui infligeait avec douceur. Allongé sur la table de la cuisine, le ventre collé sur le carrelage brûlant mais qui en comparaison, lui semblait glacé.
Philibert se délectait de la présence de son amant,
couché sur lui, irradiant le désir,
brillant de la même sueur,
blotti l’un contre l’autre,
réchauffant leurs cœur transis de froid au même feu sacré.

Il ne manquait plus qu’un ultime effort pour qu’ils ne fassent plus qu’un.

Phil désirait ardemment cette fusion de leurs corps, mais la peur de vivre à nouveau ses désastreuses expériences passées le terrifiait. Jamais il n’avait connu de véritable plaisir, seulement des bribes artificielles ça et là, des sensations provenant des subtilités de son corps nées de la science de son créateur. Il était fait de façon à ne jamais ressentir pleinement les douceurs de l’amour, et à rester éternellement frustré.
L’anneau serra les dents et ferma le poing, s’attendant à ressentir la douleur habituelle. Mais pour la première fois de sa vie il ne soufra pas. Hugar était incroyablement doux, il le caressait tendrement et lui murmurait des paroles rassurantes à l’oreille. Philibert se sentit profondément étonné, en des siècles et des siècles d’expérience, jamais l’amour n’avait eu ce goût là. Même son premier maître qui tenait à lui plus qu’à sa propre vie, n’avait jamais autant pris soin de lui.
Phil se décontracta très rapidement et ferma les yeux. Ce geste d’une passivité affligeante, était une façon de s’offrir un peu plus à son amant. Chaque parcelle de son corps lui appartenait désormais.

Et pourtant, malgré ces généreuses pensées et l’amour sincère qu’il éprouvait pour Hugar, en fermant les yeux ce fut l’image d’un autre homme qui lui apparu derrière ses paupières closes.
Il était grand et brun, de carrure imposante, son dos musclé soutenant habituellement une guitare métallique aux reflets agressifs.
Cet homme, il l’avait aimé jusqu’à la mort. Cet homme l’avait détruit mainte et mainte fois. Phil pensait pourtant l’avoir oublié, lui et cet amour à sens unique, au profit du tendre Hugar. Mais en réalité ce n’était pas le cas. Malgré les brimades, les peines, la torture sur la colline, le poison et la mort, il l’aimait toujours un peu. Le désespoir et la colère prirent place dans le cœur du uke. Cet acte de chair avec Hugar était le plus beau de toute sa vie, et cette vision furtive d’un amour perdu venait tout gâcher.

Son amant le brusqua un peu et il se sentit partir, comme si un flots d’intenses sentiments se répandaient en lui, provoquant des chocs et des sensations délicieuses et inconnus. Alors qu’il atteignait les sommets du bonheur, tout en poussant d’adorables petits cris, il ne put cesser de penser à Nathan. Il se surprit à songer : si seulement c’était lui… Puis il se mordit les lèvres pour étouffer un râle qui ressemblait un peu trop à son nom.
Cet homme, il ne savait même pas pourquoi il en était tombé amoureux. A bien regarder il ne lui trouvait rien. Il ne lui faisait que du mal et pourtant il était aimé plus qu’il ne le méritait. C’était un reste d’amour particulièrement dévastateur pour ce nouveau couple, contre lequel Phil ne savait lutter. Un jour il en parlerait à Hugar et lui demanderait de l’aider à se soigner.
Prenant conscience de ce qui l’attendait, l’Unique se mordit les lèvres, maudissant ses pensées qui le détruisait, lui et Hugar. Tout était de la faute de cet homme qui le soir était un roi adulé par tous et le lendemain crevait la faim.

Il fût tiré de ces pensées bien sombres par les caresses et les petits cris intenses de son amant. Phil cessa de songer au guitariste et s’offrit entièrement à Hugar, son corps comme ses pensées lui appartenait.

Après l’amour ils se serrèrent l’un contre l’autre, leurs corps brûlants trempés de sueur, nus dans le silence de la cuisine. Philibert était aux anges, arborant un sourire radieux sur son visage épanoui.

"Je t’aime Hugar. Tu es le seul à pouvoir chasser les fantômes qui me hantent."

(Desole de repondre aussi tardivement Mata....)


Hugar savait. Il savait qu'il ne fallait pas brusquer les choses. Il savait que l'amour ne devait etre que douceurs. Le corps bouillant de Phil reveilla soudain des sentations etranges dans l'esprit du jeune blond. Ces sentiments qu'il croyait enterres a jamais reapparurent malgre sa volonte. Il se sentait incroyablement.... bien. Pourtant lui, qui allait toujours bien, qui avait toujours le sourire, il lui sembla qu'il ne s'etait jamais sentit aussi bien et aussi comble.
Ils firent l'amour presque automatiquement, ne pensant plus a rien, savourant seulement. Hugar vit que son aimé etait troublé, mais il ne pu s'empecher de penser *on vera ca demain, pour l'instant, il n'y a rien d'autre que Nous. Ni lui, ni moi. Juste Nous.*
Et c'est dans un ultime baiser qu'Hugar emplit son bel amant de sa passion la plus sincere...

(Y'a pas de mal, merci c'est gentil de l'avoir quand même fait.)

Perdu dans la tendresse des baisers d'Hugar (putain j'allais écrire Nathan ^^'), Philibert s'assit sur la table, laissant ses jambes nues et fines balancer au dessus du sol carrelé. Il tendit les bras et saisi le visage de son amant dans ses mains, déposa un baiser sur son front, lui carressa ses cheveux blonds et posa sa tête sur ses cuisses chaudes. L'unique laissa ses doigts se promener dans sa tignasse dorée, un fin sourire sur ses lèvres roses. Il était incroyablement gêné par ce qui venait de se passer, mais il ne pouvait s'empêcher de sourire comme un idiot bienheureux et de se sentir léger. C'était là le contre coup des caresses d'Hugar. Lentement les marques sur son corps perdirent d'intensité et disparurent.

"Merci. Merci de ne pas te fâcher, merci de ne pas me faire de mal, merci de m'aimer un peu. Merci pour tout."

Il avait murmuré ces mots de façon presque inaudible, plus pour lui même que pour Hugar. Il prit son menton dans ses paumes et lui releva la tête, se plongeant dans ses yeux bleus profonds.

"La journée commence bien non ? On fait quoi maintenant ? Ma seule condition c'est que ça soit agréable et que ça soit avec toi."

(c'est quoii ce coup du hamtaro -.-' ? XD)
[ah oui! merde! J'avais oublie qu'on venait de se lever XD XD]

"Je vais bien, ne t'en fait pas. Je ne pense pas que je vais me metamorphoser de si tot. Il faut etre patient... Et puis, a vrai dire, ca ne previent pas vraiment... Enfin..! Je pense que tu as raison! On devrais preparer le restaurant! J'ai hate que les premiers clients viennent! Que dirais-tu de commencer par elaborer un bon menu?"

[je te laisse ouvrir un nouveau topic ^^]

(Tu... tu vas pas te métamophoser tout de suite ? TT_TT (déçue))

(... euh... je veux bien ouvrir un nouveau topic... mais je met quoi dedans ? XD)

1°(bon, on oublie cette histoire de dodo hein ^^ Je croyais qu'il était tard ^^''''')
2°(ah? Tu veux que je métamorphose? Hin hin, en fait tu veux un p'tit vieux? Hin hin hin... Beurk.... XD bon, bah je prévois ça alors ^^)
3°(Bah un truc où tu expliques qu'on lance le resto, etc... et tu concluras par un truc passe-partout XD)

Phlibert baissa la tête, laissant Hugar passer ses mains dans ses cheveux blonds aux reflets cendrés et impécablement bien coiffés. Il se mit à sourire comme un crétin tout en ronronnant de bonheur.

"Moi aussi j'ai hâte. Tu vas voir Hugar, très vite nous seront reconnu comme étant le meilleur restaurant de tout Lestower."

L'unique ramassa sa tunique tombée par terre et l'enfila en vitesse (la tunique =_='). Puis il regarda Son seme d'amour, une lueur de malice brillant au fond de ses yeux bleus.

"Que penses tu de nous spécialiser dans les tourtes à la viande ?"

(XDDDDDDDDDDDDDDDDDD)

"La tourte à la viande? Quelle idée.... originale ! Oui, vraiment pourquoi pas !!"

Il réflechit un instant...

"Mais, ça risque d'être un oeu lassant... Il faudrait varier les goûts...Enfin, essayons! Mais où allons-nous trouver toute cette viande? [hin hin hin....]"


Eh eh........

Le visage de Philibert se fendit d'un sourire malicieux. Il ricana et lança un regard plein de sous-entendu à Hugar, sa voix se fit mielleuse, son ton malsain.

"Je ne sais pas encore.... Mais laisse moi y réfléchir, je te promet de trouver une bonne idée."

Un dégout de la nature humaine, une vengance envers celle-ci, la rancune de douleurs passées, un esprit vil, veule, fourbe, sanguinaire et à la volonté propre... la boucle est bouclée... *w*