mais pourquoi y a t-il si peu de place dans les titres ? &gt

Titre original: "Combat pour la stabilité de la structure polyatomique cristalogène "



Ils avaient tout bien préparé, tout nettoyé, et tout astiqué à cet occasion.
Même Calchas le paresseux s’était mis au marteau et avait fait un effort pour rendre le lieu présentable et digne de l’évènement à venir.
Car c’était le premier combat dans l’établissement, et cela faisait longtemps déjà que cela se préparait.
Pour l’heure, les portes extérieures et intérieures étaient largement ouvertes et Calchas, de fort bonne humeur, criait, comme souvent, dans la rue qu’un évènement extraordinaire allait se dérouler sous peu, qu’il y aurait de l’action et même des boissons gratuites, que de l’argent pouvait être gagné, que du suspense serait au rendez-vous, que le poisson était toujours en promotion sur son étalage tous les mardis jours de marchés, etc, etc…

Le Pêcheur était au guichet des paris, en compagnie du Bagage, et il accueillait les spectateurs de plus en plus nombreux que le bruit (plus que les paroles) de son compagnon avait attirés par la curiosité.
Il était tout excité, à la fois par le profit que cela pourrait générer et par l’angoisse de ce premier combat dans son propre établissement.
Bon, il y avait encor une vague odeur d’eau salée, mais c’était rien face aux remugles qui l’avaient assaillis la première dois qu’il était entré, et il pouvait être fier d’en être arrivé à là.

Tandis qu’il saluait les gens avec un grand sourire bien hypocrite, il ne quittait des yeux l’entrée, où jacassait l’escroc, espérant apercevoir l’un ou l’autre des combattants.

Pourvu qu’ils aient vu l’ardoise où il avait affiché la date et l’heure du combat. Pourvu qu’ils n’aient pas oubliés.
Pourvu que tout se passe bien.
Enfin, aussi bien que pouvait se dérouler un combat.

Encore une foule. Encore et toujours … Pourquoi donc cette masse grouillante et répugnante était-elle toujours présente, partout où elle allait, toujours sur son chemin ?... Cristal détestait la foule. Elle avait déjà du mal à supporter la plupart des individus, mais quand ils se rassemblaient ainsi tout était décuplé, leur stupidité, leur inhumanité, tout ce qui faisait qu’elle haïssait la race humaine. Elle voulut traverser rapidement l’espace la séparant de l’entrée de la boîte à fromage, pour ne pas avoir le temps de céder à cet instinct de protection qui la faisait tuer, encore et toujours … La foule s’opposa à son passage. Comme toujours. Pour s’écarter d’un coup, au premier hurlement de douleur. Stupides et lâches. Toujours.

La jeune femme entra dans le bâtiment, entourée d’une aura terrifiante et d’un vide impressionnant. À présent ils la fuyaient … Bien. Elle chercha du regard un organisateur quelconque qui lui exposerait les règles en vigueur en ce lieu. Mais ne trouva qu’Elpi, au guichet des paris. Elle ne songea pas un instant que ce put être lui le propriétaire de la boîte à fromage, mais se dit qu’il pourrait tout de même lui en dire plus, ne serait-ce que lui désigner le gérant.

Elle s’approcha donc de lui, réprimant tant bien que mal son envie croissante de faire jaillir le sang. Elle tenta de conserver un ton neutre, mais dans sa voix résonnaient des harmoniques inhabituelles qui trahissaient malgré tout la tension qui l’habitait.

« Je suis Cristal. L’arène est là, derrière ? »

Tout ce que l’enfant pouvait apercevoir était un masque d’un blanc mortuaire, dissimulé dans l’ombre d’un capuchon qui paraissait taillé dans les ténèbres même. Elle détestait les regards sur sa peau. Seule la jouissance du combat où l’on oublie tout, qui on est, ce que l’on veut, pourquoi même on se bat, où seule la vie ou la mort a encore un sens, seul cela lui donnait assez de détachement pour ne plus prêter attention à ces yeux sur elle …

L’exaltation du garçon était à son comble. Des gens pariaient, des gens lui confiaient de l’argent. Et mieux encor, deux combattants aujourd’hui lui feraient confiance pour l’arbitrage de leur combat.
Tandis que Calchas essayait désespérément d’engager une conversation intéressante avec Cristal, Elpi encaissait en notant scrupuleusement sur une feuille bien bouillonneuse tout ce qui pourrait s’avérer utile à l’issu du combat.
Quand soudain, il aperçu, dans la file, une silhouette qui lui sembla familière. Mais son esprit n’arrivait à déceler qui était cette personne et où et quand ils avaient pu se rencontrer. L’esprit de Calchas, accoutumé à ce genre de choses, ne pipa mot, le laissant se décarcasser tout seul (puisque Kant était fort occupé à élaborer un dictionnaire Bagage - Pêcheur depuis qu’il s’était persuadé qu’il comprenait la bestiole…). Ça lui revint alors. C’était ici même qu’il l’avait rencontré.

Il s’exclama en lâchant son crayon mordillé.

Monsieur d’Astate ! Venez, ne faîtes pas la queue, vous être notre invité.

Il sortit de derrière son comptoir et alla accueillir le jeune homme, qui semblait tout gêné devant tant d’attention de sa part et devant l’empressement des gens qui se trouvaient là à le dévisager, comme s’ils espéraient lire sur son visage pétri par la timidité et l’anxiété à la fois du combat et d’être retrouvé un signe quelconque indiquant qu’il y aurait plus d’intérêt à parier sur lui que sur la jeune fille, qui manifestait quant à elle des marques d’impatience face au combat.

Elpi présenta son collègue en un geste, puis confronta pour la première fois les deux adversaires en les nommant mutuellement.

Avant de commencer à vous battre, il nous faut régler quelques détails concernant l’argent.

Calchas tortillait ses mains dans tous les sens, comme souvent dès qu’il était question d’argent. Elpi l’expédia donc au guichet se rendre utile. Et il s’y rendit.
Il avait énormément de bonnes raisons d’obéir à son congénère, du moins pour le moment. Mais seul Kant, muet spectateur de cette lutte dont il était entièrement à l’origine, sait quels combats internes peuvent se livrer deux esprits et deux corps si différents, rendus on ne peut plus proches sans un consentement mutuel et sans préparation d’aucune sorte.

Je propose une mise de cinquante pyutas, mais libre à vous de miser plus. Si vous le souhaitez tous deux.

Le jeune homme fit un geste discret indiquant que tout prix serait le sien. Le Pêcheur tourna donc ses petits yeux tous excités autant par le combat à venir, ses nouvelles responsabilités et l’argent qui allait lui être remis, vers le masque impassible de sa première cliente.

*Kant : quelque chose se trame … je prends des notes.*

[La parole à Cristal, tout est entendu avec Halogène ^^]

L’ivrogne que la jeune femme avait aperçut lors de son inscription était donc l’associé de l’enfant qui était, lui, gérant de cette affaire … Association pour le moins étrange et inattendue. Cristal s’était contentée d’un très vague signe de tête pour répondre aux présentations, et restait à présent totalement stoïque à subir le bavardage unilatéral de Calchas. Du moins, c’est l’impression qu’elle donnait. Intérieurement, elle bouillait. Elle avait été confrontée à la foule pour entrer, et la foule était maintenant tout autour d’elle. La boîte à fromages se remplissait de spectateurs et parieurs, pour la plus grande joie d’Elpi, mais pour le plus grand déplaisir de Cristal … Elle était chaque seconde un peu plus proche du seuil au-delà duquel elle ne pourrait plus se contenir, et le soliloque ridicule et pesant de Calchas ne faisait qu’ajouter à son énervement.

L’arrivée de Halogène fit légèrement retomber la pression. Elle cessa de prêter attention au reste du monde pour se concentrer sur son futur adversaire. Un jeune homme qui semblait timide, embarrassé d’être là … Gêné par le regard des autres. Durant une fraction de seconde, Cristal eut un élan de sympathie envers lui, mais il disparut très vite, remplacé par une sorte de mépris condescendant devant tant de transparence dans les sentiments. Tout le monde voyait qu’il était nerveux. On pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert. Et lui se laissait faire … Pitoyable.

Elpi paraissait surexcité par la perspective d’avoir enfin un combat dans son établissement. Cristal n’aurait même pas été surprise s’il s’était tout d’un coup mis à sautiller comme monté sur ressorts. Et à présent il se mettait à parler d’argent, ce qui semblait augmenter encore, si c’était possible, son contentement …

Cristal fit l’effort de sortir de son mutisme pour répondre de sa voix toujours un peu inquiétante :

« Cela me va … 50 pyutas. »

Elle passa la main à l’intérieur de sa cape et en ressortit après une dizaine de secondes une poignée de pièces. Elle compta distraitement 50 pyutas et les remit au Pêcheur. Elle était pressée d’en finir avec l’administratif pour pouvoir (enfin) en découdre …

La main d’Elpi s’abattit lourdement sur les pièces que celle de Cristal lui tendait. Il entreprit de les recompter précautionneusement et avec toute la lenteur d’un petit garçon qui n’a pas beaucoup été à l’école et qui ne sait compter que parce qu’il aime l’argent et a appris, seul, à s’en servir. Il encaissa également l’argent que lui tendait « Monsieur D’Astate » avec un grand sourire.
Il fit rouler les pièces dans ses petites mains avant de les glisser dans le coffre énorme qui se trouvait juste près de lui.
Alors, il désigna distraitement la grande porte de l’arène aux deux belligérants, au cas où, malgré sa taille conséquente et son emplacement de choix (en plein milieu de la salle où ils se trouvent, et juste en face de l’entrée u__u), elle leur aurait échappée et laissa la place derrière le comptoir à son conjoint pour les accompagner jusqu’au lieu de l’affrontement.
Jamais on ne put voir plus large sourire sur son visage.
Son esprit était d’ailleurs engagé dans une excitation incroyable, avec Elpi aux anges, Kant ne sachant plus où donner de la tête avec tout ces gens qui grouillaient autour, et Calchas qui avait réussi l’exploit de se rendre utile plus d’un quart d’heure qui commençait à ne plus être dans son assiette.

Mais il avait fallu faire un choix. Et entre le combat et l’argent, Elpi avait choisi le combat ; il arbitrerait donc tandis que son acolyte encaisserait. Même si l’Hâmeçon lui permettrait de garder un œil distrait sur l’avancement des choses… Il avait pensé à tout. C’était aujourd’hui l’aboutissement d’un grand projet qu’il préparait depuis très longtemps. C’était d’ailleurs pour cette raison qu’il s’était installé à Geirelul.

Ils pénétrèrent dans l’arène. Elle était constituée d’un cercle de sable fin(u__u, ben ouais, c’est une arène ^^) que Calchas avait négocié de manière tout à fait remarquable avec un commerçant du port. Il avait finalement réussi à en obtenir gratuitement suffisamment pour remplir vingt fois l’arène et on l’avait encor payé pour qu’il les embarque… La seule chose qu’on lui avait demandé en retour était de partir et de,si possible ne jamais revenir, de ne plus harceler la fille du brave commerçant en essayant de la rouler par derrière (^^), et surtout, surtout, de ne plus laisser traîner son … truc à pattes… dans les parages u__u
Eli repensait vaguement en souriant lorsqu’il foula le sol de l’arène.
Dans les gradins, le public était déjà installé, et prêt pour le combat.

Sans plus attendre, il mit ses mains en porte-voix et cria.

Bienvenue à tous à la Boîte à Fromages !!
Aujourd’hui, pour ce premier combat, vous aurez la joie de parier sur Cristal, de l’Échiquier, ou sur Halogène D’Astaste.

Quelques murmures (du genre  « c’Est-ce gamin qui va arbitrer ? J’ai cru que c’était le petit-fils du gérant qui lui filait un coup de main pour les paris, moi … » ou encor « mais c’est quoi comme organisation, ça, Astate ? Je n’en ai jamais entendu parler » percèrent le relatif silence qui s’était fait lorsqu’il avait commencé à clamer. L’acoustique de la salle était un peu à revoir, il n’avait pas vraiment pensé à cela lorsqu’il avait installé le tout, mais ce n’était pas vraiment optimal…
Les deux combattants se placèrent face à face à l’appel de leurs noms.

Je ne vous rappelle pas les règles.
Que le combat commence !

[=> la parole à Hal ^^]

[le retour de la signature pourrave qui n'avais jamais voulu s'afficher jusque là O_o on aura tout vu u__u]

[Petite mise au point :
Ce personnage (de son vrai nom Halogène Astate) n’est pas Philibert mais un PNJ attaché à la BAF. C’est-à-dire qu’il a été créé (pas en règle) pour être joué uniquement dans l’enceinte de la Boîte à Fromages. Il est disponible pour se faire taper sur la tronche par tous les PJ qui le veulent tous ceux qui voudraient s’entraîner avec un mecton qui n’a pas qu’un malheureux ärm et une malheureuse attaque ^^
De plus, vu que son statut le dispense de fiche de présentation, s’ajoute l’effet de surprise du combattant qui ne sait pas ce qui l’attend ; ce qui peut être intéressant pour le RP]

Ils pénétrèrent dans l’arène où déjà de nombreuses personnes s’étaient installées, sur les sièges de fortune bricolés par le gamin, avec les conseils théoriques de l’expérimenté Kant.
La salle était bruyante et agitée. Tout ce bruit était familier à Halogène, mais, bien loin de le rassurer, cela le faisait sombrer encor plus dans l’anxiété qui le tenait depuis quelques temps. Pourtant, il avait l’habitude de se battre. Il le faisait tous les deux jours dans les sous-sols de la Guilde, auparavant. Mais c ‘était différent ; c’était ses camarades qu’il affrontait, ses amis qu’il connaissait bien. C’était un jeu plus qu’un combat. Aujourd’hui, c’était sérieux, il se battait pour lui, et pour reconquérir la fierté qu’il avait enterrée dans un tas de décombres fumants d’une Guilde prestigieuse détruite accidentellement, à cause d’un chat et d’un champignon.

Il dévisagea sa première adversaire avec inquiétude. Elle semblait redoutable, ou du moins redoutablement déterminée, malgré le masque impassible qu’elle arborait.

Le gamin cria son nom… enfin, il l’appela Monsieur D’Astate. Un frisson infime parcourut tout son corps à ces mots. Délicieuse sensation dont il avait si souvent rêvé. C’était pourtant si simple.

Le coup d’envoi fut donné.
Il transpirait déjà. Comme toujours.

D’un vaste geste d’épaule, il fit chuter la capuche impétueuse qui lui obstruait la face (=______=) . Puis, il attrapa rapidement le pendentif qu’il portait autour du cou. C’était un bijou assez petit et fin, bien qu’assez lourd. Mais il ne le sentait plus, surtout dans ses moments-là.
Il l’activa.

Un cercle de quelques mètres se forma au sol, autour de son adversaire.

Il essuya ses mains sur sa cape et lança la première attaque.

Le cercle se mit en mouvement, entraînant tout ce qui se trouvait à l’intérieur, y compris Cristal. D’abord vers l’avant, puis vers l’arrière, et ainsi de suite, très rapidement.

Ce n’était pas très offensif, c’était juste pour tester son temps de réponse à une excitation sinusoïdale forcée (=_______=). voir si elle avait de beaucoup d’équilibre.
Enfin, déséquilibrée et surprise, elle chuta.
Le cercle sous ses pieds continuait d’osciller. Un petit sourire se fendit sur le visage crispé d’Halogène.
C’était la première fois qu’il surprenait quelqu'un avec ce petit échauffement. D'habitude, ceux qu'il affrontait savaient se laisser porter par le "cercle" et au lieu de chercher à s'en libérer, savaient l'utiliser afin qu'il n'entrave plus leurs mouvements.
Ce combat serait décidément différent de tout ce qu’il avait pu mener jusque là.

Il songea soudain qu’il n’avait pas du tout été galant en attaquant le premier et décida de ne pas aller plus loin avant d’avoir vu ce que l’autre lui réservait.

[tu peux y aller, il est solide (et il fera pas de cadeau)]

Halogène jubilait.
Non par car il voyait se profiler devant lui une victoire, mais parce qu'il combattait. Cela suffisait à lui rappeller des si agréables souvenirs.
Cristal lui lança quelque chose, comme des gouttes brillantes. Mais avec le mouvement du sol sous ses pieds, pensa-t-il, elle ne put viser convenablement et il les évita.
Il arrêta alors le mouvement du sol et le cercle qui entourait Cristal s'élargit largement, ne s'arrêtant désormais qu'à quelques pas de lui.

Alors, le sourire crispé qu'il arborait se transforma en un petit rire de joie.
Il se mit à genoux et retira la cape qui le ralentissait dans ses mouvements d'un geste souple et l'envoya un peu plus loin sous les cris des spectateurs.
Sous ce lourd vêtement, il portait une tenue étrange aux yeux des gens du coin : un pantalon souple, une chemise blanche aux formes étranges et surtout, le gilet décoré des Quatre Beignets de la Confrérie des Maîtres Sorciers-confiseurs.
Puis il poussa son petit cri de guerre personnel : Shubaaaa !



Mais, au lieu d'être accueilli par un triomphe d'applaudissement comme il en avait l'habitude, des cris suivirent son injonction.
Il se relevait encor lorsque les lames de rasoirs lui perforèrent le dos.
Il poussa un autre cri, de douleur cette fois.

Puis son large sourire se métamorphosa en une grimace. Sa main droite rentra instinctivement sous son gilet.

*Pas encor ! je dois tenir !*

Il tenta de se tenir droit et toisa son adversaire, qui s'était relevée pendant ce temps. Sa timidité s'était évaporée.

On dirait que tu n'as pas apprécié ton premier contact avec ma poêle à frire de luxe ! Shubaaaaaa ! Je vais te faire sauter !

Le malheureux gérant marmonnait quelque chose (" mouais, tout dégat matériel doit être remboursé ou réparé ... Je l'ai écrit sur les règles, j'espère..."). Une voix dans le public s'éleva : "Ouais, saute-là !"
Halogène rougit, puis se reconcentra... Il avait mal. Les lames lui déchiraient le dos à chaque mouvement.

Alors, le cercle, qui n'était autre que l'intérieur d'une poêle à frire géante dont les rebords et le manche étaient invisibles, se remit en mouvement, mais de haut en bas cette fois, de manière régulière.
Halogène ne regardait plus son adversaire, mais le rebord du cercle qui était juste à côté ses pieds. Puis, il sauta à l'intérieur.
Au premier rebond, il fut près de Cristal et lui assena un large coup de poing en direction de la tête. Le bruit que le choc fit laissa supposer qu'il avait atteint le masque.
Au rebond suivant, il se trouva propulsé à nouveau à l'extérieur de la poêle.



C'était une machine bien rodée, il s'était souvent entraîné à utiliser cet ärm à la fois pour déstabiliser l'adversaire et pour attaquer puis se mettre hors d'atteinte rapidement.

Cependant, la principale différence avec ses combats habituels était une douleur énorme dans le dos.
Il se réceptionna sur le sol par une roulade avant, en enfonçant encor un peu plus les lames dans sa chair. Il retint un cri, il n'avait pas prévu cela.
Sans doute allait-il céder bientôt, mais qu'importe, cela faisait partie du combat.