La taverne de la poupée de cire.

( je ne m’attendais pas à autre chose venant de sa personne ).

Anaria sourit, oui ce mec lui était vraiment sympathique. ( bien que je na la comprenne pas sur ce point ).

« Je savais que vous diriez ça. Et je vous le dis, je n’ai pas la moindre envi de vous soutirez de l’argent, mais je vais malgré tout aller faire un brin de ménage au sous sol, je suis sur que vous ne serez pas mécontent que je vous débarrasse de ce qui traîne en bas. »

Sur ce l’elfe fit volte face et descendit l’escalier. Cette fois elle était préparée, et serrait déjà dans son poing, la poignée de son fouet. Tout en descendant les marches, elle prit soin d’allumer les torches qui étaient suspendu aux murs. Arrivée à la seconde porte, elle respira un grand coup, et entra dans un coup de vent dans la crypte. Les marionnettes étaient là, elles l’attendaient. Anaria voyait les yeux, couleur de sang dans l’ombre et les ténèbres de la pièce.
Et le combat commençât ( au joie de la narration ). Les créatures bondissaient sur elle, toujours plus nombreuses, plus agressive, mais elle les repoussait, jouant, fouettant l’air opaque, les touchant sur tout leur corps de bois ou de porcelaine. Eparpillant leurs restes sur les dalles.
Si Devon, prit d’un accès de curiosité était descendu à ce moment ( avec son fameux tabouret CQFD ) il aurait vu une elfe, qui les yeux fermés, se battait seule, contre une armée entière. La noirceur des lieux ne permettait pas à Anaria de voir assez pour se défendre, elle avait donc fermé les paupières, ne faisant plus confiance qu’à ses sens toujours en éveil, car trop souvent les hommes ne regardent qu’avec leur yeux, alors qu’il faut voir avec son cœur ( kiaaaa ). Les minutes passaient et bientôt ce fut des heures qui s’écoulèrent. Les marionnettes étaient de moins en moins nombreuses, même si leur agressivité restait la même. Mais l’elfe ne se sentait pas défaillir, au contraire, elle semblait prendre un doux plaisir dans ce massacre.
Enfin, Anaria ne sentis plus aucunes présence, non il n’y avait plus aucun être vivant ( du moins aucunes marionnettes car on verra par la suite que Devon utilisait la crypte plus qu’il ne le disait, genre accueil de pauvre immigr…euh j’ai rien dit - -‘ ).
C’est alors qu’elle se rendit compte à quel point le lieu dans lequel elle se trouvait était grand, mais les ténèbres empêchaient toute estimation.
Elle remonta alors l’escalier, et entra dans la pièce. Se dirigeant vers son sac qu’elle avait posé à côté du comptoir, elle se mit à la recherche d’un bocal qu’elle finit par dénicher sous ses tablettes de chocolat ( soit dit en passant j’ai refait le plein de chocolat et de bonbon pour Maximilien !!! ). Il était en verre, mais enveloppé dans un chiffon qui ne laissait pas apparaître son contenu. Puis relevant la tête, elle s’adressa à Devon.

« Désolée d’avoir été aussi longue, mais il y en avait plus que je ne le croyait. Mais j’ai fini maintenant. Du moins il me faudra encore pas mal de temps pour enlever les restes. »

Puis elle se dirigea à nouveau vers l’escalier. Se retournant vers son ( cher ) patron, elle lui dit avec un sourire :

« Les torches n’arrivent pas à percer la noirceur de la pièce, je vais donc l’éclairer par un autre moyen…venait voir, je suis sur que vous aller adorer. »

Et sans voir si Devon la suivait elle descendit une fois de plus les marches poussiéreuse. Arrivée en bas, elle entra dans la pièce et fit quelques pas droit devant elle. Elle défit le nœud qui tenait le chiffon autour du bocal. Ceux dernier se mit à briller d’une lumière verte, douce, qui traversait les ténèbres, illuminant tout autour de l’elfe. Anaria ouvrit le couvercle et plongea sa main dans cette masse lumineuse, elle en prit une poignée, et referma le bocal. La lumière devenait de plus en plus forte. L’elfe leva le bras et libera…des lucioles ( vers luisants en fait ) qui s’envolèrent dans toute la pièce, illuminant sur leur passage les murs, les plafonds, chaque recoins de la crypte.
Enfin la vrai nature de sous sol apparut.
Elle ressemblait à une église, les plafonds étaient hauts, chaque murs étaient peints, des statues d’anges, de fées, ornaient les murs scultés de bas relief. C’était beau, et la lumière verte des lucioles apportait à cet endroit un caractère…magique.

Anaria sentis soudain que sa tête la faisait souffrir. Elle était déjà venu ici, il y a longtemps. Mais pour le moment elle ne s’en souciai pas, elle était émerveillée et hypnotisée par les lieux.


* Je sens que je vais bien m’amuser ici. *

Pendant qu'Anaria pétait de la poupée, Devon s'était assis dans un coin, sans bouger. Il observait l'elfe en train de se battre et admirait en silence ses compétances. Jamais il ne le reconnaitrait devant elle, mais il était assez bleufé. Lui par contre restait sagement assie en tailleur, en respirant le plus doucement possible. Il connaisait ses marionnettes, il les avait lui même raté. Il savait que ces bestioles réagissaient au mouvement. (Ce pourquoi celles de sous le lit se sont réveillées aprs la nuit agité qu'il avait passé en compagnie de Cristal ♥ CQFD ^^)

Quand Anaria termina son combat il se releva en baillant et en affirmant qu'il s'ennuyait à crever, et qu'il avait autre chose à faire que de la regarder se battre.
A celà elle sourit et lui mit sous le nez un bocal qu'elle ouvrit sans difficulté. En sortirent des lucioles qui brillaient dans l'obscurité comme des petites étoiles. Devon regardait le spectacle, bouche bée, comme un enfant. Lui même au fond était un gosse, un gosse qui aimait bien les insectes. Le marionnettiste étendit la main vers les bestioles qui cessèrent de voler de manière anarchique, et se mirent à suivre les mouvements de ses doigts. Puis après trois quatres minutes à leur faire décrire dans grands cercle dans les airs, il s'amusa à écrire son prénom avec les petites tâche de lumière. Il écrivi "DEVON" en majuscule avec le "E" à l'envers.

"Regarde j'ai ma constellation ! Chouette hein ?"

Il s'amusait bien, soudaitn Anaria le sortit de son jeu en l'incitant à regarder un peu autour d'eux. La crypte, un endroit étrange. Sombre et mystérieux, on aurait dit une église à l'abandon.

"Cool..."

"Hein ? Une boîte de nuit ? T'as craqué ! (si tu savais comme ce que tu dit est pertinent Devon ^^) Une boîte de nuit à Lestower, n'importe quoi... REnd toi utile plutôt et va me brûler la taverne d'en face ! Ca au moins ça m'arrangerais..."

Elle lui faisait les yeux du koala anémique, il avait du mal à résister. Il détourna la tête et tenta un dernier argument (où ça des arguments ?) d'une voix tremblante.

"Et puis non, je suis pas d'accord... Parce que heu... je me sert déjà de cet endroit... pour..."

La mémoire lui revint comme la foudre tombe sur l'innocent Philou. Le marionnettiste se précipita vers la salle du fond et en ouvrit le porte à la volée.
Ca ne manqua pas, il tomba sur les quatres chinois penchés sur des machines à coudre.
Ceux de son petit atelier clandestin.

Et oui cher lecteur, ne vous êtes vous jamais demandé (avouez ! Tout le monde (surtout moi) se pose ces questions) qui faisait les uniformes des soubrettes et les robes des poupées ? Devon ? Il pourait (d'ailleurs il fait les croquis) mais ce n'est pas envisageable, connaisant la longueur du poil dans sa main. Armand ? Il a bien trop de travail avec les tâches ménagères et la garderies de ce gamin violacé et turbulent. Cristal ? Devon ne l'exploiterai pas comme ça. Elle tricote déjà des chaussettes mauves toute la journée. D'autres marionnettes alors ? Non non, c'est contraine à la philosophie de Devon qui est de se ditre que moins il en fait mieux il se porte. Faire bouger un bataillon de pantin c'est fatiguant.

Sur l'étiquette des tabliers c'est écrit by un certain Poppy Angel, mais ça ne nous dit absolument rien ça. Ce nom était certainement une couverture pour l'atelier de sa majesté Devon.

Ce dernier dégluti.

"Putain je les avais complètement oublié ceux là..."

Depuis environ deux semaines =__='
Il réconforta ses ouvriers en leur affirmant qu'il reviendrait avec de la nourriture, puis inspecta les derniers ouvrages. Plusieurs robes à dentelle et l'uniforme de Noel de sa chère Anaria.

"Ouais bon tout ça c'est super. Bon boulot les gars. Mais sinon, vous avez terminé ma commande spéciale ?"

Les pauvres butlers (connaissez vous la réf ? ^^) l'entrainairent dans un coin de l'atelier et lu présentèrent une robe blanche.
Le visage de Devon se fendit d'un sourire tandis qu'il promenait ses doigts sur l'étoffe.

"Oh oh ! Je vois ça... Ca me plais beaucoup. Mais c'est pas fini, il manque les broderies. Il vous faut plus de perles ? Ok je vous enverais tout ça."

Et sur ce il pris congès de l'atelier de la marque inconnue "Poppy Angel".

Ce mec était pas possible, même avec les yeux du koala il n’avait pas craqué. Tant pis elle utiliserai la force…Elle le suivi jusqu’à la pièce où travaillaient les quatre pauvres chinois. S’appuyant sur la porte, elle sourit.

« Vous savez que c’est illégal ? Bien alors si vous ne voulez pas que je dévoile tout, vous avez intérêt à me prêter cette salle, je suis sur que ça donnerai quelques chose de vraiment bien. Vous gagnerai encore plus…et pour ce qui est de la taverne d’en face, je suis d’accord pour y aller jouer les pyromanes. »

Elle s’approcha de Devon. Le chinois qui portait la robe blanche fit quelques pas comme s’il avait peur de la jeune elfe. Ce comportement, Anaria ne le supportait pas, lorsque les gens par peur d’elle ( et de ses oreilles pointues ^^’ ) la fuyait. Sans qu’elle puisse le contrôler, ses yeux devinrent écarlate. Elle tourna la tête vers son patron, plongeant ses yeux couleur de sang dans ceux du jeune homme.

« Elle est magnifique cette robe, pour qui est-elle ? »

Elle est pas en face ma taverne, elle est de front avec la tienne pauvre marionnettiste bigleux.

Devon frissonna et eut un mouvement de recule quand elle plongea ses yeux devenus rouges dans les siens avec autant de force et de volonté. Quand lui même faisait ça, en général ça n'annonçait rien de bon. Alors bah il se basait sur ses propres connaisances de la folie humaine.
Mais il aimait tellement ça, les fous.

"Tu vois, cette robe et la robe de mariage de ma fiancée. Nous nous marirons bientôt..."

Il soupira, en fait il ne savait plus si Cristal avait encore envie de se marier avec lui, mais il espérait. Voir cette robre immacullée se coudre comme par magie, lui redonnait espoir. Par contre, il mentait ouvertement quant à la potentielle date de mariage. Il ne savait pas quand il se marirait.
Quand l'échéquier serait detruit par exemple.

Anaria sourit, ses yeux devinrent bleu, signe qu'elle était heureuse de cette nouvelle. Puis son regard se porta sur la robe. Oui c'est vrai, elle était magnifique, tellement blanche, aussi belle et pure que la perle de rosée, ( les chinois ont bien fait leur boulot quoi ^^' ).

"Je suis contente pour vous patron. Cette robe est superbe, et je suis sur qu'elle ira très bien à votre fiancée. J'espère que ce jour arrivera bientôt, et si je le peux ( et je suis sur que c'est ce qui va se passer ) j'aimerai vous aider pour les préparatifs."

Relevant la tête vers Devon, elle lui addressa un sourire. Ce dernier illumina le visage de l'elfe, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas sourit comme ça.
Puis elle remarqua les chinois qui se terrainent dans le fond de la pièce, comme s'ils avaient peur d'elle ( tu me diras, une nana aux yeux rouge...c'est flippant quand même ). Elle leva un sourcil et dit à l'intension du marionetiste:

"ça doit être merveilleux d'aimer."

( j'ai enfin mon ordi !!!!!!! )

"Ouais ça doit être merveilleux..."

Il ne souriait plus comme à son habitude, à la place de son rictus devonesque, venait de s'intaller un semblant de sourire triste.
Il reposa la robe.

"Je sais pas si elle va accepeter. C'est qu'on est un peu en froid en ce moment. Je lui ai d'ailleurs écrit une lettre. J'y ai mit tout mon coeur, mais j'ai super peur qu'elle me la renvoi à la tronche. Elle est pas facile, mais en même temps je l'ai un peu cherché. Je suis vraiment le roi des cons..."

Il avait les larmes aux yeux. Il se ressaisit et releva la tête.

"Faudrait que tu la rencontre. Je sais pas si vous pouriez être amie, mais on sait jamais. Je t'aime bien Anaria, alors ça ne me gêne pas de te présenter Cristal."

Un autre silence.

"Ouais elle s'appelle Cristal, un joli nom. Elle fait partie de l'échéquier, comme moi. Tu la veras et tu me dira ce qut tu penses d'elle. Armand lui ne peut pas la blairer, mais moi je la trouve vraiment adorable."

Anaria acquiesça.

« Je serai très heureuse de pouvoir la rencontrer. »

L’elfe sortit de sa poche un mouchoir en soie bordeaux et le tendit à Devon.

« En fait je pense que moi aussi je vous aime bien patron, vous êtes quelqu’un de bien, même si vous vous obstinez à vouloir faire paraître le contraire. Je suis sur et certaine que Cristal ne vous repoussera pas. Enfin je l’espère de tout mon cœur pour vous. »

Anaria pris une chaise qui se trouvait là et s’assit. Elle sortit d’une autre poche un paquet de cigarettes ( des vogue attention ). Allumant une clope à l’aide du briquet qui était toujours caché dans le paquet, elle en pris une bouffé. Le tabac ne lui faisait rien mais elle aimait le goût qu’il laissait dans sa bouche ( goût de menthe ^^’ ).
Tournant la tête, elle laissa ses yeux vagabonder dans le vide.
Elle tendit son paquet au marionnettiste. [/i]

"Vous n'imaginez pas à quel point je vous envie."

[ah non ! mais c'est pas vrai ! je le dis une bonne fois pour toutes : non, les persos ne sont pas omniscients, ils ne peuvent PAS savoir tout ce qui se passe partout. et là c'est particulièrement exagéré, étant donné que même les membres de l'Échiquier ne sont pas censés savoir que Devon et Cristal sont ensembles ! venant de la reine, ça peut encore passer, mais pour quelqu'un de la Cross c'est impossible ! essayez de faire la différence entre ce que VOUS savez et ce que votre PERSONNAGE sait]

[edit : OK ^^ je le laisse là des fois que d'autres concernés tombent dessus ...]

(dsl voilà c'est édité )

[J'en ai marre, moi quand je râle là-dessus personne n'édite. C'est que je suis pas admin ou que mon orc est pas crédible ?]

[Devine ... ^^
Ceci dit, c'est pas faux ce que tu dis là.]

Elle ne le repoussera pas ? Devon s'afficha sur son visage un rictus cynique.

"On verra, mais quelque chose me fait présentire le contraire."

Son enfant qui allait naître bientôt par exemple.
Il fut détourné de sa réflexion par une odeur mentholée qui lui était bien familière. Il tourna lentement la tête, un sourire de Cheshire cat sur les lèvres.

"Moi aussi je t'envi, tu n'imagines pas à quel point..."

Sur ce Anaria ressenti une sorte de frisson qui lui fit déplier subitemant le bras. Elle tendit sa main sur laquelle elle n'avait aucun contrôle et Devon lui pris la cigarette des doigts.

"Tu t'en fume une sous mes yeux et tu ne m'en propose même pas ? Sale égoïste. Pour cette fois tu es pardonnée. Un conseil, ne fait jamais ça devant Armand, il te sucrerait ton paquet, il m'a déjà pris le mien."

Il s'accapara sa nouvelle aquisition, assurant à Anaria qu'elle en avait encore un plein paquet poue elle toute seule.

"Par contre on devrait peut être sortir pour ça. Enfin je dit ça parce que les chinois commencent à tousser sec et que je ne voudrais pas qu'ils me tombent malades dessus."

Il sortit en tenant la porte à Anaria. En effet il était de bonne humeur, sa malboro extra light mentholée lui avait redonnée le sourire.

"Celles-ci sont difficiles à trouver, et l'autre crétin de valet me les confiques plus vite que je ne les achète, ça devient chiant. Tu voudrais pas me fournir ? Allez.... ça me fait plaisir de recontrer quelqu'un qui a les même goût..."

"Mmmm... ça dépend, si tu veux bien me filler des clopes et t'arranger pour que l'autre con ne se rende pas compte de notre petit trafique... En parlant de traf... de commerce, je veux bien te prêter les locaux en bas à conditions que tu laisses mes honorables ouvriers bosser tranquille comprit ?"

Assis sur le comptoir il la regardait passer le balai, apparamant amusé.

"Tu bosses bien, mais il m'en faut plus. J'attaque donc à présent la question du loyer. Qu'est ce que tu pourais me donner en échange de la location de la crypte ? Hum... hé regarde un peu ce que tu fais, là il reste de la poussière. Balaye mieux esclave ! Bon le fric... hum... Je ne crois pas que je vais te demander des sous, mais plutôt des services. Qu'est ce que tu pourais faire pour moi, gentille servante ^^"

(elle paye pas en nature ? mouais je m'en doutais... -_-')

Il se mit à sourire. Il aimait bien cette fille, il pouvait en faire aisément ce qu'il voulait. Il minauda d'un ton qui se voulait mieileux au possible.

"T'es sérieuse là ? Tu es prête à devenir mon esclave ? Tu compte m'obéir et me servir avec autant de dévotion qu'Armand ?"

Il laissa un silence où il observa son visage avec délice.

"Hé tu me plais ! Bienvenu aux côtés de ton seigneur Devon ma jolie poupée. Mais avant ça il nous faut faire un pacte. La garantie est cette crypte, toi contre cet endroit. Moi ça me va. Va me chercher une plume et un papier, tu va rédiger le contract."

(Important : Elle ignore qu'il ne sais pas lire.)

Anaria alla jusqu'à son sac, et en sortit une plume blanche ( c'est une plume de cygne ) et un rouleau de parchemin. Elle alla s'assoir à une table ( propre ). D'éroulant la feuille vierge, elle y écrit la date, et le lieu à l'encre noire. Son écriture était incroyablement belle, fine et pure, une écriture d'elfe.
Puis elle leva la tête vers Devon.

" Un dernier détail, je ne serai pas votre esclave. Je m'engage à répondre à vos ordres, lorsque ceux ci me parraissent juste. Je peux tuer si vous le voulez, mais si je sens que l'heure de cette personne n'est pas encore venue, je ne le ferai pas. Je vous couvrirai, vous aiderai, serai là lorsque vous aurai besoin de moi. Mais je reste libre. "

( réponds à neverland escavle )

Devon s'empara du contract dès qu'Anaria fini d'écrire. il fit semblant de la lire attentivement, mais au fond il regardait l'écriture magnifique, profondément dégouté. Pourquoi tous écrivait aussi bien ? Armand et maintenant cette fille ! Il imagina un complot contre lui , visant à le dégoûter de la vie en lui mettant sous le nez toutes ses incapacités.

"Ouais ça ira. On vera selon les situations, mais n'oublie pas que j'ai beaucoup plus de pouvoir sur toi que tu peux l'imaginer."

Il lui jeta un regard plein de sous-entendu.

(on se stoppe là ?)

( ok je pense que c'est bon dans l'hypothèse où Nana rentre à la caserne et Devon au château...)