le chateau

Des bruits de pas se firent entrendrent à l'intérieur du hall d'entrée. Plusieurs paires de bottes frappaient du talon le sol de pierre du château, laissant un léger écho résonner dans l'imensité vide du sinistre palais.
Deux paires de bottes pour être exacte, l'une marchant devant l'autre. La première était toute petite, une pointure d'enfant, alors que la seconde appartenait à quelqu'un ayant déjà pratiquement terminé sa croissance.
Ils n'étaient pas vraiment humain, l'un plus que l'autre. Et pourtant ils se ressemblaient et au fond ne formaient qu'un.
Devon et sa marionnette, Pinoccio.
Ce pantin lui ressemblait avec une exactitude troublante. Ils étaient identiques, à une seule différence près, c'était que l'un était un enfant, et l'autre un jeune homme. En effet le marionnettiste avait crée pour la preimère fois une poupée à son image. Il l'avait modelé en se prenant pour modèle, lui il a quelques années. Et dans sa mentamité et ses actes, il lui était identique. Cette reproduction du passée faisait froid dans le dos. Non, on avait réelment peur quand on se rendait compte que Devon avait été ainsi autrefois, un monstre dénué de sentiment.
Il avait bien changé, quoi que puissent en dire certain.

Je disais donc, le marionnettiste précédé de sa création marchaient dans les couloirs du château, en direction du hall d'entrée. Devon avait des marionnettes espionnes un peu partout, et quand elles lui avaient appris qu'un nouveau était venu se présenter à la porte, probablement pour se ralier à l'Echiquer, il avait accouru. Devon se mordi la lèvre inférieur en songeant à ce qui pourait se produire si quelqu'un l'avait devancé. Il n'aimait pas les pièces et il n'était pas bon du tout pour ses plans que d'autres se rajoutent dans la liste de ses ennemis. C'est pour cela qu'il les attendait au tournant, à la porte plus précisément.

Pinoccio se hissa sur la pointe des pieds et ouvrit la lourde porte. Devon regarda à l'extérieur, et enfin vit un garçon, assez jeune assis par terre en train de dormir. Il l'examina de ses yeux mauves. Il n'avait pas l'air dangereux, mais il avait apprit depuis très longtemps à ne pas se fier aux apparences. Il était cet exemple même. Il ne ressemblait à pas grand chose comme ça. Il avait la veste négligeament attachée et la chemise hors du pantalon. Ses cheveux d'un violet sombre étaient eux aussi en désordre et son visage d'ordinaire fin et délicat, affichait les restes verdâtres d'une affreuse gueule de bois. Il avait l'air de rien comme ça, et il semblait plus faible encore de par la présence des bandages sur ses bras, recouvrant jusqu'à ses doigts. Ses blessures étaient encore là, et ses mains de marionnettiste étaient toujours inutilisables, posées dans une écharpe blanche attachée à son cou.
Et pourtant malgrès tout celà, brillait à son oreille, dans l'éclat des torches, un reflet d'argent. Même si son coeur n'appartenait plus à L'Echierquier, il portait encore la boucle d'oreille, symbole des fous, une des plus hautes pièces de la hiérarchie.

Il sourit en regardant cet ado endormi. Quels pouvoirs merveilleux pouvaient sommeiller en lui ? Le marionnettiste s'accroupi et l'observa de plus près, son visage situé à quelques centimètres du sien. Son sourire s'aggrandis quand il pensa que si ce gosse se réveillait à cet instant, il aurait probablement la trouille de sa vie. Devon connaisait l'effet destabilisant de ses gros yeux violets globuleux sur les gens, et il trouvait ça drôle. Il approcha sa bouche fine de l'oreille du garçon, étouffa un ricannement, et hurla.

"Debout la larve ! Je ne me suis pas bougé pour rien !"

Il dormait profondément et rêvait comme il n’avait jamais rêver. Il rêvait du jour ou il c’était retrouver dans un champ avec ces saletés de salamandres qu’il l’avait coursé ce jour là et ce souvint comment il les avait tuées. Quand elle réussir à l’attraper il ce débattu pour s’échapper mais en vain, les salamandres allait le dévorer. Mais au moment ou il allait leur servir de repas li ce prit dans une profonde colère, comme le jour ou ces parents l’avaient abandonner et ce transforma en démon ravageur. Il détruisit la moitié du village en un seul instant et Quand il cessa d’être ce démon il s’endormit pendant 3 jours entiers. Au moment ou il commença à rêver le moment le plus intéressant il ce fit réveiller par un homme aux cheveux violet qu’il lui pour le réveiller

« debout la larve »

A ce moment il s’éveilla et dit d’une voie claire:

« Ne m’appelle plus jamais larve compris ! »

Et repris en disant poliment :

« Désoler je déteste qu’on m’appelle larve et sa me rend désagréable »

Il se sentait gêner d’avoir commencer à parler ainsi à quelqu’un qui allait peut -être le renseigner sur le château il reprit en disant :

[b]« Si ce n’est pas indiscret quel est votre prénom »
I l attendit un certain moment. L ’homme avec qui il avait commencé de parler semblait très pensif.

Au bout d’un moment l’homme lui répondit…

[Je remarque un effort de présentation et je t'en félicite ... Malheureusement, tu as inversé : on met la narration en italique, et les paroles en gras ^^"]

(moi aussi je te félicite ^^ tu fais de gros progrets ces derniers temps en écriture. je suis fière de toi mini Joker ^^ mais ça ne m'enpêchera pas de te faire des misères *w* vu qu'en ce moment vous aurez remarqué que je ne me défoule plus sur Athy... )

"Oh pardon seigneur, je ne voulais pas vous offencer..." Dit-il d'un ton ironique.

Devon contempla le garçon se réveiller, et pendant cet instant il regretta de ne plus avoir ses bras, sinon il l'aurait fait bouger en le secouant comme un pêcher. Il réfléchit aussi à une question qui venait de percer dans son petit esprit malade, un homm est-il plus facile à manupiler une fois endormi ? Le marionnettiste se promis de faire quelques expérience là dessus plus tard pour avoir la réponse...

Une fois réveillé, le gamin lui demanda son nom, et c'est en affichant honteusement un sourire victorieux qu'il le lui donna.

"Je suis Devon Kaomiru Kenta, pour vous servir seigneur..."

Il posa sa main sur sa poitrine et se courba en une espèce de révérence d'un genre tout nouveau et parfaitement moqueuse.

"Je suis une des plus hautes pièces de l'Echiquier, si ce n'est la plus puissante. Mais enfin, tout est relatif."

Il lui jeta un regard inquisiteur.

"Et vous seigneur ? Qui êtes vous ?"

(Merci pour tout ces compliments : Athanase désoler pour l’inversion.)

Il c’était endormi alors qu’il avait atteint son but et c’était disputer à cause d’une histoire de « larve. »

Qui plus est on venait de lui poser une question difficile à répondre s’il n’avait pas découvert cette feuille dans la poche de son pantalon.

« Euh, je suis désoler de vous avoir à demi crier dessus, mais s’il vous plait ne m’appeler pas « mon seigneur » merci. »

Il hésitait encore sur la question mais ce dit que de toute façon il n’avait rien à perdre. Il prit son courage à deux mains et dit

« Apparemment je m’appelle Rave Soul et j’ai 15 ans…Enfin c’est ce que dit cette feuille. »

Il se sentait gêner de n’être pas sur de son identité, mais pour ne pas y penser il continua en disant :

« Vous êtes si au placer, je suis vraiment impressionner en fait je suis la pour me renseigner pour devenir membre de l’Echiquier est ce que vous pouvez m’aider. »

Il attendait la réponse avec beaucoup d’impatience

Devon sourit gentiment, enfin, dans la mesure où on peut trouver son sourire mesquin "gentil".
Ce gosse ne savait pas qui il était ? C'est amusant, lui même en avait renconté beaucoup dans son cas. Ces petites bêtes doivent être à la mode en ce moment.
Puis il soupira en silence, pensant à regret que lui avait encore tout ses souvenirs, bien trop douloureux pour être raconté.

"Tu ne veux pas que je t'apelle seigneur ? Dans ce cas je t'appellerai larve, et puis c'est tout. Toi par contre tu te dois de m'appeller Seigneur Devon quand tu t'adresse à moi. Je suis ton supérieur, et de loin. Je suis aussi ton ainé après tout."

Puis le gamin lui parla de vouloir s'enrôler dans l'Echiquier. Devon avait vu juste, fière de son temps d'avance sur Diana, il décida de continuer ses petites démarches innocentes.
Le marionnettiste regarda Rave avec un profond mépris dans les yeux.

"Tu viens t'inscrire à l'Echiquier ? Alors là tu me déçois beaucoup. Quand je t'ai vu, ma première impression fut de penser : tu vois Devon, ce garçon à la regard d'un brave, il fera des exploits inégalés et sauvera le royaume de mille dangers. Mais maintenant que tu me dit ça, j'ai comme l'impression de m'être lourdement trompé."

Il fit demi tour, près à repartir vers l'entrée du château. Pinoccio ne le suivait pas, il resta à regarder Rave.

"Moi je ne suis pas tout à fait d'accord avec Devon. Mais comme lui je suis un peu déçu, je pensais que tu ferais preuve de plus de force. A moins que tu ignores ce qu'est l'Echiquier ? Dans ce cas là dit le à Devon , il t'expliquera mieux que moi. Je ne suis qu'un pantin, mais je peux affirmer avec certitude que l'Echiquier est malfaisant, et que tu ne dois pas grossir leurs rangs. Tu n'es pas fait pour être un pion, mais un libérateur de la patrie."

Il regarda longuement la poupée et ce mit à marcher en direction de devon. Il réfléchissait à ce que lui avait dit le pantin et ce mit à parler doucement

« Votre pantin à raison, je ne sais pas ce qu’est l’Echiquier et je ne sais pas ce qu’est « libérateur de la patrie »s’il vous plait expliquer moi ce qu’est tout ceci. »

Il attendit puis reparla sur un ton plus fort

« J’ai voulu m’inscrire à l’Echiquier depuis que j’en ai vu un jour toute une bande tuant tous leurs ennemis pillant et brûlant le village, à ce moment là j’ai ressentit ne sensation familière comme si j’étais habituer à voir ce genre de spectacle et qu’à chaque fois je ressentais un grand plaisir à voir ce massacre. »

Il attendit au moins 5 minutes la réponse de Rave ne semblait pas ravir Devon et il ce dit que de toute façon ça ne servirait à rien.

Il partit donc voir le pantin et lui dit

« Ton maître semble très songeur, est il tout le tant comme ça ? »

Pinoccio sourit, d'une façon encore plus malsaine que celle de Devon lui même. Il n'était qu'un représentation passée de lui, mais possédait des traits de caractère que lui n'avait plus. La cruauté par exemple.

"Non, il n'est pas toujours comme ça. Mais si tu lui demande il va te dire qu'aujourd'hui il a une sacrée gueule de bois. Mais en vérité il est un peu déçut par ton comportement que je qualifierais de puéril."

Les billes de verres rouges qui servaient d'yeux au pantin se mirent à briller d'une lueure de malice.

"Et ne dit plus jamais qu'il est mon maître. Nous sommes égaux ensemble au dessus de tout ces pantins qui osent se faire appeller des hommes."

Plus loin Devon réfléchissait. Il avait cru qu'engager ce garçon était facile, mais cela s'avérait plus difficile que prévu. il allait peut être devoir utiliser la force. (shuuuuuuu phsuuuuuuu XD)

"Toi là bas, viens par ici. Si je comprend bien, tu es venu à l'Echiquier par désir de tuer. Beaucoup sont venu pour satisfaire cette envie de sang, mais peu l'ont gardé. C'est très simple. Sois tu considère qu'il existe des choses plus importante que tes propres plaisirs et tu te ralies à elle. Personnellement c'est la meilleur chose pour toi. Soit..."

Devon se retourna, ses yeux étaient devenu rouge sang, il semblait près au combat.

"soit je te tue de suite, avortant dans l'oeuf le danger potentiel que tu représente pour nous. Choisi bien ce que tu veux, mais fait bien attention à moi. En gros, c'est viens ou crève, mais sache que je n'aime pas les pantins inutiles."

[Soit, personne ne daigne me répondre et ce topic est postérieur à l'arrivée de Robert à l'Echiquier, où il ne manquera pas d'être accepté, on considérera donc ici qu'il est déjà pion. Et aussi que Devon l'a déjà croisé : en tant que pièce "haut placée" et disposant à sa guise de quelques milliards de poupées-espions, il ne peut ignorer un homme tel que Robert Begarion, le seul et l'unique. Donc pas de "bonjour monsieur, qui êtes vous ?", ce qui amènerait à coup un sûr un (comment dit l'admin déjà ?) "paradoxe temporal" ! Oui, le truc qui est considéré sur ce forum comme la peste au XVIe siècle. ]

La porte saillante à la courtine inférieure se plia dans une volée magistrale à la volonté seule de l'homme qui l'avait commandée de s'ouvrir. En émerga, imposant, magnifique et auréolé du zénith éclatant, il était paré à tout dans son armure éblouissante, le grand Robert Begarion. Ce céleste cuirassier posa un regard hautain quelques centimètres au dessus du faîte de la végétation luxuriante que constituait la chevelure des bavards, puis condescendit à mirer à hauteur de leurs prunelles. Que n'avaient-ils l'allure d'un doublet de gueux, dans leurs atours communs. Malgré tout ce qu'on pouvait lui assener de l'intérêt supérieur d'avoir ses troupes en civil, une certaine rigueur vestimentaire ne pourrait de son point de vue que bonifier certains dépravés de ce castel. Sire Devon pouvait bien être le second personnage des lieux, il n'en était pas moins en disgrâce devant la Reine. La seule raison valable expliquant qu'il ne fût pas déjà limogé était qu'il constituait un contre-pouvoir négligeable, empêchant toutefois la création d'un autre camp d'opposition, plus redoutable que ce bouffon mal peigné, en parallèle de son propre mouvement d'impertinent fieffé.

Il n'était pas question de laisser à ce danger potentiel, quoi que puisse penser Sa Majesté au sujet de son caractère innoffensif, se charger de recruter les nouveaux. Ce gougnafier velu pourrait bien tenter de le détourner de ses motivations et l'employer à son avantage. Non, Robert ne permettrait pas pareille trahison. Il rejoint le duo en trois pas, pardon le trio, quoique il n'avait pas aperçu le troisième larron avant de lui marcher dessus, un énième joujou du fou au titre plus adapté que jamais, qui couinait pathétiquement alors que le chevalier le remettait d'aplomb.

" Vous auriez grand bien à ne plus laisser vos affaires s'éparpiller où elles n'ont pas leur place, messire, cela éviterait nombre de querelles marlheureuses. J'ai ouï dire qu'en ces lieux on pouvait toujours régler l'affront à la pointe du fleuret, il serait donc fort regrettable qu'on considére un jour ce genre de... babiole "

Il attrappa Pinocchio à la jambe, le retournant comme un sac de grain.

" ... Comme une affligeante tentative de ridiculiser qui trébuchera dessus, ce qui peut être au même titre qu'un soufflet pris pour argent comptant. Ou bien comme un mouchard, ce qui serait encore moins avouable, je le crains... "

Robert Begarion pivota son imposante stature en direction du nouveau venu, uquelques décimètres de jeunôt qui prétendait peut-être s'enrôler à l'Echiquier. Le brave garçon ! Il n'était jamais trop tôt pour venir apprendre à faire régner l'ordre. D'autant qu'il tenait encore debout après toutes les salades que le pernicieux fou avait pu lui infliger. Le sire chevalier en était presque impressionné, une telle force de caractère ne se rencontrait pas aisément. On pourrait décidément faire de grandes choses de ce "petit", qui, sans égaler en taille Robert, ne méritait pas tant que ça ce qualificatif.

" Je crois que le mieux à faire serait de te mener de suite à Sa Grâce, qu'elle statue sans attendre sur son bon plaisir de s'allouer ou non tes services. A moins que vous n'ayez une objection sensée à exprimer, messire fou ? "

[PS : Crois-moi, Devon a déjà bien assez d'alliés, ce serait plus utile pour le jeu que tu restes un pion loyal , on est déjà pas assez... ]

Il ne faisait pas attention au nouvel arrivant, car il était déjà très songeur par rapport à la phrase de Devon( désoler si la phrase n’est pas cohérente. Il ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’est ce que lui ferait subir Devon s’il ne trouvait pas de réponse correcte. Soudain il trouva la solution pour ne pas mentir ni ce faire tuer. Il dit d’une voix forte

« Je veux entrer dans l’Echiquier car quand j’ai vu c’est gens se faire tuer j’ai eu l’impression de retrouver un peu de ma mémoire donc je crois quand entrant dans l’Echiquier je vais retrouver ma mémoire en tout cas un petit peu. »

Puis il réfléchit 20 secondes avant de continuer en disant d’une voix plus sombre

« Encore une chose, même si en te voyant pour la première fois je tais trouver sympathique si tu essaie de me tuer tu te retrouveras très vite en enfer »

Il regarda ensuite le soldat qui venait d’arriver et cria en disant

« Lâche pinoccio tout de suite !!! »

Il s’arrêta de hurler stupéfait. Il avait sans qu ‘on lui dise trouver le nom du pantin. Il ce dit que c’était peut être par instinct.

Littéralement stupéfié par la violence de la réaction du petit, Robert laissa tomber "Pinnocchio" comme il venait de l'exiger. La créature animée percuta le sol par le nez, qui produisit un craquemet étrange. Il gigotait toujours par terre lorsque le preux chevalier l'aida pour la deuxième fois à se relever. Sa figure était assez sale à voir, avec des graviers coincés un peu partout, la peinture s'était écaillée et le pauvre à un Devon du pauvre. Ou à un truc qui vient de se manger un mur, même si le mur est certainement plus à plaindre.

*Eh bien, réjouissons-nous que ce ne soit qu'un pauvre jouet en porcelaine : avec un vrai gosse...*

Il se remit sur son séant alors que le marionettiste s'apprêtait à rendre une nouvelle fois ses menaces de mort à l'arrivant. On allait pas avancer très vite comme ça, pour une pièce de ce calibre, cet avorton manquait sérieusement de talent dans la conversation. Leçon un : avant tout, clarifier les choses. Robert se campa entre les deux et fit barrage de sa main gantée de fer, afin de les empêcher physiquement de se réduire mutuellement en bouillie fumante, puis prit la parole.

"Une règle élémentaire si tu souhaites faire partie de l'Echiquier : on évite de se massacrer les uns les autres. On a suffisamment d'ennemis pour ça, on est jamais trop pour leur piquer la tête aux créneaux et, d'autre part, se battre ici ça gicle du sang partout sur les murs, puis ça attire la crasse et les nuisibles."

Il pointa ostensiblement Devon du regard en articulant ce dernier mot.

"En fait on ne se trucide pas joyeusement tout simplement parce que le premier qui se risquerait à en zigouiller un autre sera sur mon ardoise. Non pas que ça m'affole franchement de tâter un brin de collèguicide, tranquilisez vous. Ce sera du boulot bien fait, sanglant à souhait et un excellent moyen de dissuader les autres marioles."

Cette fois, il vissa son regard dans celui de ce même Devon avec une insistance suffisante pour lui faire éclater les orbites.

"Cependant, annonça-t-il en reportant son attention sur Rave, tu ne peux encore prétendre à faire partie de l'Echiquier : les victimes, ça se mérite, vois-tu. D'autant que tu n'as nul besoin d'entrer ici pour tuer. N'importe quel paysan peut se saisir d'une faux et aller tirer les tripes de son voisin pendant la nuit. Mais ceci n'apporte pas un aussi grand pouvoir de destruction, ni rien de comparable à ce que tu pourras trouver ici."

Ce personnage appartenait pleinement à la catégorie des psychopathes, on pouvait donc le manipuler en lui mettant du sang frais sous le nez, même si Robert se contentait d'utiliser cet instinct de prédateur sanguinaire pour attirer simplement son attention.

"Et il n'est pas nécessaire d'exposer tes motifs ici et maintenant, tout puissant qu'il est, *Ou qu'il se prétend*ce n'est pas messire Devon qui décidera de quoi que ce soit à ton sujet. Il te faut avancer encore si tu veux retrouver ta mémoire. C'est dans la salle du trône que tu montreras si tu mérites de la recouvrer, ou si ta faible valeur te destine à errer sans passé jusqu'à ton dernier jour."

[Merci pour la précision, cher Devon, c'est corrigé, votre aimable créature est juste bonne pour un débarbouillage]

(Pinoccio est une marionnette de combat en porcelaine, on ne peut pas lui péter le nez comme ça. C'est très difficile d'amocher un de ces pantins, messire. De même que je ne peux constater l'existence de ces copeaux de bois sur le sol. Nous pouvons considérer donc que cette inexactitude est grave, et que par conséquence Pinoccio ne pouvant être brisé ainsi, il reste donc entier, mais en colère.)

Quand une espèce de pantin pédant recouvert d'une armure de métal arriva d'on ne sait où, et se planta devant la nouvelle recrue, les yeux de Devon changèrent de teinte et reprirent leur couleur naturelle. Il connaissait ce type et ne tenait pas à faire étalage de ses pouvoirs merveilleux devant lui. L'arrogant chevalier commença à discuter avec Rave sans s'adresser à Devon. Apparemment il était au courant des ses objectifs et avait épié leur conversation. Ce manque de prudence de sa part énerva le marionnettiste. De manière générale, la présence de ce guignol maniéré l'énervait. Mais il s'agissait là d'une colère froide, contenue. Le marionnettiste attendait patiemment son heure, celle se sa vengeance.
Il faillit dire quelque chose quand Begarion saisit son pantin par les pieds, puis ne fit rien, gardant sur son visage de marbre blanc, l'expression la plus impassible qui soit. Pinoccio non plus ne dit rien, il se contenta de jeter un regard haineux au chevalier. Il imprimait dans sa mémoire le visage de cet homme, devenu à présent le premier de sa liste de personnalités à abattre. La rancune de ce pantin était sans limites, Devon le savait, il passerait à présent tout son temps à réfléchir au pire moyen de détruire cet individu. Les deux garçons aux visages identiques ne répondirent pas aux provocations puériles de leur adversaire, mais bouillonnaient intérieurement.

"Rave, n'écoute pas cet homme. Le suivre c'est te perdre à jamais. Je comprends tout à fait que tu désires retrouver ton passé, mais crois-tu vraiment avoir besoin de détruire ton avenir pour ça ? Si tu entres à l'Echiquier maintenant tu es fini. Crois moi, non seulement tu ne retrouveras pas ton passé et en plus tu perdras tout espoir de mener une vie normale après. Je fais ça pour toi et pour tout Mär Heaven. Tu es en train de vendre au diable, ton passé, ton présent et ton avenir. Et le diable tentateur, c'est lui. Entre à l'Echiquier si tu le souhaites, mais ne t'approche jamais ce cet homme et écoute bien les conseils que je te donne. Le destin est déjà écrit, et moi j'ai lu la fin de l'histoire."

(Je suis bien d’accord avec Devon pour pinoccio, Robert tu as exagéré là)

Il ne savait plus quoi dire, il savait que si il s’engager à l’Echiquier il ne deviendrait pas comme cet homme encore par instinct et par d’autre petit détail il devina le nom de l’homme qui avait tenu par la jambe pinoccio, il s’appelait Robert Begarion. Il réfléchit à une phrase 5mn s’écoulèrent mais pour lui le temps passait très lentement il ne savait vraiment pas quoi dire mais au bout d’un certain temps il dit s’en réfléchir

« La raison pour la quelle je veux entrer à l’Echiquier je te l’ai déjà dis mais la raison pour laquelle je crois que l’Echiquier m’aidera à retrouver ma mémoire c’est que rien quand entendant ce nom j’ai l’impression de ressentir quelque chose de familier, peut-être que mes parents ou ma sœur y travaillait ou quelqu’un d’autre… »

Il regarda Robert et lui dit

« Robert c’est bien ton nom, tu peux te taire de toute façon quoi que tu dise je ne t’écouterait pas. Quand je t’ai vu au départ j’ai eu l’impression que seigneur Devon valait dix fois mieux que toi mais mon avis à beaucoup changer maintenant je suis sur qu’il vaut 20 fois mieux que toi ! »

Il se retourna vers Devon et lui dit

« Messire Devon je promets d’écouter vaux conseils mais s’il vous plait aider moi à devenir un pion de lEchiquier. »

(rhaaaaaaa !! dans ton cul ! mwahahahahaha !!!)

Devon afficha un sourire franchement satisfait et jeta un regard victorieux à Begarion.

"Tu as fait le bon choix Rave, je ne te déceverai pas."

Il fit demi tour vers l'entrée, incitant Rave à la suivre. Le marionnettiste ignora royalement le chevalier, et attira son nouveau protégé dans les couloirs du château, lui parlant de tout et de n'importe quoi. (et hop ! gerte manant !!)
Soudain Devon s'arrêta, une pensée étrange venait de lui traverser l'esprit. Il se retourna vers Rave et le dévisagea.
Ce gosse cherchait sa famille à l'Echiquier ?
Ca c'est amusant comme coincidence, Devon avait justement sous la main un homme qui cherchait son fils. Et si ces deux là étaient... pas de précipitation, il fallait vérifier si les dates coincidaient.

"Dit moi Rave, par simple curiosité, quel âge as-tu ?"

( Devon si tu avais bien lu ma présentation tu aurais vus que Rave a tué ses parents ainsi que son frère, c’est juste qu’il s’en souviens plus)

Il avait réussit à convaincre Devon de l’emmener dans le château. Ce dernier lui parlait à présent de tout et de n’importe quoi, jusqu’au moment ou Devon lui demanda son âge il lui répondit

« J’ai 15 ans pourquoi ? »

Il n’osait pas lui dire qu’il le lui avait déjà dit. Il répéta sa question

« Pourquoi ma tu demander mon âge ? »

Il ne pensait déjà plus à la question qu’il trouva finalement inutile. Il se demandait quelle étaient les occupations de l’Echiquier il demanda donc à Devon

« Malgré ce que j’ai vu l’autre jour je ne connais pas vraiment les actes de l’Echiquier peut tu m’expliquer ? »

(je réserve, le flemme de répondre maintenant =_______=)

[ Comment ça j'ai exagéré ? Preuve en est que j'aurai dû en faire beaucoup plus : ton vil perso a tout de suite opté pour la solution de facilité. Si j'avais de suite flanqué une bonne fessée à Devon, on aurait réglé ça à l'épée, et vu que je suis le seul à en avoir une... ]

( pas réver moi j'ai une chaine avec une pointe d'à peut près 4cm voire plus)

(cessez cet étalage d'intrument sm je vous prie. (Rave si tu ne comprend pas quelque chose, demande à ta soeur, elle saura t'expliquer ^^) Et puis de toute façon qu'est ce que tu râles encore ! évidemment que tu te battras un jour avec Devon, ne croit pas qu'on va en rester là. Pinoccio et lui sont particulièrement rancunier. Et puis si ça t'amuse tant que ça de tapper quelqu'un comme un frustré avec ta vieille rapière, fout moi la paix et demande à Armand, lui il sait y faire)

Il examina le visage du garçon, sans détecter aucun signe de ressemblance. De plus que l'âge ne collait pas. Le fils disparu d'Armand devait avoir son âge à présent.

"Non, pour rien. Juste pour savoir. Si tu veux savoir mon âge à moi, je peux te le dire. Ja vais avoir dix huit ans le trente janvier, alors pense à me faire un cadeau... ♥"

Il avait réussi à détourner la conversation en rigolade, mais au fond il se sentait un peu las. Il voyait parfois son valet déprimer en douce à cause de ce fils, dont il n'avait plus aucun souvenir à se remémorer. Devon aurait voulu l'aider, mais cette fois n'était pas la bonne.

"Tu veux que je te parle de l'Echiquier ? Très bien, je suis le plus qualifié pour le faire. Nous sommes dans le château de Lestower, qui est comme tu le sais, le centre de notre organisation. Celle qui nous dirige s'appelle Diana, tu dois avoir déjà entendu parler d'elle, elle est la reine de Mär heaven. Avant elle était une sage souverain, elle gouvernait avec bon sens et aidait les gens dans la besoin. C'était une reine merveilleuse et incroyablement belle. Aujourd'hui sa beauté est à l'image de son règne, cruelle et maléfique. Je ne sais pas quel mal s'est épris de notre souveraine, certains disent que l'essence du malin dormait en elle depuis toujours, d'autre sont comme moi et s'interrogent. Diana a bien changée, elle ne gouverne presque plus, elle s'enferme et laisse ses troupes dans l'anarchie. Et tu sais ce que font les hommes quand ils n'ont plus de maître pour les diriger ? Il redeviennent des fauves. Tu t'en rendra compte, la plupar des pièces de l'Echiquier sont des monstres assoiffés de sang, d'autres ont comme moi, réussi à rester lucide malgrès tout. Je ne veux pas que tu deviennes comme ces gens, c'est pour ça que je ne t'ai pas laisser suivre l'un d'entre eux. Reste près de moi et il ne t'arrivera rien. Tu peux avoir confiance en moi, et aussi en certaine autres personnes que je te présenterai, comme mon valet par exemple."

[Mais c'est balèze dites donc ! Avec un clou de quatre centimètres, on peut au moins clouer une planche ! Par ailleurs j'ai en magasin de l'estramaçon valyrien pour qui voudrait fendre en deux le chevalier dans le sens de la hauteur, armure comprise. Et alors s'il est manié par Armand... Il sera peut-être enfin capable de couper convenablement son steak de dragon saignant sans mettre les doigts dans l'assiette ce gros dégoûtant. ]

(hoho ! Tu nous en avais caché des choses ! Aller avoue ! Comment tu sais qu'Armand est un gros dégoutant ? )

Considérons la totalité de ses moeurs sexuelles depuis la création de ce perso... (je continue ?)

(C'est sûr que lui ne se vante pas d'avoir un bout de 4cm... )

(oh... c'est mon perso aux moeurs les plus saines... (hors Maxou) TT_TT ça veux dire quoi sur moi ? (je ne veux pas de réponce, merci))

Je me contenterais donc d'une réponSe, avec un "s". bis.

Cela signifie simplement que ta forte propension à balancer des attardés qui se foutent dans des situations les plus ignobles possibles de ce point de vue n'est certainement pas anodine. Et je te rappelle que tu t'es débrouillé pour faire grandir nMaxou jusqu'à un âge bien plus viril en le mettant à poil dans le même paragraphe. Alors le gamin innocent... merci.