Tournoi : premier tour, Devon vs Myrlia

* Mais elle est en manque c'te fille ! 'Faut pas donner de la drogue à un drogué ... Hihi ... *

Myrlia saisit la poupée par les épaules pour l'empêcher de bouger. Puis elle poussa et l'envoya par terre. Ensuite, pendant que la poupée ne s'était pas encore relevée, elle prit la nappe de la table, la déchira légèrement et ligota la poupée à la table, sans oublier de la bailloner bien sûr.

* Enfin tranquille ... Cette poupée commençait à me tapper sur le système ... *

Puis elle s'accouda à la fenêtre, à la fenêtre par laquelle Devon la regardait tout à l'heure. À son tour, elle commença à regarder celui-ci, sans jamais baisser les yeux. Elle affichait un petit sourire en coin. Sans doute que bientôt, Corrinne roprait ses liens, ca la nappe n'était pas très resistante, mais, avant, profitons de ces momens de paix ...

(Euh chaton... désolé de te contredire, mais il n'y a pas de grenier dans cette maison. Si tu arrives à sortir du séjour, tu te retrouvera dans la cuisine, qui est le niveau supérieur. En fait ma maison est un peu comme un jeu vidéo, avec des niveaus et de gardiens. là tu es au tout premier. Triomphe de tout les niveaux et tu pourras sortir, c'est ainsi que ça se passe dans la maison des poupées)

[ Ça se fait pas ! 'Fallait ^préciser avant mon vieux ! Maintenant que j'ai dit qu'il y avait un grenier, il y en a un, par Eurydis !

Grrrrrrrrr ... Tu m'as eu, j'édite, mais précise la prochaine fois ... ]

[ Myrlia a édité ! ]

(ok, désolé du retard, j'ai pas pus me connecter ^^')

Lorsque Devon vit que la toute petite Myrlia avait attachée et baillonnée Corrinne, un frisson lui traversa la moelle épignère. Cette fille devait avoir des tendances suicidères. Pourquoi attiser la colère de sa marionnette ? Pourquoi l'avoir laissé en vie ? Pourquoi n'avoir pas fuit dans une autre pièce ? Son adversaire devait avoir un plan.
Quand il apperçut qu'elle avait captée son regard, il détourna les yeux et fit comme si de rien était. Il n'aimait pas trop la visage qu'elle avait.

Crik Crik. Des crissements semblaient venir de nul part. Crik crik. Ils ne saissaient jamais. Crik crik. Myrlia avait écartée les rideaux de dentelle et regardait par la fenêtre. Crik crik. Derrière elle il y avait un monstre assoiffé de sang. Crik crik. Elle avait pourtant cru s'en débarasser. Crik crik. Mais le monstre était encore plus en colère. Crik crik. Néanmoins il n'était plus libre de ses mouvements. Crik crik.

Mais le monstre rongeait ses liens.

Les marionnettes de combats de Devon, et plus particulièrement celle-là, on des petites dents métaliques, pointues et tranchantes. Corinne rongeait son baillon puis ses liens. Quand elle fut libre de ses mouvemments, elle s'approcha doucement de Myrlia, toujours occupée à regarder par la fenêtre, à chercher en vain le regard de Devon. Elle se retourna au dernier moment, son instinct félin l'alertant du danger.
Mais c'était trop tard.
Corinne avait glissée ses doigts froids autour de la gorge de Myrlia et la tenait fermenent, sans l'étouffer. La poupée ouvrit sa bouche et ses dents de métal brillèrent un instant dans la lumière du jour, avant de se refermer sur le cou de son adversaire.

Corinne buvait son sang à petites lampées, comme si elle dégustait un thé particulièrement délicieu.

(je veux que son sang coule aussi, et que j'en boive à longues gorgées ! Quand elle seras toute vidée, nous l'entrainerons en enfer pour lui faire subir d'autre supplices. Toute vivante tu nous serviras de festin ! Mwahahaha !!! )

[nyahaha Erinye powaaaaaaaaa ^^]

(kyaaa ! la reine flood ! il va pleuvoir des grenouilles !!)

Devon sortit de sa poche de pantalon une montre à gousset, jeta un coup d'oeil puis se tourna vers l'arbitre.

"Et toi là bas ! Tu ne crois pas qu'on devrait s'arrêter là ? Voilà longtemps qu'elle est enfermée dans ma maison de poupée. Elle ne peut plus rien faire."

Devon regarda par la fenêtre pour savoir ou en était le combat. Il vit Corinne tenir Myrlia par la gorge et la mordre violament.
Il continua de parler au pêcheur :

"Elle est en train de se vider de son sang. Clos le duel avant qu'elle ne crève."

Le marionnettiste le fixa et lui dit lentement, son regard était profond et froid.

"Elle est dans ton camps non ? Arrète le combat si tu ne veux pas qu'elle meure."

[ Non, ne faites pas la fin, mon amie a du chagrin ...

Bref, je réserve (enfin, Myrlia qui est en moi l'a fait (je m'égare là, je crois ...)) ]

( es-tu consient de ce que tu viend de dire pêcheur ? deux points je cite : le duel se passe dans une maison close. Es-ce que tu réalise l'idée que tu viens de me donner ? C'est une proposition à creuser... je vois bien la taverne se transformer en maison close... ma petite Helene, tu ne peux t'en prendre qu'a toi même.)

Devon jeta une regarde méchant à l'arbitre. Le combat allait encore durer s'il ne décidait pas de la conclure rapidement. Et Devon, bien qu'il soit incroyablement pascient, commençait à s'ennuyer ferme.

"Tant pis pêcheur, ta copine m'agace fortement. Elle n'est même pas capable de battre la guardienne du premier niveau. Je l'ai sur estimé, jamais je n'aurai dû sortir mon arm pour si peu. Crève maitenant, fille chat."

A l'intérieur de la maison, Corinne reserrait un peu plus son étreinte mortelle autour de sa proie, la mordant plus fort et plus violement.

"Sois offerte en pâture à mes marionnettes, fille chat. Mais quel dommage tout de même, j'aurai tant voulu jouer avec toi encore un peu."

Devon, saurais-tu par hasard ce que veut dire "je réserve" ?

Alors vire ce message grilleur de priorité immédiatement !

Et v'là que je me mets à fayoter, moi... Désolant...

[ Glarf, je pardonne tes pêchés ! ♥ Tu peux en refaire d'autres maintenant ! ^^'

ET DEVON JE SAVAIS QUE TU ETAIS ANALPHABETE, MAIS PAS A CE POINT LA QUAND MEME !!!!

Vire-moi ce post de suite. ]

[ Faisons celle qui n'a rien vu ... ]

Et la poupée suçait son sang ... Ou du moins en donnait l'impression ... Mais où était donc cette éprouvette ? Elle en avait attrapé qulques unes au vol quand Joker lui en avait lançé dessus, à l'entrée de Lubéria ...

* Pour une fois, merci Joky ! ♥ *

Enrfin, elle la trouva, et la fourra de force dans sa bouche, et versa le reste sur tout son corps. La poupée, bizarrement, avait arrêté de la sucer comme une bête orange sanguine ( C'est les bretzels !!).
La poupée semblait se désagréger. Ou plus exactement, se transformer en savon.

En réalité, elle se saponifiait.

Myrlia s'arracha un bout de son pull et s'en fit une bande pour panser sa plaie. Quelques temps après, la plaie s'arrêta de saigner.

La demi-chatte se releva au dessus de ce qui restait d'elle et dit avec un joli sourire :

" Paix à son âme. ♥ "

* Vive la soude résistante au porcelaine ! ♥ Bon, qu'est-ce que je fais, maintenant ? *

Elle remarqua une porte dans le mur de droite. Sans doute la suite du dimansion ärm.

Mais d'abord ... Elle était dans une cuisine. Cuisine = ustensiles de cuisine. Elle ouvrit un tiroir, et en tira plusieurs couteaux. Elle en plaqua un contre son bras de sorte qu'elle puisse le faire sortir en contractant ses muscles, en cacha un dans son short (suffit d'être suffisamment habile, et ...) ; enfin bref, elle en cacha partout dans ses vêtements.

Oh, un dernier truc : elle coupa un bras de la poypée encore sain, et le plaça devant la fenêtre en un geste provocateur, que Devon voie bien qu'elle avait gagné ...

Puis elle ouvrit la porte. Qui sait ce qu'il y avait derrière ...

(juste un détail, tu ne portes plus tes fringues, mais un costume de poupée...)

Quand Devon vit le bras de sa poupée à la fenêtre, il devint comme fou. Son regard violet se mit à briller d'une lueur démentielle. Tout en lui hurlait de rage et de colère. Il avait des envies de meurtres et comptait bien les assouvir. Il comptait laisser Myrlia s'en sortir sans trop de bobos, mais là, il avait presque envie de la torturer lentement et de la manière la plus sadique qui puisse exister.
Il n'écouta même pas parler l'arbitre, il avait autre chose à penser, Myrlia venait de pénétrer dans la seconde pièce. Il n'eut pas le temps de réagir quand elle s'arma de couteaux, mais après tout peu importe, ça ne changerait pas grand chose. Ces lames sont vraiment de la camelote, (achetés dans une boutique miteuse dont je ne siterai pas le nom) jamais elles ne pouront ébrécher sa seconde poupée.

Charlotte.
Douce Charlotte.

Comme une ombre de mort, la marionette passa derrière Myrlia et posa ses mains tachées de sang sur les joues de la visiteuse. Elle lui susura à l'oreille :

"Un poulet, un joli poulet. Vient voir maman petit poulet. Aujourd'hui c'est le jour des noces de mademoiselle, il va falloir lui servir un joli poulet rôti. Je sais qu'elle aime ça."

Le pantin fit glisser sa main la long du bras de Myrlia, lui tâtant la chair.

"Tu es encore un peu trop maigre petit poulet. Il va falloit t'engraisser un peu. Regarde toi, tu n'as que la peau sur les os. Mais tant pis, mademoiselle à besoin de toi maintenant, alors entre dans ce four petit poulet."

Elle attrapa Myrlia par la peau du cou, et la jeta sa ménageament dans un four chaud. La poupée ferma la porte avec un cadena et essuya ses mains sur son tablier d'un geste satisfait.

"Maintenant, je vaius préparer la farce. Pouyrquoi pas des pommes cuites ?"

(les amis, ce soir c'est hot-cat fourré façon elfe !)

[ Vêtements de poupée ? Cool ! Des dentelles ! Encore plus de planques XD !

Poulet rôti ??? Et ce n'est que le retour des choses puisque t'as tué mes chats !!

La technique de Myrlia réside plutôt dans l'attente qu'autre chose, contrairement à son caractère impatient. Je réserve (enfin, Myrlia ...) ]

[ ... Mais j'ai la flemme de répondre aujourd'hui. Vous savez, la procrastination est une maladie très importante. ]

(la quoi ? -_- ' n'ai pas comprit... en faite tu as peur hein ? Pourquoi prender un malin plaisir à la provoquer davantage ?)

[procrastination = tendance à tout remettre au lendemain ]

[my name is Ko ... Di Ko ;p]

[ Peur ? C'est toi qui ferais mieux d'avoir peur, car je vais dégommer toutes tes poupées et après je te dégommerai toi ! Nyahahahahahahahahhahahahaha .... The dark pinguin va encore frapper ! ]

(aaaaaaaaah ! Charlotte à même pas tenue 2 post !!! vengeance !!)

Devon dégluti, il venait de perdre le contrôle de sa seconde marionnette. Deux de ses murailles venaient de tomber, ça commençait à sentir le sapin. Il décida de freiner la progression de Myrlia en lui infligeant un petit handicape.

Vous vous souvenez tous que Devon à le pouvoir d'infiluencer le système nerveux de l'adversaire, voir même celui des ses alliers, ça dépend des fois... Et bien sacher alors que le coeur, pompe du corps humain, fonstionne grace à un résau de nerf. Ses nerfs ne peuvent pas être stoppés par la volonté, on ne peut pas empêcher son coeur de battre comme on peu arrêter de respirer. Par conséquent, Devon ne peux pas vaincre cette protection et arrêter net le coeur de quelqu'un (sauf dans la pièce mais je trouve ça trop dégueulasse à vous faire) mais il peut tout de même freiner le rythme cardiaque.
Bon, comme vous avez du le comprendre à moins de vous être endormi pendant mon petit cour, Devon va utiliser cette technique.

En entrant dans la troisième pièce, Myrlia senti un sentiment d'opression lui gonfler la poitrine. Elle fatiguait et tout ses mouvements étaient comme génés. Si elle continuait à remuer de trop, elle finirait par s'évanouir.
La pièce dans laquelle elle se trouvait était une salle de bain. Un truc à l'ancienne avec des grands lavabos et une baignoire à pied.
Derrière la porte, attendait la troisième gardienne. Elle était nue, cachant sa nudité derrière de longs cheveux noirs qui tranchaient crûment avec sa peau blanchâtre de poupée de porcelaine. Son visage était caché par ses cheveux, Devon aimait à l'appeller Sadako, aller savoir pourquoi.
Quand Myrlia entra, elle lui sauta à la gorge et la traina jusqu'à la baignoire pour lui plonger la tête dedans. Dans l'eau, il y a avait un fil éléctrique.

A l'extérieur, Devon ricanait.

"Ma poupée est en porcelaine, et la porcelaine est un isollant. Si tu ne fini pas comme Cloclo, et que tu te débats, tu vas tomber dans les pommes. Adieur fille chat, je t'aimais bien."

(mais non ! C'est juste un fil comme ça ! >.< tu crois pas qu'il faudrait que t'arrête de me piquer des trucs !)

Une marionette, toutes les filles devaient être ses marionettes. Mais celle-la refusait cet honneur. Devon était furieux, il sentait toutes ses défences tomber petit à petit, cette poupée désobéissante le mettait hors de lui. Et pire encore, elle risquait de terminer le niveau et de sortir de son arm.
Mais il avait encore un gros atout dans sa main.
La boss finale, la maîtresse des lieux.
(depuis le temps que j'ai envie de la sortir ^^ j'en oublirais presque je perd)
Cette Poupée la était particulière, différente des autres. Plus humaine, quelle ironie.

Myrlia entrait dans la dernière pièce de la maison des poupées, la chambre à coucher de la fiancée.

Une pièce sous les combles, obscure, encombrée et glauque au possible. A la lumière d'une chandelle, on pouvait distinguer une femme. Une femme où plutôt une jeune fille. Elle était assise devan sa coiffeuse et restait neurtre devans son miroir. Elle portait une robe de mariée, déchirée et vieillit par le temps. Les fleurs dans ses cheveux étaient fanées et son voile décrépis. A le lumière de la chandelle, brillaient comme l'or ses longs cheveux blonds.

C'était elle, la fiancée.

Elle se retourna en entendant Myrlia entrer. A l'inverse des poupées des autres niveaux, elle n'était pas agressive. Et même que quand elle vit le couteau dans les mains de l'étrangère à la maison, elle se recula et se protèga avec ses mains.

"Arrête, je ne te veux pas de mal. Ne me tue pas, je dois vivre."

Elle se détrouna de la demi chatte et regarda son visage dans le miroir piqué de rouille et sali.

"Je ne dois pas mourir, parce que je l'attend. Il va venir, je le sais. Un jour il viendra et m'épousera. Et ensemble nous irons voir la mer."

La fiancée posa ses mains douces sur la coiffeuse couverte de pousière. Ses mains douces, si douces, trop douces pour être de la porcelaine. Des mains roses de chair.
Ce n'était pas une marionette, mais une jeune fille de chair et de sang.
"Je sais que tu ne me veux pas du bien. Mais je ne saurai te faire du mal. Tu peux t'en aller si tu veux. Mais je t'en pris, reste un peu bavarder avec moi, je suis si seule et m'ennuie. Je peux te jurer que je ne te ferais pas de mal."

Elle était si belle, si gentille. Il n'émanait d'elle une pureté qui n'avait rien d'artificielle.

"Alors raconte moi, parle moi de l'extérieur. Mais j'y pense, si tu es dans la maison de mon fiancé, c'est que tu le connais. Parle moi de lui je t'en pris, je l'attend depuis des années. Il me manque tellement."

(J'edite,je t'avais prevenu ^^)

Le gramophone au fond de la piece se mit en marche, jouant une musique qui aurait pu etre jolie si elle n'avait pas ete aussi stridente. Elle semblait aussi melodieuse que le crisement d'une fourchette en argent dans le fond d'une assiette.
Derriere la porte au fond de la piece, un bruit de pas, de clef qui tourne dans la serrure. Enfin elle s'ouvrit, laissant appraitre sur un fond de cosmos, un marionnettiste vetu de blanc, un messie, un dieu aussi majestueux que terrifiant.
Tout ceux qui avaient ete dans l'arene a ce moment la, pouvaient voir Devon disparaitre en fumee en leur faisant un clin d'oeil. Il emergeait a present a l'interieur de son dimention arm.
Il entra dans la piece et ferma la porte a clef. Puis il se retourna, un sourir malicieux sur les levres. Il saisi son chapeau haut de forme blanc entre troic doigts et salua les dames ici presente.

"Bonjour mes poupees, vous m'avez manque."

En entendant ces mots, le corps de la mariee fut agite de frissons, elle poussa des petits cris de stupeur et attrapa au vol la main de Myrlia.

"C'est lui ! C'est lui mon fiance ! Il vient me chercher pour se marrier avec moi, au bord de la mer. Aujourd'hui est le jour de mes noces."

Son expression etait radieuse, mais il y avait dans ses yeux quelque chose qui clochait, une lueure qui faisait defaut. Aussi perfectionne etait l'art de Devon, il avait beaucoup de difficulte a reproduire la vie dans les moindres details.
Le marionnettiste s'approcha des filles, et pris entre ses mains osseuses le doux visage de la fiancee.

"Ma petite Wyrda, ma chere soeur. Je suis revenu. Mais je ne comprend pas de quoi tu parles, nous sommes deja marrie, tu ne le rappelle pas ? Et ce depuis ta naissance tu m'apartiens, tu es ma gardienne, ma servante, ma protectrice, ma marionnette. Et quand a notre nuit de noce, nous l'avons deja epuise, tu te souvient ? C'etait il y a sept ans, une nuit qui c'est acheve dans les larmes et le sang."

"Je sais bien, mais je voudrais tout reprendre a zero... Marrions nous de nouveau et cette fois-ci au bord de la mer..."

"C'est impossible Wyrda, et tu le sais tres bien. Parce que tu es deja morte."

En entendant ces mots, la soeur cadette de Devon se mit a pleurer. Lui par contre jubilait, c'etait la toute premiere fois qu'il arrivait a faire pleurer une marionnette.

"Pourquoi es-ce que tu m'a tue ?"

"Tu es agacente, voila pourquoi. Je ne t'aimais plus."

Vous saviez que Wyrda etait morte, mais vous ignoriez ou etait entere son cadavre, naintenant vous avez la reponce...

"Moi je t'aime encore Devon, mon frere, ma vie..."

(je suis tente de partir en trip sur "o douce lumiere de ma vie... mais je trouve ca un peu deplace vu les circonstances... XD)

"Si tu m'aime tant que ca, alors sauve moi."

"Bien sur, tel est mon role apres tout. Pour toi je ferai tout ce tu voudras. Ma vie est tienne."

"Je sais. Tue cette fille qui est entre dans ma maison pour me nuire."

Il pointa Myrlia du doigt. Wyrda semblait ne pas comprendre.

"Elle ? Mais Devon..."

"Tue la, c'est un ordre."

(tu reponds toujours po ? Et bas alors je continu toute seule ^^)
(re-reedition, GO ! (lance une pokeball) edi-editiiiion ^^)
(pardon j'ai des vieux trips XD)

Wyrda ota sa lourde traine, preferant rester en jupon pour se battre. Quand a Devon, en bon marionnettiste qui se respecte, il n'avait pas l'intention se bouger ses divines fesses. Il s'allongea paresseusement sur le lit. Bien qu'il ait une sainte horreur des chats, en cet instant precis, on pourait le confondre avec une gros matou, ronronnant dans des dras froids.
Un chat avec un sourire en forme d'une lune eteincelante, ca ne vous rapelle rien ? Et bien voila a quoi ressemblait Devon alonge, ou plutot affale, dans ce large lit a baldaquin.
Le maitre des marionnettes fit un petit geste de la main et Myrlia sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine, ses jambes et ses bras devenir mou comme du fromage. (XD) Devon avait reprit sa manipulation.
Wyrda quand a elle, etait prette a se battre. Elle savais se battre au corps a corps, chose que Devon ne maitrisait pas.
Ensemble il formaient une equipe que rien ne pouvait vaincre. Un esprit puissant et un corps qui l'etait tout autant.

La soeur de Devon s'interposa entre lui et son adversaire. Elle lui jeta un regard noir. Quelques minutes plus tot, elle n'aurait jamais pensee a faire cela. Mais quand il s'agissait de proteger son frere, elle etait intraitable. C'etait sa mission, sa raison de vivre, ce avec quoi on lui avait martele l'esprit durant toutes ses annees.

Ce pourquoi elle etait nee, ce pourquoi elle etait morte.

"Ne pense meme pas a le toucher. Ton adversaire c'est moi, Wyrda, gardienne du saint manieur de poupee."

(ce post commence a devenir long XD )