La taverne de la poupée de cire.

[ravi de voir que tu t'intègres, Halastjarna (vérifie qu'il n'a pas fait de faute ^^), cependant il est de mon devoir de te rappeler que tes posts doivent faire au minimum cinq lignes ... désolé de t'embêter avec ça mais je pense que vu la situation ça peut être intéressant ^^
Merci d'avance !]

(A bon il y a un beau gosse ténébreux ici ? Comment ça c'est moi ? personnelment je suis mort de rire XD)

Devon, plongé au fin fond de ses plus douloureux souvenirs, en fut littéralement harpé, par une douce voix féminine.
"Beau gosse" ? "Ténébreux ?" Il n'avait pas l'habitude d'être traité comme ça, et se retourna, près à découvrir un clone de Sobi dans son dos. Mais le marionettiste était acculé au mur. C'était donc bien à lui que s'adressait ces mots ? Sa stupeur (et la mienne par la même occasion) prit vire fin. Sa vrai nature de Dom juan repris le dessus, finalement la déprime ça ne lui allait pas du tout.
Il quitta Tia des yeux et s'accouda au comptoir pour parler à la nouvelle venue.

"Dit donc, c'est la première fois que je te vois. En tout cas tu es une jolie poupée... Tu t'apelles ?"

[désolé pour les post trop courts, je tâcherais de faire mieux sensei!]

Je m'appelle...Halastjarna, mais, tu peux m'appeller Haly, pour les intimes...

Elle prononca ces paroles avec un petit clin d'oeil et un sourire en coin.

Et toi, c'est Devon, c'est ça? Hmmm, encore plus beau que ce qu'on m'a dit...... Intéressant.....

(pas grave poupée, tu le payeras bien plus tôt que tu ne le penses ^^♥)

Devon sourit en l'entendant l'appeller par son nom, alors qu'ils ne s'étaient pas présenté. Il était connu dans le coin.... mais pas vraiment en bien ^^' Apparament la chance était avec lui, il venait de trouver une fille qui n'avait pas encore eut vent de sa mauvaise réputation. L'affaire était à saisir.

"Alors comme ça Haly tu me trouve beau ? C'est un fait, mais rassure toi, tu n'as pas encore tout vu. J'en garde en réserve pour mes favorites. Seules les plus belles savent de quoi je suis capable. Et toi tu m'as tout l'air d'être digne de moi, jolie poupée."

Devon passa samain dans les cheveux de la jeune fille, il aimait bien le contact de la cheveulure des femmes sur sa peau. Il ne se sentait plus vraiment. Dans ce genre de situation il se disait qu'il était fait uniquement pour la drague, et la drague pour lui. Ses bonnes raisolutions partaient en fumée au fur et à mesure qu'il débitait son flot de parole.

"Je suppose que tu ne viens pas dans ma taverne uniquement pour admirer les beaux garçons, tu dois vouloir aussi boire quelque chose ?"

Il claqua des doigts pour appeler Helene, puis continua de bavarder.

"Tu crois en la divination ? Tu sais, autrefois on me vénérait comme un dieu. Non, je t'assure, ne me regarde pas comme ça. Demande autour de toi. Je dis la mérité, je ne suis pas un menteur. Bref, l'art de voir dans l'avenir n'a à présent plus aucun secret pour moi. Tu voudrais que je te prédise ton futur proche ?"

(comment comptes-tu empêcher ça ? C'est le destin poupée, accèpte le et entre au palais ^^ et puis aussi y'a que moi qui ai les clefs de la réserve...)

La serveuse venait d'apporter la commande, qu'Halast prit immédiatement, elle en bu une longue gorgée cul-sec, se tourna vers Devon, et lui dit:

Ahhhh, j'aime les choses fortes....... Tu veux goûter, chéri?

En disant cela, elle tourna le verre (ou plutôt le vase XD) vers son nouvel amant de façon à ce qu'il pose les lèvres là où elle avait mit les sienne.

Oui... Lit moi mon avenir..... Si j'en ai un! Ahahahahaha! Ahem... Excuse-moi..... Sens de l'humour cosmique..... Tu sais, je suis astrologue aussi; en plus de bien d'autres choses, d'ailleus.... *clin d'oeil*

Devon qui etait passe maitre dans l'art delicat de faire le mec interesse, leva un sourcis en buvant.

"Ah oui, c'est amusant. Et bien si tu crois en le pouvoir des astres, laisse moi te montrer a quel point le mien leurs est bien superieur ."

Il posa le verre et regarda Haly dans les yeux, pour ne pas trop lorgner dans son decolte. Il lanca sa manipulation, une qui ne fonctionnait que sur les femmes.
Puis il declama en souriant avec malice :

"Ecoute ma prediction ma belle. Dans moins de dix seconde tu seras a moi."

Et il se mit a compter lentement et avec sadisme.
Au debut la jeune femme ne ressentait rien de particulier, puis elle eut soudain tres chaud. Un frisson tres agreable lui parcourait la chair. Elle avait besoin d'autre chose, son corps le reclamait et c'etait independant de sa volonte.
En effet, Devon est un marionnettite, et il a appris a bien connaitre l'anatomie feminine. Il se vantait d'etre le seul homme au monde a pouvoir faire joire une fille sans meme le toucher, seulement avec le force de son esprit.
Il termina de compter et lui adressa un sourir mesquin. Devon fit tournoiyer la clef de la reserve d'alcool autour de son doigt.

"Je sais te donner du plaisir et je peux t'en donner encore plus. Pour cela il te suffit de m'accompagner au calme."

Il la fit se lever, se diriger a pas lent vers la reserve. Tout a coup elle chuta, il venait de couper toute manipulation. Il n'avait pas fait expres, il avait juste cru voir quelqu'un au fond de la taverne. Une personne envelloppe dans une grande cape noire et portant un masque de pion.

"Cristal ?"

Le pion se retourna, ce n'etait pas elle. Cette apparition fit comme l'effet d'un electrochoque dans l'esprit de Devon.
Il s'adressa a Haly.

"Pardonne moi poulette, mais je viens de decider de ne plus prendre les poupees. Il y a mieux sur terre je crois."

(Kiaaaaaa ! Devon est enfin devenu un mec bien !!! Yatta !)

(je vous l'avais dit qu'elle me serais utile cette clef ^^)

Une jeune femme à la peau étrangement blanche et aux yeux jaunes entre dans la taverne. Elle porte un étrange corset bleu, de nombreuses ( trop ) ceintures et une jupe ( mode elfique) de hautes bottes, ainsi que des protèges poignés en cuir. Elle rejette ses cheuveux noir comme la nuit en arrière et s'avance dans la taverne.

"Bonjours je voudrais voir le patron, je cherche un travail, on m'a dit que je pourrais en trouver ici."

*mais qu'est ce que je fou là moi?*

"Devon est-il là ? "

Bon.

Leçon 1 : se servir des balises.

Un : tu sélectionnes par un clic prolongé en déplaçant la souris le texte dontn tu veux modifier le format.

Deux : tu cliques sur le bouton correspondant à la modification souhaitée (exemple : Gras, Ital. ou Soulig.)

Trois : tu postes et tu vérifies que tes demandes ont bien été prises en compte.

Quatre : si tel n'est pas le cas, tu édites, tu cherches et corriges l'erreur (balise de début = [x], balise de fin = [/x], mauvaise balise, balise partiellement effacée, etc.)

LGF, au service des newbies.

Devon se retourna en entandant une voix féminine l'appeller.

"On me cherche ? Je suis là."

Puis il détailla la jeune femme. Elle était très belle, la peau blanche, les yeux jaunes et les cheveux d'un noir brillant. Elle lui rappelait quelqu'un, une sorte d'impression de déjà vu...
Une poupée serveuse portant un plateau vide, vient s'assoir sur se genoux (ces de Devon) et ensemble il murmurèrent des choses à voix basse. Quand ils semblèrent d'accord, la marionnette se leva brusquement et passa à côté d'Anaria en la détaillant de se yeux rouges sang. Quand elle en eut fait le tour dix fois, elle s'exclama :

"C'est vrai qu'elle est jolie maître, on la prend ?"

Devon ricana et vient chercher la poupée.

"Pardonnez son impretinence mademoiselle, mais la petite est bien agité. En effet nous manquons cruellement de serveuses, la dernière étant partie en congés materni... maladie il y a peu de temps. Quand à l'autre je l'ai désing... euh demandé de partir. Ca ne vous dirais pas de travailler ici ? C'est sympa comme ambiance, et les gens sont aimables. J'ai oublié de me présenter, mon nom est Devon Kaomiru, je suis le maître des lieux."

Il passa ses mains blanchâtres et osseuses comme des pattes d'araignée dans les cheveux ébène de l'elfe.

"Il me plairai beaucoup que vous vous joigner à notre communauté, j'aime être entouré des plus belles poupées que ce monde peu m'offrire."

Tournant doucement la tête vers Devon, elle plonge son regard profond comme la nuit dans le sien. Puis ele détourne la tête et laisse ses yeux vagabonder sur les murs de la taverne, pour finalement finir sur la poupée. Anaria la dévisage comme elle l'avait fait quelques secondes au paravant.
Puis laissant tomber son sac à terre.

"Je serai enchantée de travailler pour vous. Mais je dois vous mettre en garde."

Elle prend la main de Devon et la retire de ses cheuveux,mettant en contact sa peau glacée et celle du marionetiste.
Elle sourit.

"Il m'arrive d'être quelques peu incontrolable. "

*c'est drôle j'ai comme l'impression de l'avoir déja vu...*

"Par où dois-je commencer?"

Devon fit une drôle de tête quand elle lui ôta la main de ses cheveux lisses et doux comme de la soie. Le marionnettiste cacha son émerveillement à la vue d'une aussi agréable chevelure. Il pensa un instant que ça rendait assez bien sur une poupée d'une blancheur de procelaine comme celle là.

Quand elle lui dit qu'elle était difficilement contrôlable, il ne put laissé échapper un ricanement moqueur.

"Mais voyons, c'est ça que j'aime. Si on pouvait contrôler tout le monde en claquant des doigts, nous serions des marionnettistes..."

Une poupée passa, les bras chargés de pintes de bière. Devon claqua des doigts et lui vit un geste lui indiquant de venir.

"Va voir dans la reserve s'il y en aurait pas un à sa taille. Je crois pas que celui d'Helene va lui aller, elle est plus grande."

La marionnette chancelant sous le poid tenta d'accomplir une petite révérence pour prendre congès, puis s'en alla.
Devon s'accouda au comptoir et lui jeta un regard composé d'un mélange d'envi et d'amusement. Il prenait son pied à la drague, comme toujours.

"Je t'ai donné mon nom et toi tu me caches le tiens. Ce n'est pas très gentil ça..."

(sous entendu : je vais devoir te punir poupée *w*)

(tu connais cette chanson ? Je l'écoutais en postant ^^ http://www.radioblogclub.fr/open/140872/ultra_bogosse/01-disiz_la_peste-ultra_bogosse ça inspire XD)

Anaria marcha jusqu'a comptoire et s'y adossa. Ses yeux se baladèrent une fois de plus sur les lieux. Un léger sourir envahitbientôt ses lèvres pâles.

"Je suis Anaria, Anaria Lilith."

Puis elle tourna d'un geste bien calculé la tête vers le marionettiste, plongeant à nouveau son regard dans le sien. Une fois de plus, ses yeux changèrent de couleur sans qu'elle s'en apperçoivent, et devinrent vert.

[vert : ..., ..., lorsqu'elle parle d'elle ou de sa vie pasée]

"Dois-je vous en dire plus sur ma personne?"

Son sourire de chat du chester s'étalla largement sur son visage mesquin.

"Avec joie ma poupée. Allez raconte moi tout ce qu'il y a à savoir sur toi. Une fille aussi mystérieursement jolie doit en cacher des choses interresante."

Devon regarda en diagonale dans la sale, ce soir il n'y avait pas grand monde, les poupées serveuses pouvaient encore assurer toutes seules.

"Si tu veux bien on peu boire un coup tout en discutant. Du saké ça te dit ? (Devon aime bien le saké et la vodka ^^) Très bien, va pour du saké. (il ne la laisse pas en placer une -_-')"

Le marionnettiste claque des doigts et une poupée sortie de la réserve d'alcool, avec sur les bras un plateau chargé de deux petits verres et d'une bouteille.

"J'aime bien les verres à saké, c'est marrant comme objet. Quand le verre est vide et que tu regardes au fond tu ne vois rien. Mais quand il est plein l'image apparait. Tiens regarde, au fond de celui-là il y a un beau gosse en string qui balaye. Amusant non ?"

Il ricana bêtement, probablement la preuve que Devon n'en était pas à son premier verre.

"Cessons de bavardage, et revenons à ce sujet si interresent qu'est ta petite personne. Parle moi de toi Anaria, raconte moi tout ma poupée."

Un large sourir aux lèvres, Anaria pris son verre dans une main, et posa sa tète sur l'autre. Elle jeta un rapide regarde sur le fond du verre ( j'adore ces verres là ^^), et le vida cul sec.

"Pour faire court, je sais que je m'appelle Anaria Lilith, que j'ai 88ans. Mais les éléments qui constituent ma mémoire sont pour le moins improbables. Je suis donc à la recherche de mon passé, et de ma véritable identité. Je suis également très douée pour la cuisine, sais lire et écrire. Un de mes passes temps préféré est de créer des coctails ( ^^' )."

Attrapant la bouteille, elle se reservit, et bu une fois de plus cul sec ( c'est plus marant).

"Par contre je vous préviens, j'ai pour une raison que je ne connais pas, une peur panique de l'eau noir ( trouble quoi). Et je n'ai aucune attache sur un plan familliale."

( sous entendu j'en ai mare du célibat, trouver moi quelqu'un ).

(quelqu'un comme.... moi ? ^^ Non Cristal je rigolai !! Range moi cette hache mon amour !! Nan ! Nan ! Naaaaaaaaaaaan !!)

Peur de l'eau noir ? Zut, comme c'est dommage. Cette petite ne pourait jamais nettoyer les toilettes. Ca la rendrait beaucoup moins interresante. Elle chuta d'un grand coup dans l'estime de Devon. mais bon ce n'était pas très grave. Elle avait une bonne descente et ne semblait pas souffir des effets de l'alcool, et ça s'était vraiment bien. Il n'avait pas envie de se retrouver dans la même situation qu'avec Helene. Comme quoi il avait beaucoup appris de cette aventure.

Quand à Anaria, il la trouvait beaucoup trop jolie pour la laisser faire le ménage, au contraire elle pourait se rendre très utile... en appatant le client par exemple.
Le marionnettiste se mit à ricaner sadiquement. Il venait d'avoir une idée brillament macciavélique.

Une poupée blondinette sortie de la réserve d'alcool, tenant dans ses bras des vêtements. Elle vint les apporter à Devon.

"Les voici maître, je pense que c'est la bonne taille."

Il prit les frippes et caressa les cheveux de la poupée, apparament très satisfait.

"Merci Hugame, tu es une bonne petite."

Il tourna alors son regard violacé vers Anaria. Il avait un étrange sourire aux lèvres. Il claqua des doigts et elle se leva, mécaniquement.
"Anaria dis tu ? Viens par ici, je vais te faire esseyer ton uniforme. ^^ N'ai pas peur, on va aller au calme. Oh ne me regarde pas comme ça, avec tes grand yeux ! C'est bon, des filles j'en ai déjà vu et tu me fais d'effet. Tu peux avoir confiance en moi."

Malgrès ces paroles rassurantes (?) il ne coupait pas sa manipulation et l'entraina vers la réserve d'alcool. Là bas il la fit se déshabiller et mettre l'uniforme de soubrette.

"Tu vois comme ça te vas bien, ma poupée. J'ai du goût pour les fringues de filles. Tu es très belle ♥ Tu veux que je te coiffe aussi ? Non t'es sûre ? Bon tant pis, ça sera pour une autre fois. "

Il la prit par la main et la ramena vers la salle désormait pleine de monde. Quand elle entra, les aventuriers bruyants firent silence et la regardèrent (comme un bout de steak).

Devon sourit, ça marchait déjà. Les affaires reprendraient vite.

[O.O ENFOIRE!!! Il a tué ma jolie blonde pour en faire une de ses soubrettes!!!!! J'VAIS T'BOUFFER!!!!!!! *mord le bras de DévonE *]

(nuance, TU as tué ta jolie blonde et J'EN ai fait une soubrette ! J'étais bien obligé, Devon aime les cookies ^^ (et les blondes XD))

Sans s'en rendre compte, Anaria était changée, et portait un plateau, servant tous les poivrotsclients dans la taverne. Glissant entre les tables, lançant les commandes, soutirant l'addition, et bien sur rammenant les sous à Devon.

"Qu'est- ce que je vous sert?"

La réponse ne se fit pas attendre, et le client eu bien vite retiré sa main du ( superbe ) postérieur d'Anaria, puisque celui-ci eu tout aussi vite une activité bien plus didactive, partir en courant puisqu'il venait de se voir retiré deux orteils du pieds droit. ( Mais il avait payé, je tiens à rassurer le patron). Un seul problème, quelques taches de sang jonchainent maintenant le sol. Cherchant Devon des yeux, elle le trouva vite assit ( à sa place habituelle je vais finir par m'habituer ).

"Patron, vous avez de quoi passer un coup de serpière, j'ai un peu cradé le parquet."

Voyant que celui-ci ne manifestait aucune réaction, Anaria partit en quète de quoi nettoyer. Ouvrant la première porte qui se présentait à elle, elle l'ouvrit à la volée, pour découvrir...les toilettes de le poupée de cire. Les murs étaient bah...noirs et sales ( très sales ) le sol étaient jonché de vieux papiers, utilisés pour la plus grande majorité, de ce qui put être un balai brosse mais que les années avaient transformé en une chose...chose. Quant aux toilettes elle étaient renplis jusqu'à ras bord d'un amas de chose noirâtres, composites et dont l'odeur était ...indescriptible.
après cette vision ( d'horreur ) Anaria referma la porte avec conviction.
Empruntant le couloir qui mennait à la réserve, ses cheuveux ( définitivement trop long) s'accrochèrent à une étagère qui semblait être là depuis des siècles. Anaria se tourna vers elle pour décrocher sa mèche qui s'était agripée à un vieux clou rouillé. L'étagère était grande et couvrait toute la surface du mur. Fabriqué dans un bois sombre, surement du sapin, elle était mangée par les vers et rongée par l'humidité. Une odeur âcre de moisie s'en dégageait. Dégouté, Anaria tourna les talons, mais fut stopée par un courrant d'air qui semblait venir de dernière l'étagère ( qui ne portait aucun objet ).
Fesant courir ses mains sur la pière noire des murs sales, elle sentit en effet que de l'air venant de derrière venait froler sa peau, provoquant chez Anaria, un frisson qui la parcouru sur tout le corps. Agrippant les rebords de l'étagère, elle voulu la faire basculer, mais elle ne réussit qu'à arracher une plan moisie. Des verres et des termites tentaient desespérément de s'échaper, en remontant sur les mains blanc de l'elfe, qui la fit valser ( la planche ) ainsi que ses habitants ( les verres ).
Toute cette crasse commençait à lui taper sur le système, et d'un coup de pieds, elle frappa sur le flanc de l'étagère, ce qui eu pour effet de la faire tomber de tout son poids sur le sol. Sous le choc, les plancards s'ouvrient, déversant leur contenu ( uniquement composé de vermines de toutes sorte ).
Mais le regard d'Anaria fut vite attiré par une porte, qui au par avant était caché par l'étagère. Atrappant la poignée froide et métalique, elle ouvrit la porte non sans difficulté puisque les restes de l'étagère compliquait bien les choses.
Un courant d'air glacé vint frôler la peau ( sensible ) de l'elfe. Une odeur de renfermé envahit aussitôt ses narines. Un escalier serpantait jusqu'aux profondeurs de la terre. Mais l'obscurité empéchait toute progression. Revenant sur ses pas, Anaria revint dans la salle pour prendre une torche, et entreprit de dcsendre l'escalier. Les marches étaient noires, sales, à chaqu'un de ses pas Anaria fesait fuire des centaines d'araignées, de cafards, d'alembique et autre vermine. L'air était de moins en moins respirable. Au bout d'un nombre incalculable de marches grissantes de crasse, une porte se résenta à nouveau devant elle, elle l'ouvrit et entra dans une pièce immense. Mais l'air opaque qui flottait rendait impossible toute vue approximative de l'empleur de la pièce. A vrai dire même avec une torche on ni voyait pas plus loin que sans torche du tout.
Et même on aurai dit que l'obscurité prenait un malin plaisir à dévorer la faible lumière de la torche.
Soudain Anaria se rendit compte qu'elle n'était pas seule, au fur et à mesure que ses yeux s'habituaient à la noiceur ambiante de la pièce, elle découvrait que des dizaines non des centaines d'yeux rouges l'observaient. Des murmures commencèrent à se faire entendre toujours plus proches, des crissements d'ongle sur la pierre froide.
Puis soudain elle entendut un ricanement fort et rauque, à quelques pas seulement. Puis il y eu un silence, lourd, pesant, et de plus en plus long. Les nerfs à fleur de peau, Anaria serra le poing, et fit glisser sa bague. D'un mouvenent souple et fin elle appela son ärm et sentit vite le contact rassurant de la poingée de son fouet.
Les craquements étaient de plus en plus proche. Des corps se mouvaient dans l'obscurité, silencieuses mais trop nombreux pour cacher leur nombre.
Puis une voix comme sortie des cachots de l'enfer chuchotta aux autres:

"Tuez la!!"

Anaria eu un mouvement de recul, une main venait de lui agripper la cheville, une autre de lui serrer le poignet droigt, elle avait beau tenter de sans d'égager, rien à faire. Incapable d'utiliser son fouet, d'un coup fort elle abatu sa torche vers la créature qui l'agrippait, attent pour s'en défaire que pour tenter de voir à quoi elle avait à faire. C'est là qu'elle la vit, son visage était humain mais ne ressemblait en rien à un vrai visage, il était difforme, creusé, insensible et crasseux. Les yeux rouges lui jetait un regard à glacer le sang. D'une troisième main la créature atrappa la torche au niveau de la flamme, elle ne sentait aucune douleur, et ce qui attira Anaria fut les articulations de celle ci, une main de bois. Essayant de se dégager, Anaria tira trop brusquement sur la torche et frappa d'un grand coup le torse de la créature. Les flammes attaquaient à peine sa chair humide, mais commençaient à ronger les loques qu'elle portait. Soudain ( et contre toute attente ) la créature s'embrasa, illuminant quelques mètres autour d'elle. Elle était faite de bois, comme les poupées qu'Anaria avait vu dans la taverne, mais était complètement difforme. Détachant son regard de la créatures qui se transfomait en brasier, Anaria parcourut le reste des êtres qui l'entouraient, toutes étaient aussi diffiormes.
Elles firent un pas vers l'elfe mais celle ci eu juste le temps de faire demi tour et de courir vers la porte restée entrouverte. Mais dès qu'elle fut retourné, toutes les créatures se précipitairent sur elle.
Elle referma la porte avec difficulté, fermant le verrou, elle gravit les marches quatre à quatre. Enjambant les restes de l'étagère, elle entra dans la salle, essouflée, se reprenant, elle se dirigea vers Devon ( toujours assit à sa place ).

"Patron, vous pouvez me dire ce qu'il y a dans la salle au sous sol?"

"Hein ?"

Après cette réponse constructive, Devon examina Anaria des pieds à la tête. Elle tremblait et transpirait comme si elle venait d'avoir courru.

"T'as une araignée dans les cheveux. Cris pas comme un conne je déteste ça, viens plutôt par là que je te l'enlève."

Il la fit se rapprocher, et l'araignée lui glissa dans la main comme par magie. Il commença à jouer avec l'espèce de bestiole à grandes pattes velues jusqu'à ce qu'il croise la mine profondément échoeurée d'Anaria. Là il balança nonchalement la bêbete dans un tiroir du comptoir, pour jouer plus tard.

"Et sinon tu parlais de quoi ? De la salle en bas ? bah euh je te conseil pas d'y aller, c'est plein de bestioles plus grosses que ces petites araignées. C'est une sorte de crypte je crois, j'y ai jamais vraiment mis les pieds, à parrt pour balancer des trucs ratés qui m'encombraient... Pourquoi tu veux savoir ça ? "

Anaria s’assit sur un tabouret, croisant ses jambes, elle défit ses couettes ( c’est une idée de Devon les couettes ) et se tressa les cheveux ( c’est plus pratique pour faire le ménage ).

« Et bien parce que j’en viens, et que je voulais savoir ce qu’était vraiment la créature que j’ai cramé. Sur ce si vous n’en voyez pas d’inconvénient, je vais de ce pas nettoyer le reste de cette « crypte ». Ca vous direz de venir m’aider ? »

Elle se leva, et pris la direction de la porte, attrapa les restes de l’étagère et les ramena à l’extérieur de la taverne, ainsi le passage vers le sous sol resterai libre.

( soit dit en passant, Anaria n’a pas peur des araignées, et ne serai pas du tout essoufflé après avoir couru dans l’escalier.)

Devon ouvra des yeux grand comme des soucoupes.

"T'as cramé une poupée ?"

Balaise la petite. Mais ça il n'allait pas lui dire. Cristal aussi en avait désinguée une il n'y a pas si longtemps. Et Devon savait parfaitement que ces petites bêbetes n'étaient pas aussi faibles que ça.

"Et bien, comment te dire... Voilà ces bestioles sont des prototypes ratés de marionnettes. Je ne les contrôle pas en faite, mais elles m'encombrent et sont dangeureuses. Alors je les abandonne dans des endroits isolés comme ça... genre la crypte, la réserve de bière ou certain placards... "

Elle lui coupa la parole et lui demanda quelque chose qui ressemblait à une forme de communication. Elle pronomcait des syllabes, peut être même des mots...

"Tu veux que je quoi ?"

Mais le sens de cette phrase inconnu lui échappait.

Anaria le regarda avec ses grands yeux.

« Je vous demande si vous voulez venir avec moi pour se débarrasser de ces marionnettes. Je veux voir à quoi ressemble cette crypte, en plus elle me dit vaguement quelques chose. Et si on ne fait rien contre ces marionnettes, elles finiront par être trop nombreuses, et on ne pourra plus rien faire contre elles. Alors maintenant, ou vous vous bouger le cul pour m’aider à exterminer ces créatures, soit vous restez là. Mais dans ce cas je veux du fric. »

Elle eu un sourire cynique, et commençât à descendre les marches.