Les persos que vous n'oserez jamais jouer ...

Une insulte en nippon moyenâgeux ! C'est intolérable ! C'est une insulte à ma condition de geek civilisé ! Cela mérite réparation ! Je m'en vais donc réparer mon barbecue et tu auras de mes nouvelles, brochette de mollusque en sursis !

♣ Tu vois ? Ca fait un pique ! La barre de titres accepte pas les caractères bizarre alors ça fait &#9827 ;

Code:

♣

En code ça marche !!!

☺ Par contre, celui-là ne plante pas...

vous avez rien de mieux à fout...

Haaaaaaaaa ! Athanase est en moi !!!! >.< Au secours ! Je me change en modo !!!

L'exorcisme s'impose ! Mon maillet d'exorcisme+4, vite !

haaaaaaaaaa ! Arrête ça !! >.<

(n'ose même pas tenter un truc pareil en rp =_=)

et tu crois que je peux vraiment allez à la caserne en toute sécurité ? j'ai envie que Devon rencontre Athy... mais j'ai peur de tout ces barges !!! TT_TT

C'est si terrible que ça, un petit coup sur la tronche ?

Et si je te rendais service en ... sortant de la caserne ??? Tu me promets quoi en échange ???

edit : ah non c'est con Devon pourra pas me reconnaître PTDR

Meuh si, le chef de la Cross Guard est immensément célèbre pour ses exploits... vu qu'il est pas sorti UNE fois de ladite caserne.

(Bon, d'accord, il est sorti une fois et s'est fait glorieusement assommer par sa subordonnée...)

Bah oui, c'est bien ce que je disais ... Peu de chance que Devon puisse me reconnaître mdr

Remarque, c'est pas plus mal, c'est le deuxième gradé de l'Echiquier non ? Bref quasiment le mieux placé pour vouloir te massacrer.

Retournons un peu au sujet de départ, qui est une sorte de bêtisier ...

Le perso débile suivant ... j'en fait une spéciale dédicace à Nicky Larson. Les initiés comprendront, les autres non ...



Il s'agit d'un mec avec un beau chapeau qui s'appelle ... Bakahane Claude, dit le Clodo pasqu'il est souvent fauché, et aussi appelé "l'homme aux cent harengs".
Il peut faire apparaitre des harengs à partir de son sang : il est complètement givré, et utilise ses harengs surgelés (par conséquent ^^) pour découper ses adversaires en dés de thon Saupiquet en souriant d'un air dément.
Il appartient à une section spéciale de mercenaires de Luberia, les Guêtre Bâs-Coeur, dont la principale occupation est d'accepter des missions-suicides et de s'en sortir de justesse sans toucher un pyutas.
Un jour, je vous parlerais de ses acolytes. ^^


Autre délire ... la poupée-téléphone, dernière innovation technologique de Devon.

Si Devon décide par exemple d'acheter un ärm sans se déplacer ... Il appuie sur les boutons de gilets de Pinoccio (son portable) pour composer le numéro de Joky, et porte le pantin à son oreille.
À l'autre bout, Tokun se met à brailler "DRING !!!" ; alors le Joker porte Tokun à son oreille, appuie sur un bouton particulier de la robe de Tokun et dit "Allo ?".
Et là Tokun lui répond : "Allo Joky, c'est Devon, j'ai besoin d'un ärm qui ..."

Etc. ^^ On n'arrête pas le progrès.

j'aime beaucoup Claude.
cela m'inspire, si j'étais dans une crise de folie furieuse, je crois même que je me serais mise à le jouer celui là

Une idée qui me taraude tel un cours de méca depuis quelques temps, ce serait un ärm assez puissant et totalement inutilisable car très peu roleplayable.
En effet, il permet tout. Et n'importe quoi.
Surtout n'importe quoi en fait XD

Il se présente sous la forme d'un dimension ärm à forme de lapin déguisé en magicien (et qui s'appelle Laplace ^^).
C'est en réalité un dimension ärm. La présence de Laplace indique l'activation de l'engin ^^

Lors qu'il est activé, les règles de l'univers sont modifiées à son voisinage.
Et tout est alors régi soivant la loi suivant : tout ce que nous voyons, faisons et sommes n'ets que la partie réelle des Véritables choses. Mais toutes ces sus-citées choses peuvent se décomposer sous la forme d'une partie réelle et d'une partie imaginaire. Laplace permet de rendre "réelle" cette partie imaginaire.

Concrètement, comment ça marche ?

En gros, il compulse tout ce que les gens imaginent (ou ont imaginé récemment ) dans un certain périmètre et les rend réelles. Et il agit ainsi avec l'imagination de son possesseur, mais aussi avec celle de la victime *w*, ainsi que de celles de ceux qui peuvent se trouver dans le coin.

Réussir à se servir de cet bestiole suppose de pouvoir contrôler ses pensées, mais aussi de savoir comment manipuler les gens et leur faire penser ce que l'on veut qu'ils imaginent (car ils sont pas forcément censé comprndre ce qui se passe ^^).
Et moins ils comprennent, et plus ils imaginent des trucs horribles. Et plus ils imaginent ds trucs horribles et plus il ya de chances pour que ces trucs se produisent *w*

Mon dieu, Hélène, non ! Tu imagines ce qui se passerait si cette chose était activée dans le voisinage de Devon ?

*w* moi je visualise trèèèès bien...


...je veux... (bave bave)

Je vois surtout pas très bien pourquoi, qu'il comprenne ce qui lui arrive ou pas, qu'on lui fasse imaginer ce qu'on veut ou pas, qu'on contrôle ses pensées ou pas, que les trucs qui apparaissent soient horribles ou pas, que ce soient des fantasmes dignes d'un nabot en vareuse à cravate ou pas, que la présence du lapin influe sur l'imaginaire limité des mangaphiles ou pas, que son nom à peine pompé influe sur l'intelligence infinie des maîtres de la Si ou pas, et que ce truc fonctionne comme tu le dis ou pas, en fait, pourquoi des trucs sortis de nulle part à la volonté indépendante prendraient le parti de l'utilisateur de l'ärm, en fait.

La génération automatique ou le cauchemar du roguelike

Sincérement vous avez déjà joué dans un cauchemar essentiellement peuplé de gros monstres baveux, de tables à grandes dents ou de marionettistes en shorts, bref de trucs auquels on ne peut pas imputer de système de pensée cohérente, depuis que vous n'avez plus cinq ans ? Bien, j'imagine que non. Alors vous générerez instantanément une poignée d'être vils qui appartiendront à l'instant même pleinement à la réalité ambiante, et seront donc affectés par l'effet de cet ärm, générant à leurs tours leurs percepteurs d'impôts, longtarins et autres elfes en petite tenue. Qui eux-même réagiront de la même manière, invoquant à leur tour divers compères puis d'autres êtres monstrueux dont leur inconscient leur avait caché l'existence (le plus souvent à raison).

Il est d'ailleurs plus que probable que certains d'entre eux invoquent un deuxième exemplaire de leur invocateur. Qui réinvoquera donc les mêmes gusses, et ces même gusses appelleront les même invoquateur. Un peu comme si vous introduisiez dans un jeu un monstre "liche" avec une aptitude "convoquer liche" (une des premières versions de NetHack, du moins selon Nathan, mais en flash ça marche du tonnerre avec les Tie Fighter !) Le système d'invoquation réciproque ET ponctuelle générera une belle courbe gaussienne des persos, et on tombera dans un régime fractale à extension quasi linéaire (à partir de suffisamment de monde on considérera la moyenne arithmétique du nombre de protagonistes figurant dans l'imaginaire de l'être pensant moyen) mais de direction aléatoire de par la nature imprévisible du seul véritable générateur random que je me refuse de démettre : le chaos suprême, j'ai nommé l'encéphale humain et ses délires psycho[ajoutez ici un qualificatif qui fait scientifico-érudit].

A ce niveau j'en ai largué quelques uns, disons donc qu'une poignée de persos se multi-créeront entre eux pendant que d'autres en généreront de nouveaux en chaîne, et que les premiers venus seront toujours ceux en plus grand nombre -et inversement-, donc à supposer que le rythme d'entredestruction de ceux qui se taperont dessus excèdera largement la vitesse de génération des entités (il ne peut pas y avoir autant de monde sans présence d'ennemis jurés ne pouvant se croiser sans se bouffer, au hasard Zarakaï qui invoque des Iloriel, sans citer Trichelieu, certainement un des premiers apparus avec Nathan dans les parages), ce qui sera le cas dès l'invocation du premier orc (Il y a en chaque homme un orc qui dort fait une sieste digestive, après avoir ingurgité un morceau de cervelle ! Le mystère de la disparition des neurones est résolu ! Quand vous faites une tête au foute, vous vous contentez de reveiller cet orc avec les vibrations.) on pourra considérer que la bataille se gagne donc dans le peu de temps qui sépare la cration des premiers persos avec l'apparition des premiers bélligérants, mais ce ne sera pas forcément un des camps initialement en présence qui l'emportera. Héhéhé...

Il faut par ailleurs tenir compte de quelques détails comme la promiscuité géographique, dans un espace clos tout le monde perdra si la bataille ne s'achève pas avant que tout l'oxygène ne soit pompé. Il faut également songé aux créatures à l'ossature plus faibles qui seront écrasées au plafond ou sur les murs par celles à la compacité supérieure, ou broyées par leur apparition inopinée sur une trajectoire d'outil de jardinage, malgré des intentions pas forcément belliqueuses. On notera ainsi la recrudescence quasi instantanée des petites filles en uniforme prisées par nombre d'ouvrages abrutissants et au sens de lecture contre nature, dégénérescence boostée dès lors de l'apparition d'un ogre, affamé comme il se doit, qui provoquera l'apparition d'ogres semblables dans leur imaginaire de gamines impressionables, qui se matérialiseront immédiatement et logiquement sur place, créant dans l'esprit des effarouchées l'images de hordes d'ogres innombrables, décuplant les apparitions. Qui ne se calmeront qu'à la mort par déchiquetage à pleine dents des pauvres vierges effarouchées.

D'une manière générale, la première chose que l'on a tendance à imaginer étant celle que l'on voit, tout être à forte présence aura un avantage fort même s'il est peu connu. (Athanase dépassera difficilement la demi-douzaine d'exemplaires) Du moins en considérant qu'en présence d'une foule dense, il est difficile de prêter attention plus loin qu'à ses voisins immédiats, tout en prenant en compte le dénivelé géographique et l'orientaion du soleil, les personnages imposants, hauts perchés donc visibles de loins et bien éclairés donc identifiables se conçoivent mieux. Se créeront donc dans les cuvettes des foyers de semblables tandis que s'éparpilleront en hémicycle décroissant face à l'ubac des proéminences du relief des fac-similés des plus grands occupants du faîte de ces collines. Sous l'adret apparaîtra probablement une faune plus diversifiée mais aussi relativement moins serrée de par l'obscurité plus grande et les esprits moins lumineux qui y élisent domicile. (j'aime les ambiances sombres et reposantes mais davantage l'éclat profond de mon écran)

D'autre part, en supposant que le pouvoir de l'ärm arrêté, retourne à l'imaginaire pur tout ce qui mériterait d'y être, la fin de la dernière petite écolière en jupette signifie l'arrêt de mort de 90% des ogres, le reste de la clientèle imaginant avec plus de réticence des monstres destinés à croquer de la marmaille, soit parce qu'ils sont trop équilibrés pour que cela leur vienne à l'esprit, soit parce qu'excédés par le carctère éreintant de cette engeance, ils entendent berzerker le trop plein de schtroumpfs eux-mêmes. (les schtroumpfs, voilà un autre truc qui doit se multiplier à la pelle avec les gosses, suivis par une invasion de schtroumpfettes, parce que les nains bleus n'ont qu'un seul truc en commun, à part leur bonnet omo lave plus blanc que blanc, et pas de bol c'est un fantasme) Plus génocide encore, la mise à mort d'un des personnages originaux met en standby la moitié (à peu près, à supposer que la présence d'un Joker ne fausse pas l'équilibre) de ce qui s'est généré jusque là. Son adversaire peut donc y voir clair, se rendre compte qu'il a vaincu (Nathan, ta g***) et désactiver l'ärm. S'il s'agissait de son utilisateur, l'effet cesse et tout le monde guerpit d'un coup, et l'adversaire remporte instantanément le match bien plus facilement que ne l'aurait pu l'autre gusse, et sans avoir moufté. Dans ces conditions il est possible de gagner, mais c'est plus dur pour l'opposant que pour l'user, qui doit sans cesse faire des pauses dans l'activation de son engin, soit pour vérifier si son adversaire reste en un seul morceau, soit pour éviter de se faire démembrer par une poupée en furie étoile du matin à la main parce qu'il a poliment refusé sa camomille à l'arsenic.

Non seulement ce truc désavantage fortement son possesseur, mais en plus il a un effet d'hystérésis ignoble qui l'affaiblit encore plus et de façon irréversible à la longue : mettons qu'il ait par miracle remporté le premier combat parce que c'est un grosbill de derrière les flamers. Son imaginaire sera dès lors extrèmement plus productif que celui de son adversaire, de par ce qu'il a pu voir lors de la première activation, et une disparition d'un certain nombre de monstres, due à la mort de son adversaire sera de moins en moins perceptible à chaque combat, tandis que toujours plus de monstres se positionneront près de lui et donc l'écharperont plus volontiers que l'opposant. Cet effet est pire encore après chaque usage.

De plus il n'existe aucun moyen de neutraliser l'antagoniste sans le tuer avec cet objet. Un orc ne fait pas de quartier.

Donc disqualification assurée, et radiation totale des tournois à partir d'une certaine réputation.

Et j'oublie de préciser qu'à partir d'une certaine altitude, en supposant l'absence de plafond, on s'empile les uns sur les autres pour l'atteindre faute de place en latéral, les plus grands pouvant invoquer spontanément des plus petits à leur hauteur, créant des pyramides de Devons, Phils, Raves, Hélènes et autres gnômes pas si dangereux mais facilement emboîtables. Donc à cette certaine altitude il n'y a plus assez d'air pour respirer, les invoqués crèvent, pluie de cadavres, suffoquation due à la multiplication des asticots dès qu'on en a vue un (les ménagères les imaginent plutôt facilement, et tout le monde invoque une fois sa mère, hiark hiark) créant des pathologies nécrogènes et autres gaz fétides et nocifs dus à la décomposition des tissus, bref une mort générale pas propre mais écologique. Ou alors un assaut nécro ? Avec des zombis partout ? Yeah !

Résolution en laquelle vous croirez, ou pas :

Un jour je cesserai de critiquer et posterai ici une idée non pompée.

Glarf...

Aurais-tu l'intention de me piquer lâchement le rôle du Geek Suprême ?

Ceci me rappelle un vieux projet...

Nom : Julia Mandelbrot

Groupe : Echéquier, pion

Âge : Une trentaine d'années bien tapée.

Niveau d'études : Doctorat ès mathématiques, option assasinat.

Histoire du perso : La vie est dure pour les mathématiciens dans une société médiévale. On les taxe d'ésotérisme, de proférer un blabla incompréhensible, ou d'être tout simplement d'être inutiles, et en général on les fiche bien vite à la porte quand leur nature est dévoilée. C'est ainsi que Julia Mandelbrot, jeune mathématicienne prometteuse spécialisée dans l'algèbre linéaire, s'est retrouvée à faire le trottoir pour gagner sa vie faute de trouver dans une ville envahie par l'engeance du Mal Absolu quelqu'un en quête d'une théoricienne aguerrie et prête à en découdre avec n'importe quelle combinaison linéaire d'éléments simples du plan complexe.

Ce fut une période de sa vie riche en enseignements, cependant, bizarrement, elle se sentit plutôt soulagée lorsque son maquereau, qui l'aimait bien, lui dégotta du boulot chez son copain Riton dans "les affaires". Comprendre le trafic de drogues. Là encore, elle apprit une quantité phénoménale de choses passionnantes comme convaincre un camé en phase terminale qu'il pouvait souffrir encore plus si il ne payait pas ou différencier un sac de coke d'un sac de farine et planquer le cadavre du fournisseur dans le second cas. Même si elle se découvrit un goût certain pour ce genre d'activités qu'elle ne serait jamais soupçonné, elle n'oublia pas ses expériences passées et sut en tirer partie pour monter assez vite en grade de façon mystérieuse dans le milieu masculin de sa mafia, jusqu'à trouver sa place finale à la tête du "département des relations publiques". C'est à dire le bureau des interrogatoires, assasinats, tortures, et autres sévices... Soit ce qui correspondait le plus à sa mentalité dérangée par ses expériences passées (notamment les études de maths)...

Mais toute chose a une fin, et la garde de Lestower finit par mettre la main sur le réseau et laisser à chaque membre deux choix : rejoindre l'échéquier dans la légalité et devenir bien plus que de misérables coupe-jarrets sans cause, ou mourir dans d'atroces souffrances. Pas folle, Julia choisit la tchounga vie, et c'est ainsi que commença encore une vie nouvelle pour elle...

Description physique : C'est un peu la nana mafieuse de film noir américain : habillée avec ces collants noirs partant de mi-cuisse qui font un peu pute (je crois que ça s'appelle des porte-jarretelles, quelqu'un me confirme ?), toujours avec son porte-cigarette, une tendance assez désagréable à vous souffler une grosse bouffée de fumée à la figure, la chevelure abondante. Ajouter un regard extrêmement perturbant. Le genre qui vous fait avaler votre salive et vous donne envie de partir en courant.

Caractère : Son boulot dans les interrogatoires se sent à un tel point qu'elle met les gens mal à l'aise avant même d'avoir prononcé le moindre mot. Elle est arrogante et narcissique, et ne pense qu'à elle. Elle considère tout un chacun comme un esclave de sa petite personne et n'a aucun respect pour la vie ou l'humanité. Bien au contraire, sentir la souffrance chez l'autre a tendance à l'exciter et lui donner envie de frapper plus fort. L'Echéquier paie bien, alors elle lui est loyale. C'est aussi simple que ça. Elle s'est toujours fait appelle "boss", et est assez fière à en être suicidaire pour appeller la reine de Lestower "marraine".

Arm et attaques :

*L'Horreur Non-euclidéenne Indicible
Seul un maître des sciences mathématiques dénué du moindre sens moral pouvait inventer une saloperie pareille. Cet ärm de forme sphérique paraît un peu dénué de substance quand on l'observe, c'est parce qu'il n'est pas entièrement réel. Ses dimensions imaginaires sont infinies. A tout moment, Julia peut "projeter un vecteur" sur quelqu'un. Techniquement, une sorte de flèche surgit d'on ne sait trop où et s'abat sur la cible, perçant en elle un joli petit trou. Comme ses dimensions sont infimes, ça pourrait encore aller, mais le problème c'est que si elle parvient à dessiner un polygone régulier avec ce genre de petits trous sur le corps d'un être vivant (action nécessitant un certain temps et une concentration extrême de la demoiselle), elle a alors la possibilité de faire ce qu'elle veut avec le corps de l'être vivant en question dans la zone ainsi délimitée. Autant vous le dire tout de suite, elle ne s'en prive pas. Surtout pour ce qui est d'arracher des plaques de peau octogonales.

@ Glarfounet :
J'ai dit que l'engin prenait le parti de son possesseur, Moi ?!

C'est un ärm totalement incontrolable en effet ^^

En revanche, je ne vois pas pourquoi ça réinvoquerait des persos...Je pense pas que qd je me bats contre qqn j'imagine ce qqn .. j'ai pas besoin de le faire, je l'ai sous les yeux >.<

Mais je ne crois pas qu'il soit inscrit dans la def d'un ärm qu'il doit être utile à son possesseur XD
Et celui là est un bon exemple de truc débile, bourrin et hyper dangeureux...

Imagine qu'il se matérialise les pensées de quelques bestioles habitantes du coin pour encor augmenter la non maitrise de l'engin ...

Gwahahahahahahhahahaa !
me donne envie d'essayer un PNJ pr tester le truc...


@ Nathan : ga ! génial !
vraiment intéressant ^^

@Nathan : sympa, mais ça manque trop de cohérence à mon goût et en donne un arrière de mariage arrangé pour forcer la cohabitation entre deux caractères pas super compatibles et en faire un mix résolument fun, avec une dimension gore qui ne déplaira pas à un certain nombre d'adeptes du fow, ce qui s'assimile fort bien à de la démagogie dans le but inavoué de récolter encore plus d'assentiments et autres marques d'insigne, bref, plus j'y regarde et moins j'y vois de l'idée qui se rapelle à toi comme ça, soudainement sans prévenir et dans une pure crise d'inspiration de puriste baudelairien shooté à la naphtaline.

J'ai dit.

@Hélène : simple, c'est expliqué. Dès que tu imagines une créature pensante, ce qui arrive forcément à moins d'être autiste jusqu'aux orteils, celle-ci se matérialise pleinement dans le réel. Elle y est donc affectée par le pouvoir de ton ärm et ses pensées peuvent elles aussi donner lieu à d'autres matérialisations, donc d'autres êtres pensants qui eux-même déclencheront le pouvoir... Et ainsi de suite. (relire mon post pour l'apocalyptique procédure qui s'ensuit)

Question philosophique du jour : s'il s'agissait (le dimension ärm en question) non pas d'un lapin mais d'un tricératops, le déroulement des évènements impliqués en serait-il altéré ? La présence d'un affreux dino entaînererait-elle d'autres délires parapsychiques ou autres dingueries de bas étage qu'un petit lapin tout choupi ?


"Attachez le au mât et fouettez le !
-Ch'peux pas cap'tain'...
-Et pourquoi donc, soldat ?
-Il est trop mignon."

De Cape et de Crocs, tome 2, Pavillon Noir

Grrr... ce n'est pas ce que tu imagines qui se matérialise, mais une espèce de truc infâme inspiré de ce que pensent les êtres pensant du coin. Il n'est pas dit qu'il se matérialise très souvent des êtres pensant. Et de là à ce qu'à leur tour, ils puissent matérialiser d'autres êtres pensants...

Quant au tricératpos, ça peut en effet être très intéressant
Certaines gens ne doivent pas être plus habitués à voir un dinosaure qu'un lapin avec une cravate, mais je reconnais que c'est plus susceptible de déchaîner les forces malfaitrices de leur imagination mouaahahahahahahhhahahahah !

Mais ça a moins de classe qu'un lapin magiciennommé Laplace !

Où vois-tu deux caractères, hormis ceux du narrateur ?
Là, effectivement, je veux bien reconnaître mon tort : dans l'optique de semer le doute sur l'auteur réel du perso, j'ai cherché à employer un style narratif différent de ce que je fais usuellement, au vocable nettement moins recherché pour ne pas dire grossier et au phrasé plus simple. Le problème étant que mon style usuel tout en rondeurs (ou lourdeurs, suivant l'opinon de celui qui lit...) revient au galop dès que j'ai affaire à une description précise qu'on imagine pas dans la bouche du narrateur de synthèse précité.

C'est LA grosse faiblesse dans ce rp : je vois tout à fait dans ma tête la nana te souffler une grosse boufée de fumée à la figure avec professionalisme en plaquant un fer chauffé au rouge sur la plante de tes pieds, le tout en poursuivant une discussion détaillée sur les espaces vectoriels, et se mettre à jurer comme un charretier quelques instants plus tard quand on lui apprend qu'une de ses taupes a été repérées, mais j'arrive pas à faire cohabiter ces deux caractères dans un récit.

Enfin bref toujours est-il que la formulation est pas claire, et que si c'est pas ça je te suggère d'expliciter.

Quand au fait que ce perso ne soit pas inspiré... Je n'ai rien fait de profondément inspiré (d'un sachet de coke) dans quelque domaine artistique que ce soit depuis que je suis sorti de colomb, pour x raisons donc la fatigue et la tragique perte des cours d'histoire de Blanc ne sont pas des moindres, donc ce n'est franchement pas une nouveauté, aussi ça m'étonne de toi que tu ne t'en rendes compte que maintenant...

Je m'insurge par contre contre l'accusation de démagogie : il n'y a honnêtement aucune volonté de plaire au plus grand monde dans ce perso, c'est un délire certes de piètre qualité mais tout ce qu'il y a de plus respectable, inspiré plus par un revisionnage de "Qui veut la peau de roger rabbit" que par des tendances marketting tirées d'un chapeau que je ne porte pas.

J'ai dit aussi !

@Hélène : je te cite textuellement :

la pire mauvaise foi de la création a écrit:

il compulse tout ce que les gens imaginent (ou ont imaginé récemment ) dans un certain périmètre et les rend réelles

LES rend réelles, donc au pluriel, donc toutes et pas une seule, ni même un unique mélange du bazar concaténé. Donc oui, ça marche.

..."et de là qu'à leur tour"... Les invoqués SONT réels, c'est l'essence même de ton ärm, rendre réel l'imaginaire ! Quel statut supplémentaire, superfétatoire et pléonasmique faut-il de plus et de surcroît pour être affecté par l'effet d'un Ärm ?

(et des êtres pensants c'est un adjectif assimilé donc un pluriel, et me fait pas croire que tu as le snobisme de foutre du participe présent dans tes groupes nominaux)

@Nathan : quant à toi, je ne voulais pas en dire un seul mot de plus que le déjà dit, il est donc inutile de chercher à traduire. On reconnait amplement ton style dès la première ligne, qui admet depuis que j'ai posé un malheureux oeil dessus (au moins) aussi volontiers la grossièreté dans la lourdeur qu'un cafard dans un camembert passé et trépassé. Cette phase très homogène propre à ta personne constitue un parfait exemple d'union qui coule toute seule (comme le camembert), et contrairement à ta mathématicienne qui ellipse tous les passages intriguants et pas forcément lisses de continuité, justifiés généralement par un ***** de phrase passe partout, décliné de "nécessité fait loi".

Je songe à la mise au trottoir assez expéditive, à la montée en grade fulgurante et très zarb', au passage de refileuse de drogue intermédiaire à trucideuse de mauvais payeurs, et à l'apprentissage de la torture physique redondée par des "expériences passées" aussi vagues que lourdes de redondance. Tu aurais d'ailleurs dû relire tout ça, ce genre de répétition sur trois lignes d'une même expression est trèèèès moche.

Et on ne fume pas dans Roger Rabbit. Sinon piano sur la tronche.

En effet, je me suis mal exprimée :
il ne les rend pas toutes réelles mais fait une espèce de mélange de tout ce qui a pu se penser et matérialise un truc, ou des trucs zarbs, et pas forcément reconnaissable(s). C'est aussi l'intérêt de l'engin : on devine pas forcément tout de suite son réel pouvoir vu qu'on ne sait pas ce à quoi pensaient les autres, ni même l'algorithme de complusion et de moulinade de Laplace.

Ils sont réels, mais pas forcément humains, ou même pensants ... je persiste.

Là encor, je me corrige :
Il n'est pas dit qu'il se matérialise très souvent des êtres qui pensent.
Je vois pas ce qui m'empêcherait de mettre un participe présent dans ce cas. Zut, faut bien qu'ils servent à qqch >.<




Et puis d'abord, dans ma conception de la chose, nous, notre partie réelle pense. Mais elle n'imagine rien.
Je m'explique... enfin j'essaye.

avant invocation de Laplace :
on est un corps complexe : on a une partie réelle et une partie imaginaire (celle qui est capable d'imaginer, mais pas de faire qqch de concret comme le peut la partie réelle).

au cours de l'invoction de Laplace :
on devient la partie réelle du corp complexe qu'on était auparavent. Ou plutôt on est séparée de l'autre partie, qui est elle récupérée (métaphoriquement et magiquement) par Laplace. On peut encor penser sereinement. Mais tout ce qui est imaginé est récupéré par Laplace, compulsé et potentiellement rendu réel à quelques atténuations près ...

(En gros, imagine la formule de la fonction de transfert des schéma-bloc dans le domaine de Laplace, qui finitpar ressembler à une espèce de fraction rationnelle à variable imaginaire pure. Sauf que certains termes peuvent devenir négligeables (car Laplace est très négligeant ) et que d'autres peuvent avoir été oubliés ou atténués par un correcteur intégrateur un sur gi oméga afin de gagner en rapidité et en précision de matérialisation. Et bien voilà un peu un aperçu très simpliste de l'opération effectuée par l'ärm... ça te parle hein ? espèce de geek >.<)



Je ne rentrerai donc pas dans le détail de la transformée de Laplace inverse... dommage, ça t'aurait plu XD