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Bienvenue dans le royaume de Mär Heaven ! Ce royaume paradisiaque que menace de détruire le diabolique Echiquier...Combattant, pion ou voleur ?
 
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 Repérage des lieux [libre]

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Robert Begarion
Pièce de l'Echiquier : pion
Robert Begarion


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MessageSujet: Repérage des lieux [libre]   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeVen 11 Jan 2008 - 20:14

Le destrier noir progressait pesamment, son sabot écrasant plus que foulant les venelles, puis hésitait un instant à s’extraire de son empreinte, comme si l’abandon lui coûtait. Fermement mené à la bride par la poigne désabusée de son maître, l’animal n’en montrait pas moins son peu de goût pour l’allure soporifique qui lui était imposée. La chevauchée présentait assurément le mérite indiscutable de fournir sans peine un libre et très large passage au cavalier dans la foule la plus compacte, mais aujourd’hui n’était pas coutume. Fort de sa nouvelle affectation, il était venu à Robert la fantaisie d’une reconnaissance de terrain. Le heaume couché sous les sangles, en travers de la selle, il marchait donc à ciel ouvert, forçant le pas à sa monture pour ne pas effaroucher les badauds. Le chevalier tenait à observer le gueux, tout comme il tenait à ce que le gueux l’observe, et par dessus tout se souvienne parfaitement de son visage. S’il devait désormais incarner l’autorité en le nom et le fief de Sa Majesté, alors que ces drôles sachent d’avance qui ils avaient à craindre, quelle bientôt redoutée parmi les redoutables figure terrible s’inviterait sans s’annoncer dans leurs chaumières et leurs cauchemars. L’armure de plates ainsi que son monstrueux cheval suffisaient à progresser sans obstacle pour reporter son attention sur les activités de la bourgade, l’allure ralentie de son cortège banalisant toutefois sa visite. En fait la plupart des piétons se satisfaisaient d’un regard distrait à son égard, trop affairés pour prêter attention à quiconque ne représentait pas un danger mortel, tandis que les colporteurs de tout poil évitaient sciemment d’entrer dans son champ de vision immédiat. Cela entrait tout à fait dans ses convenances, qui ne demandait pas mieux que de parcourir les occupations des braves sujets insouciants dont il avait la charge dans leur milieu naturel.

Sa pensée l’amenait à convenir de la forte similitude du serf et du mouton. Peu importe à chacun des deux bestiaux les déferlantes qui hurlent leur fureur à ses oreilles, rien ne l’empêchera de poursuivre sa course aveugle tant qu’il ne sera lui-même balayé par la tourmente. L’ovin avance pour la raison alimentaire que l’herbe se trouve devant lui, jumelée à l’espoir salivaire de voir toujours plus de pâturages touffus à goulûment dénuder, du pur fantasme à perte de vue. Tout comme le constatait Robert Begarion, ce petit palefrenier crasseux lui aussi avait l’obsession de l’abondance, décrottant, étrillant et abreuvant toujours plus de chevaux, sa motivation à battre ses propres records n’ayant pour objet que sa paie au rendement. Ma foi, en tant qu’exécutant judiciaire, il était lui-même rétribué à la tête, mais ne se privait malgré cela pas de prendre le temps nécessaire quoi qu’il arrive. Comme si personne avait le moyen de lui échapper.

S’il ne valait mieux pas le crier sur les toits, l’exploit avait pourtant déjà été accompli. Un mince et noueux mercenaire forestier, recruté comme tant d’autres pour aller marauder sur les terres d’un voisin agaçant et y commettre quelques menues atrocités. Ce joueur de braquemart s’était cru permis de disposer du gibier de lord Begarion comme des autres biens du pillage, et s’était, son forfait révélé, élevé à la dignité de figurer en bonne place sur la liste de courses de Robert. Peine perdue pour ce dernier, parvenu aux baraquements des saisonniers, l’humble homme d’armes ne s’était pas estimé digne de l’honneur qui lui était fait et avait poliment pris congé. Non sans avoir laissé derrière lui en gage de gratitude le corps punaisé au mur de la sentinelle chargée de vérifier les allées et venues à l’entrée du camp de mercenaires. Malgré les battues successives et acharnées, les chiens de sang, les interrogatoires musclés et leurs séquelles malencontreuses, rien n’y pouvait : l’homme n’était jamais reparu à la vue de son poursuivant, qui enrageait presque autant que les molosses sanguinaires qui lui servaient de limiers.

Sa furtivité fut si parfaite qu’on eut plus la moindre nouvelle de lui durant de longs mois, le jour où son cadavre lacéré et putréfié fut retrouvé enfoui dans la paille nauséabonde d’un poulailler à l’abandon. Doutant que les volailles, fussent-elles retourné à l’état le plus sauvage, soient à même de taillader à mort un gaillard accompli, Robert avait précautionneusement examiné les lieux.

Le croulant édifice était planté sans raison flagrante dans un bourbier silloneux qui devait déjà être en jachère bien avant la mort de son propriétaire. L’intérieur se révélait bas de plafond, chiasseux, mal aéré et tapissé de ferraille ne demandant qu’à vous prélever une tranche de couenne au passage. La cabane entière gîtait de trente degrés pour peu qu’on s’appuyât sur le mauvais mur. Pataugeant dans la boue de ce marécage broussailleux, sa persévérance mena finalement Robert à poser la main sur des traces singulières, tapies dans un chemin d’herbe couchées. Voyant son salut dans ce clapier, le braconnier, avait décidé d’y faire halte quelques heures, pensant avoir échappé à ses chasseurs, sans se douter le moins du monde qu’il était l’objet d’une toute autre traque. Il dormait vraisemblablement à poings fermés lorsque la meute investit la tanière. En se remémorant les détails appétissants, un sourire mauvais enflammait comme à chaque fois le visage de Robert Begarion. Les loups n’avaient pas trouvé sa maille à leur goût et n’avaient dévoré que les extrémités. Sa tête faisait figure de gros noyau de pêche mâchouillé, et ses mains arrachées à pleines dents, curieuse façon d’opérer un réveil, avaient fait sujet à débat, et le sujet s’était fort bien débattu. Ce qui n’avait empêché les pieds de suivre le même chemin, avec plus encore de plaies saignantes et autres marques d’acharnement des canidés, qui le parsemaient comme un rôti emmailloté après l’assaut infructueux d’un couteau trop émoussé. Les loups l’avaient percé comme un radiateur sans parvenir à lui prendre quelque bouchée de viande à travers son haubert et avaient fini par le vider de son sang à force de le retourner dans leur gueule.

Le « justicier » eut alors toute la délectation du monde à exhiber en place publique les restes du reître, et à narrer la morbide histoire, sans omettre de préciser que ce traquenard était de son fait. Et de bien souligner par la suite que cette espèce de châtiment cocasse n’advenait qu’à fol qui espérait se soustraire à la justice seigneuriale. Cela n’empêcha bien entendu pas d’autres gamblers de tenter le tout pour le tout une fois leur tête estampillée d’un chiffre rond, mais cette réputation de machiavélisme lui valait de plaisantes notes émotionnelles dans les suppliques terrorisées de ses victimes.

Non pas que Robert fut particulièrement vicieux, s’interrogeait-il en observant la circulation d’un convoi de carrioles dont la maniabilité n’était pas l’atout premier. Le conducteur de tête avait l’air bien plus bovin que l’animal attelé à son véhicule et aboyait des invectives furibardes au jeunot chargé d’ouvrir la route à la caravane. Le môme faisait son possible, tentant de prévenir les passants et de dégager la voie de son long bâton de bois, mais il n’avait pas la présence nécessaire à la tâche et la plupart l’ignoraient superbement, s’ils l’avaient seulement aperçu. Des moutons, vraiment. Capables de suivre d’avance un guide sans s’assurer de sa capacité... On ne confie naturellement pas un poste de meneur à un gamin dépourvu du moindre charisme. Robert tendit la bride et une piécette à un petit mendiant enturbanné, avec un sourire flatteur.


« Garde-le moi deux minutes, et observe bien. »

Ce sur quoi il s’approcha subrepticement du caravanier, puis fit claquer bruyamment les charnières caractéristiques de ses bottes d’acier. L’homme se retourna, forcené et prêt à en découdre. Tout disposé à mettre sur le gril quiconque s’interposerait entre lui et l’employait qu’il s’employait à étriller. Robert posa visiblement la main sur le pommeau de son épée et commença :

« Avez-vous conscience, mon brave, de ce qu’il coûte de troubler la paix de la Reine, par vos beuglements de babouin, fort propres à inciter à la violence ? Saisissez-vous pleinement que vous êtes ce qu’il est convenu de nommer un fauteur de trouble, et qu’on s’arrange généralement assez pour que les troubles cessent dans les plus brefs délais ? Coïncidence amusante, mon rôle consiste précisément à réduire au silence les individus perturbateurs tels que vous. De façon à ce qu’ils cessent définitivement ,il prononça distinctement le mot en caressant ostensiblement la garde de son arme tandis qu’il articulait, de constituer un fardeau pour le reste de la population. »

Le babouin en question déglutit.

Messire Begarion dégaina prestement et fit miroiter l’acier au soleil tandis que son interlocuteur enfonçait ses incisives dans sa lèvre inférieure.


« Seulement, comme vous le voyez, je viens il y a peu de faire aiguiser ma lame et il me déplairait de l’émousser sur une viande aussi pauvre et nerveuse que la votre. Je crains donc de devoir renoncer à vous tailler des rondelles dans la tripaille, à mon plus grand regret croyez-moi. »

Le charcuté en puissance reprit un semblant de souffle.

« Il faudra donc se contenter de vous prélever la langue pour s’assurer de votre mutisme, qui seul garantira votre cessation totale d’encourager à l’émeute... Ne prenez pas cet air de porc à l’abattoir, sombre abruti, vous me verriez vraiment fourrer mes mains dans votre gosier fétide ? Toujours est-il que vous serez bien inspiré de quitter la ville avant ce soir, ou je trouverai bien une bonne âme pour se charger de la besogne. »

Tandis que Robert lui tournait le dos, la voie s’ouvrait miraculeusement pour la charrette parmi les gens interloqués, le jeune guide reprit ses fonctions et le premier conducteur le dépassa en trombe, aboyant « Place ! » bien que place il y avait déjà amplement. Non, voilà ce qu’appréciait le bon chevalier : la crainte de l’autorité. La mort de ce parfait quidam planté sur son siège de char à bœufs ne lui procurerait ni plaisir ni chagrin. Une lame servait à tuer son prochain, pas à se distraire. Il lui était concevable de joindre l’utile à l’agréable, de se détendre en tuant ce prochain, il n’y avait après tout aucune raison pour que son travail soit pénible. En revanche l’inverse était catégoriquement contre ses principes. Il ne donnerait pas la mort pour se divertir. Car un artisan exemplaire se doit de se préserver des deux grands maux que sont la paresse et le zèle. Dans son cas plus particulièrement, il n’était rien de moins fiable qu’un pourvoyeur exécutaire qui en fait trop ou pas assez. L’un laisserait trop facilement une chance à sa cible, faute de rigueur pour condamner l’accès à ses émotions, et passerait pour un incompétent notoire, entraînant l’apparition de robins des bois téméraires. L’irascibilité de l’autre en ferait un croque-mitaine plus haï que craint, et son empressement attirerait à ses maîtres le mauvais sentiment de la plèbe. L’avidité à tuer et le laisser-aller étaient trop souvent les caractéristiques des souverains dépassés par leurs pouvoirs, et des subordonnés dévots, crachant volontiers sur leur libre arbitre au profit de trois écus.

Robert Begarion reprit les rênes de sa monture pour les attacher à un banc quelques pas plus loin, et s’y assit afin de poursuivre sa tâche et méditer ces réflexions. Il apercevait du coin de l'œil une silhouette solitaire à qui la scène ne devait pas avoir échappé.


*Aurais-je l'honneur de recevoir un peu de compagnie prochainement ?*
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Robert Begarion
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Robert Begarion


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MessageSujet: Re: Repérage des lieux [libre]   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeDim 2 Mar 2008 - 19:47

[Je lance un appel : rp libre, venez roleplayer avec Robert, vous ne serez pas déçus, allez, on se motive ! Very Happy ]
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Hélène
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Hélène


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MessageSujet: pas de titres ?   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeMar 29 Avr 2008 - 18:57

Is'aAc n'avait en effet rien perdu de la scène. Il venait d'arriver à Lestower, et en repartirait sans doute très prochainement.
C'était déjà une vieille habitude : son père, Ta'aNéris Alb'ert L'aoNe, plus connu sous le nom de "Tahaanheuh le vieux colporteur" le traînait sur les routes depuis son plus jeune âge. Ils venaient régulièrement à Lestower, mais n'y restaient jamais longtemps... C'était une ville dangeureuse et ceux qui étaient chargés de l'ordre et de la sécurité de la population n'étaient pas des plus tendres... Il venait d'en avoir encor la preuve.

Il déglutit. Autour, la situation redevenait normale, les passants reprenaient leurs activités et les colporteurs recommençaient à crier, mais à voix basse et en se dépêchant de changer de rue.

Is'aAc Alb'ert Loena se glissa parmi la foule en serrant son petit sac contre lui.
Il aurait préféré que son père se soit chargé de ce boulot. Il aurait bien fait une sieste plutôt que de courir dans la ville.
Sa chemise était encor mouillée de transpiration, il avait passé toute la matinée à réparer la charrette de son père. Au moment où il pensait qu'il allait pouvoir se payer une bonne petite bibine à la taverne du coin, on lui avait jetté le sac de courrier à la tête en le chargeant de tout distribuer...
Il avait eu beau répliquer qu'il était fatigué et en astre de caramel - période désignant, selon la coutume dont il était originaire, les quelques mois avant un mariage -, il errait dans la ville depuis deux heures, à interroger les autochtones et se faire claquer les portes au nez.
La dernière fois qu'ils étaient venus à Lestower, il y a un peu plus d'un an, ils étaient repartis aussitôt, sans même avoir le temps de visiter les tavernes du coin... Son père qui avait un peu plus l'habitude, connaissait des gens, mais lui, Is'aAc se faisait prendre pour un quémandeur à chaque fois qu'il demandait son chemin...

Il savait ce qu'il convenait de faire dans ce cas : trouver un représentant de l'ordre . Normalement, il se montrait coopératif et aidait le malheureux étranger à trouver la rue ou la maison où un petit chanceux recevrait la lettre confiée au vieux colporteur quelques mois auparavent, à l'autre bout de Mär Heaven.

En parcourant les contrées, Is'aAc s'était forgé une sens de l'orientation incroyable. La campagne n'avait plus de secret pour lui, et il avait des connaissances géographiques tout à fait utiles au voyageur qu'il était. Cependant, le côté social et rencontre des gens était réservé à son père. Lui se contentait de dire bonjour bien polimment et d'attendre qu'il ait fini de parler, de prommettre des tournées et de se faire remettre du courrier pour les amis lointains...
Ce qu'il lui fallait, c'était trouver un petit coin reculé du royaume, à l'abri des vissicitudes de la politique - car les gens originaires du coin d'où ils venaient n'ont pas énormément d'admiration pour la reine et son administration - où il vivrait heureux avec sa femme Cl'ydA MoiBuy James et sa hache, car il avait décidé de devenir bûcheron, ou alors boulanger, ou n'importe quoi d'autre que colporteur et encor moins postier.

À présent, il n'était plus très loin du chevalier qu'il avait vu traumatiser un pauvre et sans doute honnête marchand comme ils avaient été traumatisés lors de leur dernier passage.
Il prit son courage à deux mains et l'aborda.


B'iEn le bonj'ouR, mons'eiGneur !

Il avait un accent infâme, à couper au couteau, exactement comme s'il prenait sa respiration au milieu des mots et qu'il avait un chat dans la gorge.

J'ai l'à queLqu'es let'TrEs impo'Rtant'eS à rem'ettRE à des 'haBitAnts d'e la vi'Lle...
Un grot chat touffu. Et enroué.

M'ais Je ne s'uIs pAs d'i'Ci, Vou's l'E voy'eZ ! Est-ce que p'ar h'azzzar'D vous s'aVez où lo'Ge ...

Il extirpa une enveloppe de son sac et déchiffra ce qui semblait avoir été écrit par un quelqu'un qui tenait un crayon pour la première fois.

MaîtrE Murm'El MoN'ty ?
Il toussota.
Je v'euX dir'E : MaîtrE M'urmeL ... Murmel M'Ont.. Monty ! Maître M'urmEl MontY... Ar'gh !

[la seule chose que je te demande c'est qu'il ressorte vivant et de préférence en un seul morceau u__u
Enjoy =p ]
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Robert Begarion
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MessageSujet: Re: Repérage des lieux [libre]   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeVen 27 Juin 2008 - 13:54

[Tiens... Faudrait peut-être que je songe à répondre...]
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Hélène
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Hélène


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MessageSujet: tjs pas de titre ?!   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeVen 27 Juin 2008 - 13:56

[oupa]
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Robert Begarion
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MessageSujet: Re: Repérage des lieux [libre]   Repérage des lieux [libre] Icon_minitimeSam 5 Juil 2008 - 13:18

[Je m'y attelle donc. C'est que j'aurais presque perdu espoir, moi...

'Scusez pour eul' retard.]
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MessageSujet: Re: Repérage des lieux [libre]   Repérage des lieux [libre] Icon_minitime

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