le chateau

(je te rapelle que même si Maxou est grandi, il a toujours la même mentalité. Si jamais une jeune et jolie jeune fille (ou un jeune et joli garçon qui sait... huhuhu) lui saute dessus, il ne va pas réelement comprendre ce qu'il lui arrive... Sois dit en passant, je ne laisserais personne tripoter mon Maxou, il est à Moi rien qu'à Moi !! >.<)


(Bon Rave, et si tu répondais...)

(Arrêtez de flooder sur le topique SVP)

Il se sentait bizarre depuis que devon lui avait raconté l’histoire de l’Echiquier et que la reine Diana avait de moins en moins de contrôle mais il se dit que ce n’était pas grave de toute façon il avait tous les renseignements qu’il voulait. Mais il y avait toujours quelque chose qui le gênait, il ne savait pas pourquoi Devon lui avait demandé son âge, mais bon il ce dit que ce n’était pas important. Il dit à Devon

« J’essaierais de me souvenir de ton anniversaire (le problème ces que tu n’auras pas ton cadeau ce jour si) et merci aussi de m’avoir parler de L’Echiquier.

Il avait un profond respect pour Devon qui était une des plus hautes pièces de l’Echiquier mais il sentait en lui une chose désagréable il regarda ce dernier et lui dit

« Qu’est-ce qui c’est passer avec vos bras ? »

Il attendit longuement sa réponse, des minutes passèrent toutes plus longue que les autres jusqu’au moment ou Devon pris la parole et dit…

"le topique !" Faut croire qu'il est déjà en vacances au soleil !

[C'était presque crédible. Sauf que chacun sait que tous tes persos sont purs et innocents et que ce n'est que le vil pervers d'auteur qui s'arrange pour leurs faire assouvir tous ses plaisirs vicieux et malsains. Donc je persiste et ratifie : le "il est à moi !" n'arrange rien de ce côté.]

(besoin possessif caractérisé ? hinhin...)

(le topique ! XD ainsi Rave aurait des envie de plage et de sable chaud ? (regarde par la fenêtre) -_-' merde je te comprend...)

(moi possessive avec mes perso ? Naaaan ! Mais il est en effet fort possible qu'il s'agisse d'un refoulement de manque affectif... (regarde fixement Nathan) un manque de câlin quoi...)

Il y eut comme un blanc, nan en fait il y eut un blanc, pesant, lourd de gène. Devon regarda fixement ses chaussures en se mordant l'intérieur des joues. Il avait envie de lui hurler que ça ne le regardait pas et d'aller se faire foutre, mais il se reteint. Il fallait que ce gosse conserve une bonne et rassurante image de lui. Il ne pouvait pas se permettre de tout briser maintenant.
Le marionnettiste soupira pour se calmer et reprendre tout son sang froid. Puis il releva la tête et posa sur Rave un regard franc.

"Ce n'est pas une très belle histoire, tu veux vraiment que je te la raconte ? Très bien, comme tu voudras. Je t'ai dit que Diana était devenue folle, regarde ce qu'elle m'a fait. Autrefois je l'ai aimé mais c'était un amour qui n'était pas réciproque. Néanmoins elle prenait plaisir à voir mon coeur se briser puis à reprendre espoir. Elle jouait avec mes sentiments. Et ce jusqu'au jour où je ne pu plus supporter la douleur de cet amour sans retour. Dans un reflexe de survi, dans un désir de ne plus souffrir, je cessa de m'interresser à elle. Et ça elle ne le supporta pas. C'est une femme capricieuse, une reine de coeur, une rose à la beauté fatale et aux épines acérées et tranchantes. Elle voulait avoir éternellement un soupirant à ses pieds, un être qui souffrirait à jamais par et pour elle. Pour me punir, elle me tortura durant notre dernière nuit d'amour. Elle me conserva néanmoins au palais, comme le trophée de sa dernière victoire sur le coeur d'un homme. Diana m'a tout pris, le la déteste. Et maintenant que je ne suis plus aveuglé par l'amour, je peux la voir telle qu'elle est, un monstre."

( Bon je prends sa défense, pour l'orthographe un peu .... enfin ... de " topic, c'est parceque ce jeune homme tape tous ses post sur Word, et que le correcteur orthographique lui indiquait "topique" et non "topic"....voilà voilà...)

[...

Ah.

...

Il avait pas encore remarqué que le correcteur de word est une windowserie immonde ?

...

Mais comment il fait ?

...]

(XD même ton word à envie de partir en vacances ! (imagine Rave sur une plage isolée, face à un magnifique soleil couchant tout rose, enlassant son pc et lui murmurant à l'oreille des mots d'amour.) Arg... =________= quelle horreur, Rave et Obi en lune de miel... Nana surveille les fréquentation de ton amant...)

Obi ?

...

Wan ?

(Son pc et amant =___=' (mode méchante on) forcément, c'est dur le célibat... ^^)

(Bon Rave tu bouges un peu tes fesses ou je viens te chercher chez toi en te faisant les gros yeux verts qui font peur ?! oO mwahahaha ! (je fais ça très bien ^^ ♥) (entre autre ^^ ♥) )

Et... pourquoi ce surnom abscons ?

Il regardait Devon avec un mélange de mépris et d’incompréhension, il y avait 2 choses qui le tracassait : Primo il sentait que Devon lui avait menti mais ce n’était pas le plus important, malgré son amnésie il gardait quand même tout son savoir sur le monde (le mot savoir et exagérer) mais il y avait une chose, un mot dont il ne connaissait pas le sens « l’amour » comme si avant on ne lui avait jamais appris ce mot, cette sensation. Il chercha dans sa tête le sens de ce mot, mais en vain il ne réussit pas a trouvé et dit finalement à Devon

« Ton histoire est bien triste »

Il n’osa pas lui demander si l’histoire était vraie ou si ce n’était qu’un tissu de mensonge. Il réfléchit longuement avant de demander à Devon

« Sa veut dire quoi « l’amour »je ne comprends pas ce que ça veut dire »

Il se sentit gêner de poser cette question mais bon il était à soif de connaissances.

(Désoler si le post est un peu court)

( Bon je dois avouer que ce brave garçon est venu me voir pour me demander si ce tissu de mensonge cet amas d'absurdités en tout genre ce fantasme caché de Devon? la raison donnée par notre cher marionnettiste sur l'état de ses pauvres bras était vrai...et je dois avouer en toute humilité que je ne pus m'empécher de craquer devant ses yeux de koala...qu'il fait très bien...tu me le payeras sal mini Joker je lui ai donc racconté la vérité, car ce jeune homme avait pas assez de courage pour lire le topic...ma générosité me perdra. )

(ta générosité bétise et en train de me perdre patate ! Il était en train de douter (comme quoi ma version était plausible) et toi tu lui a ôté tout soupsons ! C'est très bas ce que tu as fait ! Je me vengerai... >.<#)

(bon, on a bien histoire ce soir ? Bien bien bien, je vais donc rédiger à la main le dicours de Devon sama sur l'amour pendant ce temps là... (ça promet...) )

[Preuve est faite : l'omniscience est endémique dans votre famille.]

( faut voir si ça fera la même sur le petit dernier ^^ peut être sera-t-il sauvé...

@Devon, tu sais très bien que personne ne peut résister aux yeux du koala, surtout quand c'est mon mini Joker qui le fait, et puis ce jeune homme a pas cru un instant à ton histoire, il me lè'a confirmé ce soir ^^. )

(@ la traitresse : ouais c'est facile de dire ça...)

(@ le geek : je suis en effet d'accord avec toi. (pour une fois.))

"L'amour ?"

Devon sourit, un sourire qui pour une fois n'était pas moqueur. Un sourire doux et rayonnant qui illiminait son visage blafârd de jeune homme gravement atteind par la maladie.

"L'Amour, c'est un sujet vaste pour un très grand et très noble sentiment."

Le marionnettiste blanc soupira de bonheur. Il pensa à la femme qui faisait jour et nuit battre son coeur.

"Il ya plusieurs soretes d'amour, tellement qu'il est presque impossible de les compter. C'est le sentiment qui nous pousse vers les gens. Tout le monde ressent ça, toi aussi, c'est humain. C'est ça qui tisse les liens entre les hommes, qui les empêche de se détruire ou les pousse à la guerre. C'est un sentiment très étrange et très fort. Il est à la fois agréable et douleureux de la ressentir. L'Amour c'est le désir ardent et incontrôlable d'une personne, telle qu'elle soit. Ne vouloir faire qu'un avec elle, la protéger et la chérir, pour qu'elle ne manque jamais de rien, pour qu'elle ne soit jamais malheureuse. L'Amour c'est le don de soi dans son intégralité, pour le bien être d'autui. C'est le très puissant désir de donner et de recevoir. Et ça fait très mal quand ces sentiments ne sont pas réciproques. Alors on ne que pardonner dans la douleur, parce que personne ne peut le prévoir ou le contrôler. C'est la chose le plus libre qu'il soit, elle s'installe dans ton coeur, guide tes sentiments, tes pensées et même tes actes. Et puis elle te quitte un jour, aussi brusquement qu'elle est venue."

Devon marqua une pause dans son discour, laissant un long silence, des images agréables infiltrer son esprit et un sourire d'amoureurx transi sur ses lèvres pâles.

"C'est vraiment difficile de t'expliquer. Tu comprendras mieux quand tu ressentira ça, ou du moins tu te rendra compte que tu ressents ça toi aussi, et ce tout les jours, sans pouvoir l'identifier."

[Génial ! Mwarf ! Il a confirmé ne pas y avoir cru une seconde, mais seulement une fois qu'on lui a expliqué que c'était faux !

Ah ! Le style niais et ondoyant de Devon quand il passe en mode féérique, ça me manquait.

Parce qu'on a toujours besoin d'un faire-valoir. ]

(lol quel sale gosse... XD)

(comment ça c'est niais ? fais nous un discours sur l'amour si c'est si simple ! >.<)

[Un discours sur l'amour ? Moi !?

"Certainement pas mon petit Blutch !

N'oubliez pas que je suis votre supérieur, et un supérieur ne travaille pas : il regarde, il observe, il critique."

-> Les Tuniques Bleues, par Willy Lambil et Raoul Cauvin, tome 47 : Les Nancy Hart]

[Pourriez-vous disposer de l'extrème déférence de cesser momentanément cet ennuyeux parasitage du rp ?]

Fidèle à ses principes, le sire Begarion s'était subrepticement infiltré à la suite des deux comploteurs, dévêtant son armure en un temps record à l'aide de seulement huit écuyers et une tenaille multiprise. Ce drôle avait choisi son camp, et il avait très mal choisi : non seulement sa quête folle risquait la vocation à l'échec s'il prenait idée à son "maître" de se rebeller contre le pouvoir en place. Mais de plus, au vu du tissu de menteries que cet épouvantail de marionettiste lui débitait au rythme de ses expirations, s'il retrouvait un jour une identité avec l'aide de ce personnage, il pourrait être assuré que ce ne serait certainement pas la sienne. Robert avait une fois de plus écouté aux portes, stratagème tellement passé dans le registre comique que nul ne songeait désormais à se préserver des trous de serrure, et il ne croyait pas un instant à ce récit pseudo amoureux d'un tragique délirant. Sa Majesté, s'abbaisser à mettre un fou dans son lit ? Grotesque.

Le sieur Devon y concentrait toutefois tellement d'ardeur larmoyante que son histoire s'imposait avec une subjugante force de persuasion. Ah ça, il savait trouver les mots pour agrémenter son babillage de diffamateur, comme s'ils se présentaient malveillament à lui au fur et à mesure qu'il s'embourbait dans sa lyrique épopée, de moins en moins crédible mais toujours plus bluffante. Son compagnon n'affichait pourtant pas une mine des plus convaincues, s'il avait suffisamment de jugeote, peut-être que... Non. S'il avait SEULEMENT un semblant d'intellect, il n'aurait jamais rendu son salut à un être tel que celui-là. Il convenait avec cette espèce de personnage d'échanger des banalités jusqu'à ce que survienne un individu plus compétent, en accordant au premier autant d'attention qu'à un colporteur chargé de vous refourguer pour un prix plus que modique des bas de laine véritable, tout aussi modiques.

Et Robert jubilait : cette conversation était des plus instructives, il avait été fort inspiré de mettre à la fosse ses répugnances à ne pas pourfendre l'impudent de suite. Avec un soupçon de chance, cet inepte ourdisseur de manigances trahirait bientôt un autre de ses semblables pour s'adjoindre la confiance de sa nouvelle recrue. Et dans l'improbable cas où l'on découvrait sa présence derrière l'huis, il n'aurait qu'à prétendre faire le planton de garde d'un air innocent.

Le jeune chevalier était en nage. De fines perles humides coulaient doucement sur ses tempes, ainsi que sur l'échine de son dos. C'était passablement désagréable, mais le jeune homme n'y prenait garde, il était animé depuis son réveil plusieurs heures au par avant, d'un sentiment agréable qui faisait vivre sur ses lèvres un sourire qui illuminait son visage. Sa cape était ouverte et flottait derrière lui, laissant apparaitre le este de son corps, qui avait été recouert pour l'occasion d'une simple cotte de meille et d'une tunique de moire, un tissu d'importation connue de lui seul.

Il était sortit dès son réveil de sa chambre, et attrapant au vol quelques armes, et de quoi manger pour plus tard, il était partit dans la campagne pour s'entrainer. Galopant avec sa monture à travers la plaine gelée qui encerclait le château et le village, Fabalio avait exécuté de nombreux exercices que des êtres humains normaux n'auraient put réussir. Il retrouvait petit à petit des forces, ainsi que l'usage de son bras. La guérison avait été rapide, grace à l'ärm d'Aramand, mais aussi grace à la grande capacité de guérison du jeune chevalier.

Il s'était arrété quelques instants, croquant dans la miche de pain blanc qu'il avait prit, contemplant l'horizon, vers la direction qu'il pensait être chez lui, là bas, Amos. Il se demanda tout ce qui avait put se passer depuis son départ.

Mais chassant ces sombes pensées de son esprit, il reprit son entrainement, attachant à la selle de son cheval une longue corde ( elfique ^^ ) qu'il enroula à une souche d'arbre, ainsi, en lanssant l'annimal au galop alors qu'il restait à terre, il aurait à disposition une cible mouvante, plus réaliste qu'une simple cible fixe. C'était une technique classique, mais il ne pouvait se permettre d'enchainer des mouvements compliqués pour le moment, du moins durant la période de sa rééducation.

Une fois qu'il eu fini, il décida de rentrer au château. Préférant marcher, il resta à terre, tenant son cheval par la bride. Il gardait sur so visage la capuche de son manteau, mais n'aimant pas le look MPE, il préférait la laisser ouverte, donnant encore plus d'allure à sa silhouette.

Il arriva enfin aux portes du château, et entra.
Ce fut alors qu'il vu son ami, Devon. Allant à sa rencontre pour le saluer, il remarqua la présence d'un jeune homme aux cheveux gris.
Découvrant son visage de dieu, il jetta aux hommes un regard pétillant.
" Devon que fais-tu ici de si bon matin,
avec ce jeune homme que je ne connait point ? "

( Si je parle comme ça c'est à la demande de Mata qui m'a fait une crise pour que je m'exprime ainsi. )

(Je dément ! Jamais je n'ai tenue à ce que Fabalio exprime des propos pédophiles ! )

Devon sourit, à peine sortit de sa transe délirante et affreusement sucrée.

"Fabalio ! Je te présente Rave, une nouvelle recrue. Il est entré sous ma protection."

Puis il s'adressa au nouveau pion.

"Rave, je te présente Fabalio. C'est un de mes plus cher ami. Comme moi il est originaire d'Amos, alors ne t'étonnes pas si de temps en temps tu nous entend converser dans une autre langue et n'y vois rien d'offencent, comprend le, il vient juste d'arriver."

Puis il se retourna vers Fabalio et reprit.

"Nous étions en train de converser d'amour. Rave me demandait de quoi il s'agissait et moi je lui ai expliqué ce que c'était pour moi. A présent, me ferais-tu le plaisir de nous donner ton point de vue, histoire que le jeune Rave puisse croiser différent avis pour se forger sa propre opignon. S'il te plait Fab... Tu es chevalier après tout, tu as bien dû entendre parler d'amour au moins une fois ?"

(je en cherche pas à te piéger (quoique hiek hiek...) mais plutôt à continuer la conversation. (prend ça comme une overdose de banquet) je pense que tu l'ignores, mais fab à une certaine idée de l'amour assez... théatrale... ^^)

( Je le sentais venir ce coup là...et vive le banquet...l'amour...même moi je sais pas comment le définir alors....dictionnaire ??? ( lit tranquillement la définition...trouve des idées...) version théâtrale en plus...( chercher cherche...)...trouvé ^^ . )

Le chevalier salua le jeune garçon, lui adressant un sourire chalereux, amical, baissant tout juste la tête, sans pour autant plier l'échine. Puis il écouta son ami avec une attention toute particulière.

L'amour.

Il leva la main vers son visage rosie par le froid mordant du dehors, et la passa sur son menton, adoptant un des mouvement type de la réflextion. Rejettant en arrière une des mèches de ses longs cheveux bruns, il garda quelques instants le silence, gardant les yeux dans le vage, cherchant les mots juste, ceux qui convenaient à décrire ce mot.

Fabalio avait bien sur sa propre vision de l'amour, basé sur ce qu'il avait vu de mariage et de couple à la cour, entendu d'histoires épiques, aux dires de ces femmes qui tentaient toujours veinement de le charmer. Mais tout ça n'était guère que des formules abstraites, des visions d'un sentiment tant de fois compté.
" On entend parler d'amour chaque jours, c'est quelques chose que nous voyons quotidiennement. On voit un tel dire " j'aime...les fraises ( c'est venu tout seul ) ", un autre dire, " J'aime bien me battre ", encore un autre " J'aime un être [humain] ". Il faut donc ici définir de quel sens on entend de l'amour. Personnelement, je n'ai jamais connu l'amour, celui dont nous discutons, je dois donc me baser pour répondre à ta question, de toutes mes connaissances sur le sujet. Ainsi, je doute qu'elle soit aussi juste que celle que tu dois avoir donnée à ce jeune garçon. "

Le chevalier marqua une pause. Il regardait sucsessivement Devon et Rave, mais sans vraiment porter son regard. Il portait son champs de vision au delà.

" L'amour, au sens de passion, est avant tout un sentiment très intense, anglobant la tendresse, une attirance, un mouvement de dévosion, de dévouement pour une autre personne, mais aussi pour un Dieu, un idéal. Dans ce qu'on appelle le Grand Amour, celui tant vanté dans les comptes, les récits de chevalerie, d'aventure, mais qui vit avec nous, à chaque instants, on a un attachement si fort pour cette personne, pour qui on donnerait jusque sa vie, qu'on ne peut même plus parler d'amour. "

Fabalio tourna la tête vers Rave, puisqu'il s'adressait à lui maintenant, mais le chevalier ne le regardait pas, son regard passait au travers du corps du jeune homme, il était perdu sur l'horizon.

" Je te donne un exemple. Un jour tu te balades dans la rue, nonchalament, sans but précis. Soudain tu croises le chemin d'une femme, ou d'un homme. Alors, tu le regardes, de tel ou tel façon, tu cherches peut être à le connaitre, à en savoir plus sur lui. Et c'est là que ça arrive. Pour certains c'est plus rapide que pour d'autre, certains attendent des années avant de se déclarer. Mais le sentiment reste le même. L'amour nous prend, on a aucun moyens d'y échapper. C'est dans ces moments là que le mot " amour " ne convient plus, car il n'est pas suffisament fort pour définir ce sentiment. Car quand tu en es réduit à ne plus vouloir faire qu'UN avec cet être, cet personne deviens alors ta moitié. Et même plus que ça, elle est ta moitié, cette part de nous que nous cherchons sans cesse, même des fois inconscienment. Pour moi, c'est ça l'Amour, c'est le fait d'éprouver un sentiment si fort pour une personne, si intense, qu'il ne peut plus être nommé ainsi. "

Fabalio savait son explication quelques peu hasardeuse, non fondée, pourtant il pensait tout ce qu'il disait, et quand il eu finit, un sourire illuminait son visage.

( ok ok je sais banquet power... andro power ^^ )

(bleuffant, on croirait presque que tu l'as lu... ^^)

Devon sourit, il avait écouté attentivement son ami discourir, tout en apprésiant ses progrès fulgurant en märien.

"D'après toi on ne peut aimer qu'un seul être au monde, celui pour lequel on est fait selon un destin commun. Personnellement je pense différament. Autrefois je croyais comme toi, mais mes expériences et une conversation avec mon valet, similaire à celle que nous tenons à présent, m'ont fait changer d'avis. Je ne crois pas que l'ont ne peut aimer qu'une personne au cours de sa vie, mais contrairement à Armand, je ne pense pas non plus que l'on peut aimer tout ses semblables. Il est forcément des êtres que nous détestons, il est vrai, et d'autres que nous apprécions. Et parfois cette petite attirance nous rend tout à coup, et parfois sans que nous nous en rendons compte, complètement dépendant de cette personne, ainsi que tu nous l'as dit précédament. Mais voilà, je peux voir ici mon cher Fabalio, que ton jugement est faussé par un cruel manque d'expérience. Il m'est déjà arrivé d'aimer plusieurs femmes en même temps, d'un amour qui se vallait autant, et dont elles n'avaient pas à être jalouse l'une de l'autre. Tu dois penser que c'est impossible, et pourtant c'est la vérité. Ce sentiment qui te semble si fort, on peut le ressentir pour plusieurs êtres. Et je ne te parle pas seulement d'amour charnel. L'amour égal d'une mère pour ses fils en est la parfaite illiustration. Pardonne moi de ne pas croire en ta théorie de la moitié, car dans mon cas il s'agit de fragement de moi même qui se trouve en chaque femme. Il en est évidemment une que je préfère de loin aux autres, mais ce phénomène ne m'est arrivé que très récament. Autrefois j'aimais toutes les belles filles d'un amour égal et très fort. Aujoud'hui elles ne fascinent toujours autant, mais il y en a une qui prédomine les autres. Et malgrès tout l'amour que je lui porte, je ne peux croire que je sois sa moitié. Nous sommes trop différent pour ça. Mais de toute façon peut importe, si je suis sa mi ou celle de quelqu'un d'autre, ça ne changera rien pour moi. Cette fille je l'aime et je l'aimerai encore si elle appartenait à un autre. Quand l'amour est aussi fort, il ne se préocupe plus de la prédestination dont tu me parles."

Il sourit, rayonnant.

"Pardonne mon impertinence, mais peut être ne t'avais-je pas parlé de cette jeune demoiselle, qui dans quelques temps seras mon épouse ?"

( ^^ juste un passage... )

Fabalio regarda son ami. Et soudain, le jugement qu'il avait donné quelques secondes au par avant lui sembla dérisoire, faux, tout juste un semblant de vérité.
Il restait silencieux, écoutant le jeune marionnettiste parler plus sagement que bien des hommes de savoir à la cour d'Amos. Il se rendait également compte que le jeune homme avait raison, que son explication était faussé par son expérience assez...( inexistente )

Ce fut lorsque Devon lui parla de son mariage à venir que Fabalio réagit.
Il regarda son interlocuteur avec des yeux ronds, surpris au possible. Il ne lui avait parlé de rien, pas même de cette femme.

" Mais c'est fantastique, pourquoi ne m'as tu rien dit ? "

Le chevalier était heureux pour son ami, profondément, et espérait avoir plus de détails. Il était curieux, surtout lorsqu'il sagissait d'ami proche.

( cour mais j'ai plus rien à dire ^^' )

Dev' Dev' reserve